[Staff] José Anigo

La fiche :

Poste : Directeur Sportif
Né le : 15/04/1961
A : Marseille
Pays : France
Taille :
Poids :
Arrivée au club :
Fin de contrat :

Palmarès :

2003 : Finaliste de la Coupe UEFA

Carrière :

Saisons joués à l'OM :

Saison 1978-1979, Saison 1979-1980, Saison 1980-1981, Saison 1981-1982, Saison 1982-1983, Saison 1983-1984, Saison 1984-1985, Saison 1985-1986, Saison 1986-1987, Saison 1981-1982, Saison 1982-1983.

Anigo était confiant

José Anigo explique samedi dans La Provence qu'il n'a jamais douté de la bonne conclusion du transfert de Djibril Cissé à l'OM. La détermination de l'attaquant français a constamment rendu confiant le directeur sportif marseillais.

L'affaire a eu beau traîner en longueur, José Anigo n'a jamais nourri la moindre inquiétude quant au dénouement des longues négociations avec les Reds au sujet de Djibril Cissé. « Je n'ai jamais douté car j'ai rarement vu un joueur aussi déterminé à rejoindre l'OM, a avoué le directeur sportif de Marseille. Son discours n'a jamais varié. Djibril a montré un attachement indéfectible au club. »


FOOT365

J. Anigo : "Pape Diouf s'est énormément battu"

José Anigo le directeur sportif de l'OM était satisfait du coup réalisé par son club pour le recrutement de Zenden.

L'arrivée de Zenden à l'OM a été une véritable surprise pour tout le monde. Et José Anigo le directeur sportif olympien est content du travail effectué à cette occasion par son club :Tout le monde a focalisé sur les dossiers Giuly et Wiltord. Nous on a bossé sur une troisième piste ignorée de tous et tenue secrète jusqu'à sa présenatation" déclare le Marseillais dans les colonnes de La Provence. Il reconnaît aussi l'investissement de Pape Diouf dans le dossier de Djibril Cissé : "Pape s'est inscrit dans cette logique et s'est énormément battu pour finaliser son arrivée. Aujourd'hui Djibril peut prétendre à être le meilleur buteur du championnat déclare Anigo.

Brèvesdefoot.com

J.Anigo : «Un très bon gardien d’avenir»



José, après de longues discussions, Steve Mandanda est enfin olympien, ce doit être une grosse satisfaction…
Oui, c’est une satisfaction dans la mesure où on recherchait un gardien de qualité. Ce qui est son cas. Cela nous permet d’avoir trois gardiens intéressants : Cédric Carrasso, Sébastien Hamel et Steve Mandanda. La concurrence va être bien plus grande pour tout le monde mais elle sera saine. Ce qui nous intéresse, c’est d’avoir des gardiens de qualité pour faire une bonne saison en cas de blessure ou autre.

Est-ce qu’une hiérarchie est déjà établie chez les gardiens de buts ?
Il y a une hiérarchie qui est normale. Aujourd’hui c’est Cédric qui garde les buts de l’équipe première comme il le fait depuis une année. Mais, dans le football comme dans tous les sports, il faut se remettre en question au quotidien. Cela permettra certainement à Cédric de progresser encore plus et d’être encore plus motivé s’il ne l’était pas déjà. Mais, je pense qu’il l’était. Cela permettra aussi à Steve d’envisager de prendre carrément la place à Cédric. Car, dans ce métier, il y a un poste pour deux ou trois gardiens et le meilleur jouera. Aujourd’hui, le titulaire est Cédric. C’est à lui de conserver sa place et c’est à Steve d’essayer de la gagner. Tout simplement.

Vous avez supervisé Steve Mandanda à de nombreuses reprises. Quelles sont ses qualités ?
Dans ses qualités, il a un jeu au pied de bon niveau. Il a aussi une bonne prise de risques dans le jeu aérien. C’est un garçon qui sort beaucoup et qui va très vite au sol. Je pense que c’est un très bon gardien d’avenir. Je l’ai vu dans différents contextes, que ce soit en Ligue 2 ou en équipe de France espoirs. Il a toujours été très intéressant avec beaucoup de maturité et de facilité.

