[Steve Mandanda] El Fenomeno

Massilia57 a écrit:

Spinosi : « Tu as trop habitué les gens aux miracles »

Message du Mer 22 Oct 2008 - 13:55

Beye13 a écrit:

Il en a tellement fait l'année dernière que maintenant ils attendent beaucoup trop de lui.

Content d'avoir le même avis qu'un spécialiste.

Bel article en effet, je suis d'accord sur tout ça.
Mandanda a tellement était bon l'année dernière, on s'est tellement reposé sur lui que maintenant qu'il est un peu moins bien tout le monde est déçu et le fait remarquer. C'est dégueulasse mais c'est normal. Je rejoins tout à fait l'avais de Janot là dessus, je trouve que ça reflète bien la situation actuelle.
Moi aussi je lui fais confiance.

On a retrouvé notre Mandanda

Ce soir il a repondut au critique sur le terrain comme il l'avait dit superbe mandanda !!

Mon avatar porte bonheur. :love:

Massilia57 a écrit:

On a retrouvé notre Mandanda

Et ça, ça fait plaisir. :love:

La sortie qu'il fait un moment sur koevermars je croit et l'arret en fin de match !!

Sa c'est du mandanda !!

Contente pour lui, il répond de la meilleure des manières.

C'était sans doute pour lui le match qui va lui redonner confiance. Aucune erreur et des ballons très difficiles qu'il a très bien géré. S'il revient au même niveau qu'était le siens l'an dernier et qu'on continue à marquer autant de buts, on aura peut-être enfin quelque chose à la fin de la saison.

« Je ne suis pas un robot »

STEVE MANDANDA, auteur d’un superbe match contre le PSV (3-0) mardi, revient sur les critiques dont il a fait l’objet. Et s’explique.

Mardi soir, la zone mixte du Stade-Vélodrome, ce lieu de rencontre entre les journalistes et les joueurs, se vide. Steve Mandanda ajoute, lui, du rab à sa belle soirée « néerlandaise » (3-0 contre le PSV). Le gardien international (6 sélections), âgé de vingt-trois ans, accepte de revenir pour L’Équipe sur les critiques qui l’ont visé récemment. Certaines l’ont touché et il s’en explique. Ensuite, au coeur de la nuit, il sera temps pour le joueur de l’OM d’analyser minutieusement sa performance. « Après les matches, j’ai du mal à dormir. Alors autant regarder ce qu’on a réalisé contre le PSV que de ne rien faire du tout ! En tout cas, ça m’aide à avancer. »

COMMENT VIVEZ-VOUS cette période délicate ?
– Je vis une période difficile car j’ai moins influé sur le jeu et sur les résultats de l’équipe. J’ai été moins décisif, c’est une réalité. Mais il faut garder une certaine mesure...

– C’est-à-dire ?
– Je n’étais pas d’accord avec les critiques. Je ne suis pourtant pas du genre à me cacher. J’ai revu les buts encaissés (notamment sur des sorties aériennes, lors de matches avec l'équipe de France) plusieurs fois. Sortir, pas sortir ? Difficile à dire. Tout le monde a parlé sauf moi. Ça ne servait à rien d’entretenir un débat là-dessus. Et parler pour quoi ? J’ai entendu des choses. À un moment, ça va… Mais c’est comme ça. Il faut faire avec.

– Avez-vous été touché ?
– Peut-être qu’à un moment, ça m’a touché… Mais c’est le boulot. Mon nouveau statut d’international fait que les gens sont plus difficiles.

– Est-ce que ces critiques ont pu avoir une influence sur vos performances ?
– Sur un terrain, on ne pense surtout pas à ça. C’est plutôt en dehors que ça joue. Ma famille était mal. Et voir mes parents comme ça m’a touché.

– Il faut dire que vous viviez dans un rêve depuis un an…
– C’est obligatoire d’avoir un moment de moins bien. Je m’y attendais. J’ai fait l’Euro, j’ai eu peu de vacances… Mais ce n’est pas une période qui a duré : j’étais un coup bon, un coup moins bon.

– Notamment contre Paris (2-4) et Saint-Étienne (3-1). Peut-on douter alors ?
– Et contre le PSV, ça a été, non (sourire) ? Au contraire, si les critiques m’ont touché, elles m’ont aussi stimulé, renforcé.

« C’était la période Mandanda : il fallait m’allumer »

– Vous sentiez-vous contesté ?
– Oui, par la presse. Je n’ai pas été épargné. Maintenant, je fais mon boulot, je travaille et je veux être le plus performant possible.

– La concurrence avec le Lyonnais Hugo Lloris est aussi un élément important. Elle semble partie pour durer…
– Oui, mais je ne pense pas aux autres. Si je ne suis pas bon, ça ne sert à rien. Je me concentre sur mes performances.

– Vous êtes en plein apprentissage du très haut niveau…
– C’est vrai. Il faut prendre sur soi, faire le dos rond. Je vis une période que je n’avais pas encore connue… C’est bien (sourire). À un moment, on parlait de mon jeu au pied, puis de mes sorties aériennes… Mais je sais mes forces et mes faiblesses et je sais le travail que je fournis.

– Vous sentez-vous remis en cause en bleu ?
– Ce n’est pas à moi de répondre. Des périodes difficiles, tout le monde en a, j’en vivrai encore. Je suis un être humain, je ne suis pas un robot. Il fallait retourner la situation le plus rapidement possible. J’ai quand même eu l’impression que c’était la période Mandanda : il fallait m’allumer.

– Le haut niveau, c’est si dur ?
– Ce n’est pas évident, mais on a la chance de vivre des trucs extraordinaires. Faut arrêter : on joue simplement au foot. Quand on sait que certains meurent de faim, sont malades… Relativisons. Je suis vraiment heureux (rire). Je connaissais déjà l’obligation de résultats l’an passé à l’OM. Bien sûr, il y a les Bleus. Le degré d’exigence est plus élevé. Un match de la France, c’est différent : tout est ausculté.

– Avez-vous parlé avec Domenech ?
– Non, mais il n’y a pas de soucis. Sinon, on m’en aurait parlé. Dans cette équipe, ça se passe vraiment bien entre nous. