[Staff] Eric Gerets

En plus il est souriant quand il faut et est sérieux quand il faut :love:

coco45490 a écrit:

En plus il est souriant quand il faut et est sérieux quand il faut :love:

il a même une grosse touche d'humour ( un peu belge sur les bords )

Oué franchement j'adore cette entraineur

coco45490 a écrit:

Gerets me plaie de plus en plus

Tu dois avoir une grosse cicatrice non ?
Sérieux, bosse ton français m e !

Gerets : "Je prendrai tout en compte"

Cinq matches en quinze jours. Après Nice et le Spartak, l'OM joue le PSG dimanche, le match retour de coupe UEFA jeudi à Moscou, pour finir son marathon à Toulouse, dimanche 24 février. Éric Gerets sera-t-il amené à faire tourner son effectif ? Hier, l'entraîneur olympien assurait ne pas s'être véritablement encore penché sur cette question.

"Si je m'aperçois que l'un ou l'autre de mes joueurs accuse le coup ces jours-ci, je veillerai évidemment à le ménager en ne l'intégrant pas du tout au groupe pour un match, histoire de le faire complètement souffler, a cependant précisé le technicien belge. Mais ce n'est pas aussi simple que cela. D'un côté, si je me base sur la réaction des joueurs en 2e mi-temps face au Spartak Moscou et sur le rendement de ceux qui ont terminé le match, ce serait une punition que de ne pas retenir l'un d'entre eux pour la venue du PSG dimanche. Or, d'un autre côté, je dois également prendre en compte le travail accompli à l'entraînement."

"De fait, indique Gerets, si je vois que des joueurs qui n'étaient pas titulaires ces derniers temps sont plus en forme que d'autres, j'intégrerai ce paramètre-là à ma réflexion. Il reste que pour le moment (hier midi), je n'ai pris aucune décision."

La Provence

Gerets : "Les gens m'arrêtent dans la rue pour me remercier"






Eric Gerets nous a reçus à l'OM, club qu'il a remis sur les bons rails, au point d'être adulé par toute une ville...
Envoyé spécial en France Benoît Delhauteur
MARSEILLE Il est devenu l'idole de toute une ville. Eric Gerets, débarqué à Marseille fin septembre alors que le club était en pleine crise, a fait des miracles. En Ligue 1, le club est remonté de la 19e à la 5e place et vient d'infliger un sévère 3-0 en Coupe de l'Uefa au Spartak Moscou. Le Lion de Rekem nous a reçus dans son bureau, à la Commanderie, le somptueux et très privé centre d'entraînement de l'OM. L'entraîneur olympien s'est livré sur sa superbe aventure dans la cité phocéenne mais aussi sur son avenir, le Standard et les Diables Rouges. Le nouveau sorcier belge de Marseille n'a pas sa langue en poche...
Eric Gerets, quel est le bilan de vos quatre premiers mois à Marseille ?
"Je suis heureux. En arrivant, j'ai trouvé ce que je croyais trouver : une équipe qui ne tournait pas. On a alors commencé à travailler. Après des débuts difficiles, le temps d'apprendre à nous connaître, nous avons entamé une belle progression. En plus, le spectacle est au rendez-vous et nous marquons beaucoup de buts. Pour le moment, tout va bien !"
La pression quotidienne est énorme ici. Dans ce domaine, l'OM est-il comparable à ce que vous avez vécu à Galatasaray ?
"Pas vraiment. En Turquie, tout est exagéré ! Les médias y racontent n'importe quoi. Après deux ans là-bas, tu peux travailler dans n'importe quel endroit au monde."
Comment se passent vos journées ici ?
"Généralement, mon assistant et moi sommes les premiers arrivés à la Commanderie et les derniers partis. Il y a toujours beaucoup de travail, vu notre calendrier à l'anglaise. Le soir, comme je vis seul, je m'occupe, entre télévision, cinéma et promenade."
Votre relation avec les supporters doit être plutôt bonne...
"Je sens qu'ils me respectent beaucoup. Des gens viennent même m'accoster en rue pour me remercier ! Des supporters de l'OM m'ont dit récemment qu'ils n'avaient plus vu un aussi beau football au Vélodrome depuis des années. C'est à mon sens le plus beau compliment qu'un entraîneur puisse recevoir. C'est en tout cas plus agréable que de te faire taper dessus à cause de mauvais résultats !"
Vous êtes aussi parvenu à mettre la presse marseillaise dans votre poche. Beaucoup de vos prédécesseurs aimeraient connaître votre secret !
"C'est sans doute parce que je raconte des choses que les autres entraîneurs ne disent pas. Je n'hésite pas à expliquer mes choix. Jamais je ne me dérobe, je dis toujours ce que je pense."
Les Français apprécient aussi votre humour. Vous en jouez ?
"J'essaie en tous les cas de ne pas me prendre trop au sérieux. J'aime rire, au football comme en dehors."
Vous êtes sous contrat jusqu'en 2009. Vu la tournure des évènements, vous verriez-vous rester plus longtemps dans le sud de la France ?
"Je vais d'abord achever cette saison et je verrai ensuite quelle sera la politique du club pour la saison prochaine. En principe, je serai encore là. Pour l'avenir plus lointain, c'est trop tôt pour en parler : personne ne sait jamais de quoi demain sera fait."
Vous aviez déclaré en signant à Marseille qu'il s'agissait peut-être de votre dernier contrat. C'est toujours votre avis ?
"Non, j'ai changé d'opinion, car ma situation privée a changé et je vis seul désormais. À 53 ans, je ne veux pas me fixer une date précise de retraite. Ce sera au feeling. Quand l'envie ne sera plus là, alors il sera temps de m'arrêter."