OM.net

Réaction d'après match

José Anigo : "On a vu qu'il y a encore des réglages à avoir. Sur l'ensemble on peut être satistfait. La compétition officielle n'a rien à voir. Il n'y a rien de vraiment significatif sur ce match, on a été moins en place que St Etienne. On espère faire un bon résultat à Strasbourg."

lephoceen

Anigo évoque les futurs transferts

Dans un très long entretien accordé au quotidien L’Equipe, José Anigo a notamment évoqué la fin du mercato olympien. Le refrain de ces dernières années est maintenant de nouveau de mise, à la différence près que l’OM a déjà construit son équipe et ne cherche plus aujourd'hui qu’à peaufiner… "Pour l’instant, on examine la balance financière des arrivées et des départs." Autrement dit, il faudra vendre avant d’acheter. Le premier nommé est l’Argentin Civelli : "S’il y a une opportunité, on le laissera partir , ce qui est aussi le cas de Wilson Oruma . Quant à Cesar, c’est bien avancé avec West Bromwich Albion."

Si tous ces départs sont effectifs dans les jours ou semaines à venir, un attaquant supplémentaire pourra alors être enrôlé. Le directeur sportif marseillais en trace les contours : "On cherche un attaquant axial dans un profil complémentaire. Aujourd’hui, dans ce secteur, nous avons beaucoup de vitesse. Il nous manque un attaquant qui décroche, capable de jouer en pivot."

Enfin, si beaucoup de supporters s’inquiètent sur l’avenir de Samir Nasri à l’OM, Anigo se veut rassurant. "Nasri, on espère le garder encore au moins deux saisons. Dans ce sens, l’idée, c’est de renouveler son contrat dans les prochaines semaines. Samir, ses parents, ses agents savent que l’intérêt du joueur, c’est qu’il reste encore à Marseille." On aimerait tant qu’il en soit ainsi...

lephoceen

Son interview dans l'équipe me parait cohérente , intelligente , réfléchie ...
Pape aurait-il donné des cours à José ?

Interview de José sur Lequipe

Citation :

JOSÉ ANIGO REVENDIQUE un tempérament
« chaud bouillant » et ses origines : les
quartiers nord de Marseille. Le joueur a débuté
cité Saint-Louis et la liste des clubs auxquels
il a appartenu renforce la légende : OM,
Nîmes, Endoume Catalans, là où on cultive
des vertus réputées « viriles ». Anigo était
arrière droit, portait parfois fièrement moustache.
Il a ensuite démarré une carrière d’entraîneur
à Endoume, avant de revenir à l’OM, au centre
deformation. Appelé par Bernard Tapie à remplacer
Tomislav Ivic en juillet 2001, il quitte
son poste après quatre matches, pour divergence
d’opinion avec le « Boss ». En janvier
2004, Anigo succède à Alain Perrin, limogé.
Mais quelques mois plus tard, en
novembre 2004, il démissionne de nouveau,
dans la tempête qui avait emporté Christophe
Bouchet, alors président. José Anigo se place
sous la bannière de Pierre Dantin, présumé
candidat à la succession au poste présidentiel.
Puis se range sous la casaque de Pape Diouf,
nommé président en janvier 2005. Diouf est à
son tour menacé en mai 2005, Anigo n’y étant
pas pour rien.
Confirmé président début juin 2005, Pape
Diouf finit par se réconcilier avec José Anigo.
Lequel renonce peu à peu à quelques fracassantes
déclarations, comme celles, qui étaient
devenues rituelles, à l’encontre des « Parisiens
», pieusement recueillies par un journal
marseillais. Il y eut aussi des propos vengeurs
à propos de Noël Le Graët, qualifié de fossoyeur
de l’OM, au moment de la relégation
en Ligue 2.
Aujourd’hui, José Anigo est directeur sportif
de l’OM. Il parle peu, se montre peu. Un rôle
dans l’ombre qui lui a été reproché aumoment
du départ de Jean Fernandez en juin 2005. Un
départ que José Anigo s’est refusé à revendiquer,
tout comme des amitiés avec des personnages
liés au milieu.
Aujourd’hui, Pape Diouf se félicite de son
entente avec son directeur sportif. Albert
Émon, l’entraîneur, également. Mais José Anigo
se connaît bien et il prévient : « Je peux
aussi être imprévisible. » – D. Ro.

