[France 1-2 Afrique du Sud] Après-match

Revue de presse

http://www.football365.fr/france/equipe-de-france/article_427856_bleus-revue-de-presse-Tacles-en-tous-genres.shtml

Henry serait parti tout seul !



A en croire Canal Plus, Thierry Henry n'est pas rentré à Knysna avec ses coéquipiers de l'équipe de France, mardi soir, après la défaite (1-2) subie face à l'Afrique du Sud. Face aux Bafana Bafana, il a peut-être d'ailleurs disputé son dernier match chez les Bleus. Toujours selon la chaîne cryptée, l'attaquant du FC Barcelone, avec qui il n'a inscrit que quatre buts cette saison en Championnat, pourrait avoir décidé de rentrer seul, par ses propres moyens.

Un rendez-vous avec Nicolas Sarkozy est prévu !

Pour RMC, un rendez-vous a en fait été pris avec le président de la République, Nicolas Sarkozy, et l'entrevue est prévue pour jeudi matin. Pendant une heure environ. L'international français va donc quitter l'Afrique du Sud, ce mercredi, par vol privé pour se rendre à Paris où il passera la nuit. Après avoir rencontré Nicolas Sarkozy, il rejoindra la Catalogne avant de partir en vacances. Dans la foulée, il a prévu de finaliser son transfert vers les Red Bulls de New York.

francefootball

A mon avis, l'avis de Henry va peser lourd pour avoir demander un RDV lui-même.

« Je crois que dès le début on pouvait s’y attendre. Déjà pendant les éliminatoires, ils n’étaient pas bien. Il a manqué de la cohésion et de la condition physique. Tous ceux qui ont travaillé dans cette sélection sont responsables. Le groupe n’était pas uni. Le travail de Raymond Domenech a été critiqué depuis que je suis arrivé en France » @ Brandao

Le travail de Raymond Domenech a été critiqué depuis que je suis arrivé en France

Le responsable est donc Brandao....

Et c'est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Le premier secret dévoilé

Dimanche, les joueurs de l'équipe de France ont fait grève et ont décidé de ne pas s'entraîner. Selon le site Internet du Nouvel Observateur, dans le bus où les Bleus s'étaient retranchés, Hugo Lloris, Bakary Sagna et Yoann Gourcuff souhaitaient en fait retourner sur les terrains, mais ils en ont été empêchés par le trio composé de Franck rib€ry, Eric Abidal et Patrice Evra. Le ton est alors vite monté et ils ont failli en venir aux mains. La bagarre a donc été évitée de justesse. Décidément, les Bleus ont encore quelques secrets à dévoiler.

France Football

Malouda fait bande à part

L'Equipe de France va quitter l'Afrique du Sud ce mercredi à 17h00 en avion. Mais cela sera vraisemblablement sans Florent Malouda. Le milieu de terrain de Chelsea est arrivé seul à l'aéroport de George. Il pourrait quitter le pays par ses propres moyens vers une destination inconnue.

L'Equipe

Arrivée jeudi à 11h30

L'équipe de France est attendue demain matin, vers 11h30, à l'aéroport du Bourget, près de Paris. Les Bleus vont quitter l'Afrique du Sud entre 15h et 18h ce mercredi depuis l'aéroport de George. Durant la nuit, les Tricolores feront escale à Niamey (Niger).L'accès à l'aéroport sera interdit au public. Thierry Henry doit être reçu dans la foulée à l'Elysée par le président Nicolas Sarkozy, pour faire un point sur la crise qui secoue le football français.

L'Equipe

Secret storry commence plus tot

Massilia57 a écrit:

Le premier secret dévoilé

Dimanche, les joueurs de l'équipe de France ont fait grève et ont décidé de ne pas s'entraîner. Selon le site Internet du Nouvel Observateur, dans le bus où les Bleus s'étaient retranchés, Hugo Lloris, Bakary Sagna et Yoann Gourcuff souhaitaient en fait retourner sur les terrains, mais ils en ont été empêchés par le trio composé de Franck rib€ry, Eric Abidal et Patrice Evra. Le ton est alors vite monté et ils ont failli en venir aux mains. La bagarre a donc été évitée de justesse. Décidément, les Bleus ont encore quelques secrets à dévoiler.

France Football

Donc à virer Franck rib€ry, Eric Abidal et Patrice Evra.

Gallas, Abidal, Evra, Rib€ry & Anelka + retraite d'Henry soit 5 titulaires du mondial en moins et un cadre, le ménage va être énorme

Malouda : « Les autres ne voulaient pas de moi »

Le milieu de terrain de l'équipe de France a fait le choix de rentrer en solitaire car «les autres ne voulaient pas» de lui.