Dhnet.be

Citation :

Vous êtes sous contrat jusqu'en 2009. Vu la tournure des évènements, vous verriez-vous rester plus longtemps dans le sud de la France ?
"Je vais d'abord achever cette saison et je verrai ensuite quelle sera la politique du club pour la saison prochaine. En principe, je serai encore là. Pour l'avenir plus lointain, c'est trop tôt pour en parler : personne ne sait jamais de quoi demain sera fait."

Citation :

Vous aviez déclaré en signant à Marseille qu'il s'agissait peut-être de votre dernier contrat. C'est toujours votre avis ?
"Non, j'ai changé d'opinion, car ma situation privée a changé et je vis seul désormais. À 53 ans, je ne veux pas me fixer une date précise de retraite. Ce sera au feeling. Quand l'envie ne sera plus là, alors il sera temps de m'arrêter."

Il est heureux ici, sa se voit et c'est t'an mieux !
Sa serait bien qu'il reste encore 2 ou 3 ans

Faut lui trouver une jolie marseillaise pour qu'il reste.

Oué le pauvre il vit seul

Le pauvre sa belge ne l'a pas suivi à Marseille

Oui mais lui est quand meme venue, il ne c'est pas arrété sur sa femme

L'envie d'Eric Gerets

Juste avant le dernier entraînement de l'équipe, samedi après-midi, Eric Gerets a donné une conférence de presse. Il a notamment fait référence à l'effervescence autour de la rencontre.

« Je veux absolument gagner ce match », a déclaré samedi Eric Gerets. « J’ai un petit peu fait le malin en disant que c’est un match comme les autres », a-t-il poursuivi avec le sourire . Je commence à m’apercevoir que je n’ai pas eu tout à fait le bon sentiment ».
Eric Gerets a ainsi expliqué avoir ressenti l’effervescence particulière qui monte à Marseille et dans la région plus on s’approche du match. « A cause de ça mes sentiments ont changé. En début de semaine, je ne pensais qu’au Spartak. Dès le lendemain ça a commencé avec vous autres journalistes. Avec les joueurs aussi un petit peu. Mais moins qu'avec tous les gens que tu peux rencontrer dans le petit village où j’habite. Et petit à petit tu commences à changer les idées dans ta tête aussi. Ce qui est plutôt agréable… »
Le coach olympien a par ailleurs indiqué qu'il préférait attendre le déroulement du dernier entraînement de l'équipe, qui commençait à l'issue de la conférence de presse samedi après-midi, pour faire ses choix définitifs sur la composition de son groupe pour la réception du PSG.

A suivre sur OM.net, l’interview de l’entraîneur phocéen

Et oui Eric tu a fait le malin, un OM-PSG n'est pas un match comme les autres

Citation :

un OM-PSG n'est pas un match comme les autres

c'est jamais un match comme les autres!

Gerets dit qu'il a fait le malin mais bon c'est pas grave, il s'habitue au derby.

Gerets, au coeur de l'action

Dans plusieurs pays d'Europe, l'entraîneur olympien a pris goût aux grandes affiches

Éric Gerets a admis hier après-midi avoir fait le malin et avoir enfin compris que OM - PSG n'était pas un match comme un autre. Mais dans sa carrière, il en a vu d'autres.


La caractéristique principale d'un entraîneur de renom est d'occuper le poste dans les grands clubs des pays où il a eu l'occasion de poser ses valises. Éric Gerets a eu cette chance aux Pays-Bas, en Turquie, en France, chez lui évidemment en Belgique et, à un degré moindre, en Allemagne.

