[Bordeaux] Objectif ? Le maintien

Erding :Bordeaux n'a pas d'argent

D'après le président Jean-Louis Triaud, les Girondins ne devraient plus se montrer actifs sur le marché des transferts.

Après les arrivées de Landry N'Guemo et de Nicolas Maurice-Belay, les Girondins de Bordeaux vont-ils encore recruter avant la fin du mercato ? Interrogé à ce sujet, Jean-Louis Triaud s'est montré perplexe : « A priori non. Francis Gillot ne l'a jamais caché, enregistrer l'arrivée d'un attaquant de rupture, capable de prendre la profondeur serait un plus, car nous n'avons pas ce profil de joueur dans notre effectif, mais nous n'avons pas le budget pour cela », nous a confié le président aquitain.

Quant à la rumeur Mevlut Erding réactivée par le quotidien Sud Ouest ces derniers jours : « C'est un très bon joueur. Peut-être que les gens ont fait un rapprochement avec le fait que Francis Gillot l'ait déjà entraîné, mais je ne suis pas sûr que Paris soit vendeur et je n'ai pas l'impression qu'il soit mécontent d'y être. Et puis encore une fois, nous n'avons pas les moyens », a répété Triaud pour qui le mercato girondin ne devrait plus réserver de surprise « à moins qu'on gagne au loto d'ici la fin du mois ». Ce qui peut toujours arriver...

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Nouveau pépin pour Planus

Absent depuis plusieurs semaines en raison d'une blessure aux adducteurs, le défenseur central de Bordeaux, Marc Planus, reprenait l'entraînement ce matin au Haillan. Mais, après quelques minutes passées sur le terrain, le Girondin a de nouveau ressenti une douleur et a demandé à sortir. Marc Planus (seulement onze matches de L1 en 2010-2011) entame-t-il une nouvelle saison galère ?

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Le nouveau Rodriguez.

Geraldo Wendel signe à Al Ittihad (L1 saoudienne).

Quelle chute en 2 ans...

Triaud : «On n'a pas d'argent»

Les supporters des Girondins de Bordeaux vont être déçus, la fin du mercato s'annonce plutôt calme du côté de la Gironde. «On regarde, on est attentifs mais on est à l'affût de rien. On n'a pas d'argent. On sait qu'il nous manque quelqu'un devant, mais si on n'a rien fait jusqu'à présent, c'est que soit le joueur ne nous convenait pas, soit celui qui nous convenait n'entrait pas dans nos conditions. Un joueur à 6 millions ou plus, ce n'est pas dans nos possibilités», a expliqué Jean-Louis Triaud, le président de Bordeaux dans le quotidien Sud Ouest.

On sait pourtant que l'attaquant turc du PSG Mevlut Erding est espéré par l'entraîneur Francis Gillot.

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D'après RMC Iaquinta a refusé Bordeaux hier.

Jussiê : «Que Gillot donne des noms»

Visiblement, Jussiê ne se sent pas du tout visé par les critiques de son entraîneur Francis Gillot, émises après la défaite (1-3) en Coupe de la Ligue à Saint-Étienne (le technicien avait notamment déclaré : «Au lieu de jouer en ballerines, ils mettront des crampons», ndlr). «Il faudrait qu'il (Gillot) donne des noms, comme cela, on saurait qui ne se fait pas violence, a répliqué le milieu de Bordeaux dans une interview accordée vendredi à 20 minutes. Au fond de moi, je sens que je donne tout. Cela fait quelque temps que je suis professionnel, je sais ce que je dois faire et ne pas faire.»

Il pointe du doigt ses coéquipiers

Mieux encore, le joueur brésilien, entré en jeu à la place de Marc Planus (42e) avant la mi-temps et taclé en direct sur France 3 par Xavier Gravelaine («Il faudrait dire à Jussiê que l'échauffement est terminé...», avait commenté le consultant de France télévision, ndlr), s'est permis de pointer du doigt certains de ses partenaires. «Ceux qui n'arrivent pas à faire ce que demande le coach n'en sont pas capables, tout simplement», a carrément lâché Jussiê. Des propos qui devraient sans aucun doute plaire à Francis Gillot et aux joueurs de l'effectif girondin...

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Sympa l'ambiance.

De Tavernost victime d'un pirate

La page Wikipedia du président des Girondins de Bordeaux, Nicolas de Tavernost, a été piratée le week-end dernier, probablement par un supporter bordelais mécontent de sa gestion du club, rapporte le quotidien Sud-Ouest.