Citation :

– En 2004 et 2005, les conflits
étaient permanents au club, en
particulier entre Pape Diouf et
vous. Aujourd’hui, l’entente
est revenue. Comment cela
s’est-il passé ?
– Parce qu’aujourd’hui, à la tête du
club, il y a un sage qui s’appelle
Pape Diouf et j’espère pour l’OM
qu’il restera très longtemps.
Parce que c’est un mec bien,
intègre, honnête. Par le
passé,on nous a opposés.
Bien sûr, nous avons des
caractères différents,
et heureusement,
parce qu’on apporte
chacun quelque
chose à l’autre.
Aujourd’hui, notre
complicité est
telle que, sans se
parler, on arrive
à se respirer, à se comprendre. Cela a
pris du temps parce
que je suis un turbulent
. La première
année, en 2005, ce
n’était pas le cas. Jeme
suis assagi, mais je
peux aussi être de
temps en temps imprévisible,
parce que je
suis un “chaud-bouillant”

Citation :

En arrivant en finale de la Coupe de
l’UEFA, jeme suis peut-être pris pour
un autre. Pas forcément avec la
grosse tête,mais en surestimant mes
connaissances. Or on a toujours
quelque chose à apprendre. J’étais
voué à l’échec et je ne le savais pas.
En restant en retrait médiatiquement
depuis 2004, j’ai développé un tissu
relationnel beaucoup plus large, qui
me servira.

Citation :

Ainsi, les gens
se sont rendu compte que nous
construisions quelque chose au club.
Le club est constitué aujourd’hui de
gens qui n’ont jamais tapé dans le
portefeuille de Robert Louis-Dreyfus.
On peut nous mettre qui on veut pour
nous contrôler, on n’a besoin de personne.
Parmi nos objectifs, il y a celui
de faire en sorte que l’actionnaire
principal n’ait plus besoin de
remettre de l’argent tous les ans pour
combler le déficit. Et on cherche à
produire du beau jeu sur le terrain.
Aujourd’hui, notre image a changé.
On ne parle plus de l’OM pour ses
crises, son instabilité, mais en termes
positifs. On a retrouvé un capital de
sympathie. »

Anigo est de mieux en mieux dit donc

Marseille va tout casser ti

Anigo : "Ne pas se laisser griser"

Première journée de championnat, Strasbourg - OM J-4

José Anigo n'est pas un directeur sportif distant. Il aime demeurer au contact de son équipe, en partager les rires et les jeux avant et après les entraînements, sentir battre son pouls, même s'il se retire ensuite volontiers dans son bureau sitôt revenu à La Commanderie où il multiplie les réunions, pour mieux se replonger dès qu'il le peut dans le décor qu'il préfère, au doux parfum de pelouse humide.

À quelques jours de la première journée de championnat, il est aussi impatient que les joueurs ou les supporters. Mais il essaie de contenir son émotion en prenant de la hauteur et en appréhendant les dangers.

José, content de cette intersaison?

Oui, dans la mesure où nous avons recruté, en notre âme et conscience, comme nous le voulions. En donnant de la valeur et du caractère à cette équipe. Nous n'avons pas trahi nos idées. Et à la fin des sept matches amicaux, nous avons acquis certaines certitudes. Certains doutes sont apparus aussi, parce que le doute fait partie du football, il permet d'avancer. Mais il se dissipera avec les premiers matches, je pense.

Avez-vous des regrets?

Non. Aucun.

Avec le départ de Pagis, il vous manque cependant un joueur ayant son profil en attaque...

On peut dire ça ainsi. Mais l'équipe est bâtie sur deux flèches, Cissé et Niang, ayant beaucoup de percussion. Il nous reste jusqu'au 31 août pour prendre un joueur de ce profil-là, joueur de tête, remiseur, mais il n'y a pas le feu. Laissons démarrer la saison et après deux ou trois matches, nous y verrons plus clair sur l'organisation et nos forces et faiblesses.

Ce serait un joueur de complément?

Je pense. Avec Zenden, Nasri, Ziani, nous possédons un potentiel offensif enviable. Nous pouvons nous doter d'un attaquant au profil différent, mais en fonction de notre budget et des possibilités.

D'autres départs sont envisagés, vous avez des contacts pour Oruma ou Civelli ?

Il y a eu des contacts pour Civelli, mais il sait qu'il est dans un bon club et ne veut pas aller n'importe où. Il y a une force défensive, une concurrence difficile à vivre pour un garçon qui ambitionne de jouer. Nous ne lui fermons donc pas la porte, mais il faut que les propositions conviennent à lui et à nous.

Et les jeunes qui n'ont pas été prêtés, comme Camara et les deux N'Diaye ?

Il leur sera difficile de jouer en pro. Le seul qui est capable d'entrer en jeu et d'avoir un profil de carrière à la Nasri, c'est André Ayew. "Petit Dédé" a montré un très fort potentiel.