Ces aventures lui ont ouvert les portes du globe, elles l'ont transporté dans diverses expériences humaines. Elles lui ont permis d'être confronté aux grands rendez-vous des championnats nationaux. Des affiches dont il a, aujourd'hui, une définition bien précise: "Il y a toujours le risque que des gens exagèrent, mais sur le terrain, ce doit être une bataille sportive. Les supporters doivent soutenir leur équipe, siffler l'adversaire car cela appartient au décor, mais sans atteindre les débordements vécus cette saison en Italie. Le football n'a pas besoin de ces dérapages. C'est le sport le plus populaire de la planète et de tels événements sont une mauvaise publicité. Il faut trouver les moyens d'éliminer du stade à vie, les personnes qui se rendent à un match avec de mauvaises intentions."

Éric Gerets se transforme aussi en avocat du football. Aujourd'hui, le technicien belge découvre le parfum d'OM - PSG, un rendez-vous pour lequel il a "envie" de se "laisser surprendre. J'espère que l'ambiance sera comme tout le monde me la décrit. Comme ça , je vais me régaler."

En attendant le coup d'envoi, il a bien voulu pour "LaProvence" évoquer les classiques incontournables de trois championnats nationaux. C'est, comme il répète parfois, sa richesse intérieure, des moments magiques qu'il gardera à jamais au fond de son coeur.

Standard de Liège - Anderlecht

"Les deux clubs comptent des supporters dans toute la Belgique et ceux-ci ne s'apprécient pas. Il y a une ambiance qu'on ne ressent pour aucun autre match. En Belgique, cette rencontre est une affaire très sérieuse. Avec ma manière de jouer, je n'étais pas très aimé ni des joueurs d'Anderlecht ni de leurs fans. Ce jour-là, j'étais surtout content de rejoindre le bus le plus rapidement possible après la fin du match."

PSV - Ajax

"C'est plus important que PSV - Feyenoord. Il y a eu une époque où l'Ajax a gagné plusieurs titres d'affilée. Moi, j'ai eu la chance d'arriver au terme de cette hégémonie (1985). Dans la foulée, avec le PSV, nous avons gagné six titres sur sept (ndlr: 86, 87, 88, 89, 91, 92), trois coupes nationales (ndlr: 88, 89, 90) et la coupe des clubs champions (88). Cela a soulevé des jalousies incroyables à l'Ajax. Les retrouvailles en championnat étaient alors que plus tendues."

Galatasaray - Fenerbahçe

"On ne peut pas être plus passionné que dans ce pays. Fenerbahçe - Galatasaray te transporte dans un autre monde, une autre dimension. "Dès qu'on se lève du banc, il convient d'être prudent, de surveiller ses arrières. D'ailleurs, la dernière fois à Fenerbahçce, j'ai reçu un projectile sur la tête en m'approchant de la ligne de touche. C'est bouillant, mais c'est beau et à ne rater sous aucun prétexte. "C'est pour vivre des émotions pareilles qu'on veut être joueur, qu'on s'engage dans la vie d'entraîneur."

La Provence

Je t'aime

Faut le signer à vie

+1 ²²²²²²

Nico14 a écrit:

+1 ²²²²²²

Cours de Maths:

1 au carré fait toujours 1

Likiliki10 a écrit:

Cours de Maths:

1 au carré fait toujours 1

A n'importe quelle puissance aussi.

Et non, il est temps d'aller me coucher.

Je pense que c'est l'entraîneur qu'il fallait à l'OM :love:

Likiliki10 a écrit:

Nico14 a écrit:

+1 ²²²²²²

Cours de Maths:

1 au carré fait toujours 1

Il a voulu amplifier son 1.

Citation :

Eric Gerets : "Ce n'était pas un "très bon" match. Il y avait beaucoup d'engagement mais aussi beaucoup de fautes techniques sur ce mauvais terrain de football... Mené au score, mon équipe n'a pas paniqué et a essayé de construire. Je crois que c'est mérité. On savait que Paris ne venait pas pour se cacher. Il nous on fait mal quelques fois mais on aurait pu marquer un troisième but et le match aurait été fini. Notre gardien a encore fait un grand match, des arrêts miraculeux. La défense a fait preuve de grande maturité malgré le fait qu'ils n'aient pas joué ensemble souvent. Au milieu, Charles (Kaboré) a eu du mal en première période, il était un peu impressionné mais il s'est très bien repris. Samir n'était pas dans un très grand jour mais il a fait un bon match."

C'est ça que j'aime chez Gerets c'est qu'il en veut toujours plus