Après les éléments biographiques classiques, «depuis 1999, il est administrateur du club de football des Girondins de Bordeaux», le pirate a ajouté «Il est aujourd'hui en train de faire couler ce club de par son manque d'ambition et ses oursins dans les poches. Depuis le titre, Bordeaux ne cesse de vendre ses joueurs en les remplaçant par d'autres qui n'ont absolument pas le niveau pour atteindre les objectifs que le grand patron fixe. Il restera le plus mauvais actionnaire de l'histoire des girondins.»

Cette page piratée est restée en ligne pendant trois jours avant que l'intéressé ne s'en rende compte et n'intervienne. Ce n'est pas la première fois qu'une telle mésaventure se produit à Bordeaux : l'an passé, c'est l'attaquant Moussa Maazou, désormais au CSKA Moscou, qui en avait fait les frais.

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Triaud : «Je ne pensais pas être aussi près de la réalité»

Ce vendredi, dans un entretien accordé à France Football, Jean-Louis Triaud, qui parfois ne ménage pas son équipe, refuse tout catastrophisme sur la situation des Girondins de Bordeaux, actuellement treizièmes de Ligue 1. Extraits.

«Je dis les choses telles que je les sens et telles que je les vois.» Après cette remarque préliminaire, Jean-Louis Triaud s'est longuement confié, ce vendredi dans les colonnes de France Football, sur la situation des Girondins de Bordeaux, auteurs d'une entame de saison médiocre.

Envers ses joueurs, le président des Girondins est parfois dur. Mais c'est pour leur bien et celui de son club. «Il faut obtenir une réaction des joueurs, explique-t-il. S'il ne se comporte pas exactement comme on souhaite, il n'y a pas de raison de ne pas leur dire. Les laisser s'enfermer dans une mauvaise dynamique ne leur rendrait pas service (...). Cette saison, il n'y aucune ambitions avouées, sinon de gagner le plus de rencontres possible. L'année dernière, certains joueurs ont trouvé qu'on leur avait mis trop de pression en exigeant, plutôt en souhaitant une qualification pour une Coupe d'Europe, de préférence la Ligue des champions. Alors, cette année, j'ai voulu leur infliger moins de pression en disant qu'on jouait le maintien. Je ne pensais pas être aussi près de la réalité !»

Jean-Louis Triaud poursuit en détaillant les maux bordelais. Et même s'il refuse tout catastrophisme, le président du club bordelais se montre ferme, surtout envers ses joueurs...

A lire dans France Football, daté de ce vendredi 23 septembre, l'intégralité de l'entretien avec Jean-Louis Triaud : «Les joueurs doivent se prendre en charge»

Boycott des supporters ?

Mécontents de «l'apathie de l'équipe» et de la «gouvernance du club», des supporters des Girondins de Bordeaux appellent à «ne plus acheter les produits dérivés commercialisés par le club et à boycotter le stade lors de la rencontre (face au) PSG le 05 Novembre 2011», via une pétition publiée sur Facebook notamment. «Nous déplorons la frilosité affichée et les objectifs déclarés de Jean-Louis Triaud qui annonce que l'équipe jouera le maintien cette saison», explique le texte, tout en précisant que «ce n'est pas une revendication. (...) Nous n'attendons aucune promesse.»

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Triaud allume Diouf sur sa gestion de l'OM

Jean-Louis Triaud est clairement agacé d’entendre Pape Diouf le critiquer régulièrement sur sa gestion des Girondins de Bordeaux. Consultant pour plusieurs médias, l’ancien président de l’Olympique de Marseille ne ménage jamais celui qui était son rival sportif, mais Triaud a décidé de répliquer dans Sud-Ouest. « Quand il était président de l’OM, Robert Louis-Dreyfus lui a offert 200 millions d’euros et jusqu’à preuve du contraire, il n’a rien gagné. Quand Dassier, qui n’y connaissait rien, est arrivé, Marseille a remporté trois titres », fait remarquer le président des Girondins de Bordeaux, histoire de remettre quelques pendules à l’heure. Pape Diouf appréciera à sa juste valeur cette petite « vacherie ».

foot01

Il est chaud.

Beye13 a écrit:

Triaud allume Diouf sur sa gestion de l'OM

Jean-Louis Triaud est clairement agacé d’entendre Pape Diouf le critiquer régulièrement sur sa gestion des Girondins de Bordeaux. Consultant pour plusieurs médias, l’ancien président de l’Olympique de Marseille ne ménage jamais celui qui était son rival sportif, mais Triaud a décidé de répliquer dans Sud-Ouest. « Quand il était président de l’OM, Robert Louis-Dreyfus lui a offert 200 millions d’euros et jusqu’à preuve du contraire, il n’a rien gagné. Quand Dassier, qui n’y connaissait rien, est arrivé, Marseille a remporté trois titres », fait remarquer le président des Girondins de Bordeaux, histoire de remettre quelques pendules à l’heure. Pape Diouf appréciera à sa juste valeur cette petite « vacherie ».

foot01

Il est chaud.