La cellule de recrutement est déjà en action?

Bien sûr, nous avons déjà supervisé des joueurs lors des tours préliminaires de la Ligue des champions ou lors de la première journée de Ligue 2. Nous faisons le point tous les quinze jours. C'est comme ça que l'on peut recruter ma
lin, dénicher des talents plutôt de payer le prix fort quelques années plus tard.

Qu'attendez-vous du jeune Serbe Krstic?

Il est dans un cadre de post-formation, avec un niveau que nous ne possédons pas. Il peut venir chez nous, se perfectionner et, dans une perspective d'avenir, s'entraîner avec les pros et jouer en réserve.

On sent une belle ambiance dans le groupe. Est-ce qu'elle peut résister à des résultats décevants?

Nous avons voulu effectivement créer une ambiance qui serve de pare-feu contre les moments difficiles que toutes les équipes connaissent dans une saison. Même Lyon, qui a fini avec une avance considérable sur nous, s'est retrouvé pris dans un cyclone en fin de saison, avec des déclarations désagréables entre joueurs ou à l'encontre de l'entraîneur. Mais ils ont été champions. Notre force, l'an dernier, a été de traverser les périodes difficiles et de nous relever. L'ambiance que vous avez pu apprécier en stage, nous la cultivons dans ce but.

Peu à peu, des joueurs de qualité vont moins jouer. Ce sera un autre écueil...

Les grands clubs connaissent ça. Il vaut mieux avoir la migraine parce qu'on a trop de joueurs de qualité que pas assez. Ne nous plaignons pas, avançons! Si quelqu'un n'est pas content de son sort, nous discuterons, les portes sont ouvertes.

Avec les bons résultats des matches amicaux, l'aspect séduisant du recrutement, ne craignez-vous pas un trop fort vent d'optimisme?

Vous avez tout résumé. Le plus grand piège est de se laisser entraîner là-dedans. Il y a une attente très forte, on a l'a vu lors des matches amicaux disputés à guichets fermés. À nous de faire retomber la pression, de ne pas nous laisser griser. Gardons la pression pour la compétition. Que les joueurs attendent le jour du match! Vivons cela sereinement.


La Provence

Quand Anigo tacle Fiorèse...

Depuis son retour de prêt de Lorient, Fabrice Fiorèse s'entraîne à l'écart du groupe dans l'attente de trouver un nouveau club, lui qui est sous contrat avec l'OM jusqu'en 2008. Mécontent de ce traitement de faveur, il l'avait fait remarquer à la presse

Un comportement qui ne plait pas du tout à José Anigo "Fiorèse se présente comme un pestiféré, mais avec plus de 62 fois le Smic comme salaire mensuel, il a des conditions de vie bien agréables. C'est honteux de se plaindre à son niveau.(...) Il a un entraîneur diplômé, de l'eau (sic), une pelouse de qualité, un vestiaire. (...) Il a besoin de se relancer car, pour lui comme pour l'OM, le mariage n'a pas été heureux" a déclaré le directeur olympien dans les colonnes de La Provence.


Le Phoceen

J. Anigo : «Un bon match à l’extérieur»

«C’est un match de début de saison avec tous les réglages que cela comprend. On n’a pas pris de but, on a été solide et c’est l’esprit que l’on veut garder pour toute la saison. On ne veut pas perdre nos matches à l’extérieur, comme la saison passée.

La charnière centrale a trouvé ses repères. Il reste des réglages à faire offensivement mais Albert (Emon) va s’en occuper tranquillement. Mais on sera là, il n’y a aucune inquiétude. On voit que lorsque les remplaçants sont rentrés, ils ont été bons. Cela apporte une puissante offensive intéressante. C’est un bon début pour un match à l’extérieur. Cela donne de la confiance à tout le monde.

La semaine prochaine, cela ne sera pas le même contexte. A la maison contre Rennes, cela sera un autre match. Je pense qu’on sera un peu mieux physiquement. Il ne faut pas oublier que Samir Nasri n’est pas encore là.»

om.net

Il est à Montpellier pour voir Algérie-Brésil

Anigo : "Le Brésilien c'était Ziani"
Le 23/08/2007 à 09:50

Présent dans la tribune officielle du stade de La Mosson de Montpellier pour le match amical entre le Brésil et l'Algérie, le directeur sportif de l'OM, José Anigo a pu apprécier la prestation du milieu de terrain olympien Karim Ziani. "Je suis venu voir le Brésil, j’ai découvert une excellente équipe d’Algérie que je connaissais déjà" indique Anigo sur le site LeButeur.com. "Ce soir à La Mosson, le vrai Brésilien c’était Karim Ziani qui a montré toute l’étendue de son talent. Si ce groupe algérien ne va pas en Coupe d’Afrique, ce serait un véritable gâchis."