Florent Malouda a décidé de ne pas prendre l’avion du retour avec le reste de l’équipe de France. La raison est cinglante : « Parce que les autres ne voulaient pas de moi » a lâché le joueur de Chelsea dans un sourire. Les autres l’ont-ils désigné comme la taupe ? On ne sait pas. Il est arrivé seul à 16 heures vers l’aéroport de George après avoir eu la permission de Raymond Domenech de quitter ses partenaires. Face à une nuée de journalistes, il a été escorté par la police vers une zone où il attend tranquillement son vol. « La dislocation a eu lieu » a ajouté Malouda. On ne connaît pas la destination du joueur. Le reste de la délégation française est en train de négocier pour prendre un vol à 19 heures au lieu de 20 heures.

RMC

puta*n c'est grave.

Ca pourrait etre la taupe

Massilia57 a écrit:

Ca pourrait etre la taupe

Oui une certaine vengeance.

Nicolas Sarkozy réclame pour Octobre des états généraux du football Français. Et que les Bleus ne bénéficient d'aucun "avantage financier".

La Bachelot, elle s'est lachée à l'Assemblée !

Chez les Bleus, des caids immatures commandent des gamins apeurés @ Bachelot

Massilia57 a écrit:

Chez les Bleus, des caids immatures commandent des gamins apeurés @ Bachelot

c'est pas ce qu'elle disait y'a 2 jours, soit disant qu'il etait en larme devant elle et toute les conneries...

Ce discours là c'était juste au cas où la France passe, genre je vous l'avez dit ils pleuraient, mon discours a fait de l'effet, et tout le bordel. Pour se gargariser quoi.

Sauf que là...

« C’est la honte ! » Verdict sans appel d’un jeune joueur de l’équipe de France... Abattu, de retour dans sa chambre après le dîner, il ne sait plus à qui confier son désarroi. Ambiance à couteaux tirés en cette veille de solstice d’hiver. Silence de mort dans les couloirs surchauffés du Pezula Resort. Au téléphone, il poursuit, déboussolé : « Ils nous ont pris en otages ! Qu’est-ce que tu voulais qu’on fasse ?... » Ils, les « meneurs », les « boss »... les « fouteurs de merde », selon l’expression d’un autre joueur en colère. Ce dimanche soir, à Knysna, l’unité de façade de l’équipe n’est plus. Les fissures sont béantes. Mais s’ils parlent, les bizuts, les bons élèves de l’équipe, ils le savent : ils seront mis à l’amende. Même pas le droit de défendre leur point de vue. « Ce n’était pas la peine de nous réunir pour décider de la suite qu’on allait donner à l’exclusion de Nico, ils avaient déjà décidé de boycotter l’entraînement... », raconte un Bleu à un proche. Ils... rib€ry, Henry, *Gallas et Evra. « Un hold-up sur l’équipe », a-t-il confié, dépité. Dans le salon où le capitaine les a invités à parler, la parole est monopolisée par les « anciens ». Quelques voix s’élèvent pour tenter de temporiser. Yoann Gourcuff, que l’on dit totalement en retrait, ose. Il tâche d’intervenir dans la discussion. rib€ry lui coupe la parole. Hugo Lloris, que l’on dit si réservé, se lance. Impossible de placer quatre mots. Les tauliers de l’équipe ont décidé, « il n’y avait plus qu’à s’écraser », raconte encore un minoritaire à son agent. En arrivant dimanche sur le Field of Dreams, leur terrain d’entraînement, la messe était dite. Après le clash entre Duverne, le préparateur physique, et le capitaine, Evra, les joueurs savent ce qu’ils ont à faire : retourner dans le bus.
Les gardiens hésitent. Un de leurs coéquipiers glisse à l’oreille de Lloris : « C’est trop tard. Allez, viens. »

Dans le bus, les rideaux sont tirés. « Domenech a commencé gentil, genre : “Je vous comprends, le départ de Nico est un coup dur.” Mais le ton est vite monté », raconte le confident d’un joueur. « Puis il est passé à l’argumentaire sportif et il a fini avec des menaces. » En vain. Certains n’ont même pas levé les yeux. De retour dans leur bunker sur la colline, les « minoritaires » n’ont pas pipé mot. Histoire de marquer quand même le coup, symboliquement, quel ques-uns comme Diaby, Clichy, Man danda, Gourcuff, Planus ou Lloris, sont allés directement à la salle de sport de l’hôtel. Séance de cardio-training et musculation pour évacuer la tension. Un membre du staff résume le climat : « rib€ry, Henry, Gallas et Anelka, les quatre “fouteurs de merde”, ont eu droit, au nom du collectif, à plus d’égards que toute l’équipe réunie et ils se sont foutus de notre gueule à tous. »