Peut-être parce que Dassier a su profiter du travail de Diouf ? Tiens d'ailleurs aujourd'hui quand on doit gérer le club avec ce que Dassier a laissé, on a du mal financièrement et sportivement
Et venant d'une tanche comme Triaud, je pense pas que Diouf soit touché par ça.

Triaud

RLD n'a pas donné 200M que lors de l'époque Diouf Ce meme Triaud, dont son club est en déficit chronique depuis 2-3 saisons, il ferait mieux de se taire

Moi j'aime bien ce commentaire: "Tocards d'ordures vigneronnes. A dans 8 ans, pour votre hold up de la décennie :D"

De Tavernost : «Totale confiance» en Gillot

Attendu vendredi à Bordeaux, pour la signature du partenariat financier pour la construction du futur grand stade, Nicolas de Tavernost a brisé le silence au sujet de la situation des Girondins, en position délicate (18es) après onze journées de Championnat. Et tenu à conforter son entraîneur, arrivé l'été dernier en Aquitaine. «Francis Gillot est quelqu'un de courageux, qui fait preuve d'efficacité et qui, quoiqu'il arrive, sera présent à la reprise de janvier, assure le président du directoire de M6, propriétaire du club au scapulaire, dans les colonnes de Sud-Ouest. Ce n'est généralement pas le changement d'entraîneur qui apporte la solution. En l'occurrence, au contraire, Francis Gillot fait partie de l'actif du club aujourd'hui. Il a la totale confiance du club et de l'actionnaire.»

«Il y a des limites à tout»

Pour redresser la barre et «rétablir la situation sportive», De Tavernost évoque un geste financier de l'actionnaire au prochain mercato hivernal. «Je ne vais pas donner de montant dans la mesure où ce sera en fonction des choix qui seront effectués pour la deuxième partie de saison, affirme le boss des Girondins. (...) L'actionnaire ne devrait pas avoir à remettre de l'argent sur la table alors qu'il a donné au club les moyens de se développer, d'assurer un train de vie de cinquième et qui maintenant, parce qu'il y a urgence, va lui permettre d'effectuer un recrutement supplémentaire malgré le déficit ! Il y a des limites à tout : je ne peux pas imposer durablement aux collaborateurs de M6 à Paris de travailler pour financer le club à Bordeaux.»

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De Tavernost prévient

Présent à Bordeaux, Nicolas De Tavernost est revenu sur la situation des Girondins. Si M6 va réinjecter des fonds en vue du prochain mercato, l'actionnaire à prévenu : le club ne doit plus se tromper.

De passage à Bordeaux ce vendredi, pour y rencontrer Francis Gillot et officialiser le partenariat public-privé concernant la construction du futur grand stade, Nicolas De Tavernost était également présent à un petit déjeuner organisé par le magazine Objectif Aquitaine. Le président du directoire de M6 en a profité pour revenir sur la situation des Girondins de Bordeaux, relégables. « Ça n'aura échappé à personne, la situation n'est pas bonne. Pour le moment il ne s'agit pas d'analyser la cause. Ce qui est important, c'est d'en corriger les effets », a déclaré NDT, qui a également confirmé que l'actionnaire allait « hélas, remettre la main au porte-monnaie » pour faire face à « cette situation accidentelle et anormale. »

« Mais cet effort fait dans l'urgence ne remplacera l'examen rigoureux, qui devra être fait pour déterminer les causes de cette situation », a néanmoins prévenu De Tavernost. « On ne peut pas masquer par l'argent des insuffisances sportives. Nous assumons notre part de responsabilité en continuant de faire notre rôle d'actionnaire, au-delà du budget du club qui est déjà le 4e ou le 5e français. Mais ce que nous demandons en échange, c'est qu'on ne se trompe pas une nouvelle fois, car il n'y aura pas de session de rattrapage multiple par rapport à des recrutements », a-t-il poursuivi, avant de conclure : « On fera l'examen à la fin de la première partie de saison. Avec à la fois les possibles recrutements et l'état où nous en serons après les prochains matches. En fonction de ça, on sera peut-être amené à prendre d'autres décisions. Voilà, c'est clair ? »

Article lequipe

Triaud préfère tout plutôt qu'Anigo à Bordeaux

Les résultats de Bordeaux sont mauvais, mais Jean-Louis Triaud n’a rien perdu de son humour toujours aussi caustique, au risque de prendre quelques réflexions en retour. Alors que l’on évoque la possibilité pour les Girondins de prendre un directeur sportif pour épauler Francis Gillot, le président du club au scapulaire a préféré s’en amuser en montrant qu’il suivait très bien l’actualité du football.