A ses côtés, Salim Arrache, déçu suite à son forfait, a pu suivre la rencontre qui s'est soldée par une défaite des Fennecs 2 buts à 0 (voir la dépêche).

A la fin du match, Karim Ziani déclarait : "Cela a été un beau match. Nous avons bien su défendre et nous avons fini par céder contre une grande équipe. N’importe quelle équipe aurait pu encaisser deux buts contre Ronaldinho et Kaka." Satisfait par la prestation de l'Algérie, Ziani veut désormais voir plus loin et la qualification pour la CAN 2008 : "Nous aussi nous avons montré de belles choses. A présent, il faut se concentrer sur le match contre la Gambie, car le vrai objectif reste la qualification pour la CAN-2008."

Lephoceen

C'est clair que hier il a été trés bon !

Caen 1-2 OM :réaction

José Anigo : «Une victoire dédiée à Cédric»
"Il y a eu une prise de conscience des joueurs. On sait que l’équipe a de la qualité et on l’avait déjà vu contre Nancy. Le contenu avait été bon mais le résultat était plus que mauvais parce qu’on mène 2-0, comme ce soir, tu te fais remonter et tu perds deux points. Ce soir, on a fait la même chose, mais en gagnant. On aurait pu alourdir un peu plus le score. La victoire de ce soir donne de l’air à tout le monde. On va pouvoir travailler sereinement. Cette équipe se met en place petit à petit et trouve un équilibre. Il faudra confirmer mercredi face à Nice, il faudra de nouveau faire un bon match et gagner pour se rassurer un peu plus. On dédie cette victoire à Cédric (Carrasso). J’espère qu’il prendra son mal en patiente et qu’il reviendra vite."

Site off

@ José Anigo Au micro de Canal+ "quand on voit les effectifs de Nancy et Valenciennes, ils n'ont pas forcément des noms ronflants mais pour autant ils s'en sortent. Il faut savoir mouiller le maillot..."

Je commence à l'aimer ce Anigo, c'est vraiment quelqu'un de bien, je suis du même avis que lui bien souvent.

José Anigo : "Je suis plutôt satisfait"



"Ce n’est pas un mauvais tirage. On est capable de faire quelque chose. On connaît très bien Porto, on les a déjà joué en 2003. Ils ont un très bon joueur devant qui est Quaresma. Il y a aussi le jeune brésilien, Anderson. C’est une équipe très difficile à jouer. Concernant Liverpool, Rafa Benitez est l’entraîneur. On a peut être une revanche à prendre sur la finale de la coupe de l’UEFA. On ne peut pas dire que ce soit les plus grosses équipes. On connaît bien Anfield Road. Djibril (Cissé) et « Bolo » (Zenden) y ont déjà joué aussi. Djibril (Cissé) voulait prendre Liverpool. On devra aussi aller en Turquie. Ce ne sera pas facile, le public est vraiment survolté. On a certainement pris la poule qui peut nous permettre de nous en sortir. C’est réalisable. Je suis plutôt satisfait."

OM.net

On devrait commencer par battre Nice, Strasbourg etc... avant de se voir contre Porto et Liverpool non?

Faudrait surtout lui dire que Anderson a signer à Mu...

Beye13 a écrit:

Faudrait surtout lui dire que Anderson a signer à Mu...

http://www.equipe.fr/Football/breves2007/20070917_175623Dev.html

rato12 a écrit:

http://www.equipe.fr/Football/breves2007/20070917_175623Dev.html

Anigo pas candidat

Jose Anigo, directeur sportif de l'OM, a déclaré qu'il n'était "pas question" pour lui de remplacer Albert Emon au poste d'entraîneur de Marseille.

"Je ne veux pas du poste d'entraîneur à l'OM, ni maintenant, ni plus tard, c'est ce que je répète depuis deux ans. Je suis très heureux dans mes fonctions actuelles de directeur sportif, sur un projet à long terme. Si je devais entraîner de nouveau, et je pense que je le ferai, ce ne sera pas à Marseille", a encore assuré Anigo.

Eurosport