Depuis France-Mexique, le quatuor a multiplié les conciliabules à l’hôtel. rib€ry et Henry, qui pourtant ne sont pas copains, rivalité sur le terrain oblige, ont fait alliance objective : ils se sont ostensiblement montrés ensemble, à l’écart des autres, en grande discussion, comme s’ils voulaient montrer à tous qui décide. Anelka s’est joint à différentes reprises, avant son exclusion. Le climat s’alourdissant, Domenech s’est résolu à les prendre un à un, en tête à tête. Certains, comme rib€ry, plusieurs fois. Henry et Gallas sont passés eux aussi au parloir. Chacun a promis. Oui, ils vont tout faire pour « remettre la baraque en ordre », jusqu’au coup de théâtre de dimanche après midi. « Raymond s’est fait avoir, il a cru en leur parole, ils avaient préparé leur coup. » Anelka, lui, n’aurait pas eu droit à son entretien individuel. La fronde des joueurs aurait d’ailleurs pour origine le refus du sélectionneur d’accéder à la requête de l’enfant terrible de Trappes. « Pas le temps », aurait répondu, cassant, Domenech. Pour le coup, là, même les « minoritaires » n’auraient pas apprécié que le coach ne laisse pas à « Nico » l’occasion de s’expliquer. Autre version, dans l’entourage du sélectionneur : le lendemain de la défaite, lors de la séance dite « de décrassage », Raymond Domenech aurait commencé par un : « Que tous ceux qui ont des choses à dire viennent me voir, je les écouterai. » Un membre du staff résume : « Ce n’est pas une porte qu’il a ouverte à Anelka, mais une porte-fenêtre, il lui a laissé une journée pour venir s’expliquer, il n’est pas venu. »

Paris Match

DESUMER : « LA CRISE FORCE À SE REMETTRE EN CAUSE »

Présent auprès de l’équipe de France en Afrique du Sud, le patron du football lorrain exprime « tristesse, contrariété et honte ». Fiasco et conséquences avec Bernard Desumer, un homme de l’intérieur.

Après une dernière nuit au fameux Pezula Hotel de Knysna, un dernier réveil en surplomb d’océan et un dernier vol depuis Le Cap, Bernard Desumer est de retour aujourd’hui en Lorraine. Sans doute, dans l’avion, le trésorier de la Fédération française de football a-t-il ressassé l’échec dont il a été un témoin direct, depuis plus de trois semaines de vie commune avec les Bleus. En attendant, hier midi, il a accepté de vider son sac, en même temps qu’il bouclait ses valises…

Le fiasco : « J’ai honte »

• Difficile, devant l’ampleur d’un tel fiasco, de savoir par où commencer… Votre sentiment de dirigeant fédéral, membre de la délégation française en Afrique du Sud ?

« Je ressens de la tristesse, de la contrariété et de la honte. Je suis triste en tant que supporter de l’équipe de France, comme des millions de Français. Cet échec me contrarie en tant que trésorier de la Fédération, qui a tout mis en œuvre pour mettre les joueurs dans les meilleures conditions, quitte à prendre des coups, et il me contrarie parce que je suis bien conscient que les jours et les semaines à venir s’annoncent très, très compliqués. Enfin, j’ai honte de l’image que nous venons de donner : le maillot national a été bafoué, nous n’avons pas répondu à nos devoirs d’exemplarité et, faisant partie de la délégation, je ne peux pas m’en dédouaner. »

• Ce qui vient de se passer prouve que Raymond Domenech n’était finalement pas l’homme de la situation, contrairement à ce que vous aviez estimé en 2008. Regrettez-vous de l’avoir soutenu ?