« On nous dit : « il vous faut un directeur sportif». Si on doit prendre celui qui doit bientôt être libre dans un club du midi (NDLR : José Anigo à l’OM), je ne suis pas sûr que ce soit un renfort très utile en période de crise. Il faut rester serein, ce groupe possède un potentiel supérieur à son classement actuel », a expliqué Jean-Louis Triaud, jamais avare de bons mots. Il n’est cependant pas certain que José Anigo partage ce trait d’humour.

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Il en rate pas une avec l'OM

Triaud répond à Dugarry

Interrogé par Sud Ouest samedi, Christophe Dugarry avait pointé du doigt la politique sportive des Girondins de Bordeaux : «Il y a des choses qui m'interpellent. Quelle est la stratégie du club ? Pourquoi Bordeaux n'a-t-il pas de directeur sportif ?» En marge du nul concédé contre Paris (1-1), le président Triaud lui a répondu dimanche soir : «C'est un charmant garçon et un super mec que j'aime beaucoup. S'il a envie de connaître le fonctionnement du club, je suis à sa disposition. On a une cellule de recrutement bien organisée autour de Jérôme Bonnissel. Je pense que c'est plus simple qu'une organisation avec un directeur sportif. Je voudrais qu'on me donne l'exemple d'un club qui fonctionne bien avec un directeur sportif. C'est souvent source de conflits. Rien ne me surprend, j'ai récemment entendu Claude Onesta, qui a taillé un costard à des anciens entraineurs ou joueurs devenus consultants et qui donnent des leçons. Ils sont dans leur rôle, mais il y a une limite quand même»

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Dugarry contre-attaque

La polémique Dugarry - Triaud a de nouveau rebondi. Si le premier s'est dit intéressé, un jour, par un poste à responsabilités, le second a émis un doute sur ses compétences. Ambiance.

Après une interview accordée à SudOuest.fr où il avait mis en doute la politique sportive des Girondins de Bordeaux, Christophe Dugarry a vu le président Triaud réagir sur ce même site, à la fin du match Bordeaux-PSG dimanche soir (1-1), en critiquant «les anciens joueurs devenus consultants et qui donnent des leçons». Le champion du monde a décidé de répondre au dirigeant girondin considérant que «mettre les consultants sur le banc des accusés, c'est trop facile». Vraisemblablement agacé qu'on puisse mettre en doute ses compétences et brider sa liberté de parole, Dugarry a fait son "coming out" ce lundi toujours sur Sudouest.fr, expliquant ses sorties médiatiques et ses ambitions : «Moi qui ai fait 16 ans de carrière, qui ai 55 sélections, moi qui ai participé à deux Coupes du monde, deux championnats d'Europe et deux finales de coupe d'Europe, je ne suis pas légitime ? Si même avec tout ça on ne peut pas dire ce qu'on pense (...), qui peut le faire ? J'ai des arguments, j'ai des infos, je ne balance pas des trucs à l'aveuglette. Je ne suis pas un sniper et ce que je dis n'engage que moi».

«Je prendrais mes responsabilités»

Quand on lui reproche de parler dans les médias mais de ne jamais s'impliquer, sa réaction d'ancien Bordelais est immédiate. «Je n'ai pas peur de prendre mes responsabilités, sauf que je veux les prendre dans un rôle qui m'intéresse, (...) pas comme entraîneur ou directeur sportif. Si je revenais dans le football, ce serait plutôt dans un rôle de chef. Mais attention je ne suis pas un putschiste. Si le poste était vacant, si Jean-Louis Triaud décidait de prendre du recul, s'il avait envie de s'occuper de ses petits enfants, alors je prendrais mes responsabilités». Une nouvelle déclaration peu goûtée par Jean-Louis Triaud qui a réagi : «S'il a envie d'être candidat, il n'a qu'à être candidat, nous a-t-il dit. Ce n'est pas ce qu'il disait, mais... Il faudrait qu'il ait les compétences pour le faire. Bref, je ne suis pas là pour engager la polémique avec Monsieur Dugarry». Interrogé sur ses propos au Canal footbal Club où il s'était dit prêt à «laisser la place», le président girondin répond : «Ce n'est pas à moi de décider, il y a un actionnaire. S'il veut prendre Dugarry il n'y a qu'à s'adresser à l'actionnaire». Ambiance...

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