« En 2008, j’étais pour ma part très hésitant. Après avoir entendu les avis de personnes autrement plus compétentes que moi dans le domaine technique, comme Aimé Jacquet, Gérard Houllier et Michel Platini, je me suis rallié à la décision de maintenir Raymond Domenech après l’Euro. Mais cette page est tournée, la question n’est même plus d’actualité, et il me paraît un peu facile de tirer aujourd’hui sur un homme à qui, certes, il y a beaucoup à reprocher. »

FFF : « Faire la part des choses »

• Les événements ont aussi montré un pouvoir fédéral fragilisé, inaudible, même pas écouté des joueurs de l’équipe de France…

« Oui, la Fédération sort fragilisée de cette Coupe du monde. Mais la grève de l’entraînement décidée par les joueurs n’était même pas une contestation du pouvoir fédéral : ils ne se sont tout simplement pas rendus compte des conséquences de leur attitude. C’était un mouvement de solidarité envers Nicolas Anelka, mais Nicolas Anelka lui-même avait reconnu sa faute et accepté sa sanction ! L’action décidée par les joueurs était totalement disproportionnée. Le problème, c’est qu’ils ne s’en sont aperçus que le lendemain… »

• Reconnaissez tout de même que l’image du football français en ressort passablement dégradée, et même ravagée !

« L’équipe de France est certes le point le plus important de l’appréciation que l’on porte sur la Fédération, laquelle du coup est aujourd’hui unanimement condamnée. Mais il faut faire la part des choses. Hormis l’équipe de France, tous les voyants sont au vert : nous venons d’obtenir l’organisation de l’Euro 2016, ce qui n’est pas rien, nous avons redressé une situation financière catastrophique, beaucoup envieraient notre activité économique, avec des contrats qui nous amènent sans problème à 2016 et enfin, malgré une légère diminution, nous comptons plus de deux millions de licenciés. Il n’est pas question d’occulter tout cela. »

• Si l’on vous suit, le changement de sélectionneur va donc suffire à régler le problème des Bleus ?

« Je ne dis pas ça. Au-delà de cette contre-performance de quinze jours, l’équipe de France n’a plus un jeu séduisant, elle arrache toutes ses qualifications au forceps, il y a une réflexion à mener. C’est l’avantage d’une crise : elle force à vouloir comprendre, à se remettre en cause, à réagir en fonction. Mais je crois vraiment Laurent Blanc capable de donner l’impulsion qui permettra à l’équipe de France de retrouver du panache et de la sérénité. »

La suite : « Merci pour le cadeau ! »

• Vous évoquez les enseignements à tirer d’une crise. Jean-Pierre Escalettes va-t-il démissionner de son poste de président ?

« Je ne connais pas ses intentions et je pense que lui ne les connais pas non plus. Il est meurtri parce que nous venons de vivre, mais c’est un militant du football qui a envie d’aller au terme de son mandat. »

• Un Conseil fédéral va vite se réunir. Quelle y sera votre position personnelle ?

« Je suis encore sous le choc, pas en état de réfléchir sereinement. Je dois aussi prendre la mesure de cet échec en France, à 10 000 kilomètres de nous, et discuter avec les uns et les autres. Je serai alors amené à prendre des décisions… »

• Lesquelles ?

« Cela peut aller jusqu’à la démission, si je n’ai plus la confiance des gens du football. Aujourd’hui, ce n’est pas mon intention, mais il faut mener une réflexion qui amène à la décision la plus honnête et la plus adaptée. Je ne m’accrocherai pas à mon siège. »

• Si Jean-Pierre Escalettes se retirait, pourriez-vous incarner le changement en vous portant candidat à sa succession ? « Merci du cadeau ! Cela impliquerait beaucoup de courage et une dose d’inconscience à peu près similaire ! Nous verrons bien, le moment venu. Pour l’instant, je n’en ai aucune envie. »

• Le vrai patron du foot français, depuis quelques jours, ne s’appellerait-il pas Roselyne Bachelot ?

« Elle joue son rôle de ministre de tutelle. Au-delà de sa volonté de faire en sorte que le football français redevienne performant, elle pose la question du fonctionnement d’une Fédération comme la nôtre qui, avec 200 millions d’euros de budget et 200 salariés, reste gérée par des bénévoles. Et seul l’État peut apporter des réponses, puisque c’est une question nécessitant un aménagement de la loi. »

Est Républicain

Les Imposteurs sont arrivés à l'aéroport du Bourget

Les lyonnais sont partis, du Bourget, en jet privé, tout comme rib€ry. Ce dernier va à Munich se faire opérer (il souffre d'une blessure à l'aine).

Henry à l'Elysée.

Massilia57 a écrit:

tout comme rib€ry. Ce dernier va à Munich se faire opérer (il souffre d'une blessure à l'aine).

Et ils s'occupent quand de sa fracture du cerveau?

ludom80 a écrit:

Massilia57 a écrit:

tout comme rib€ry. Ce dernier va à Munich se faire opérer (il souffre d'une blessure à l'aine).

Et ils s'occupent quand de sa fracture du cerveau?

Là, ils vont faire une opération en groupe

Personne réagit à l'article du Paris - Match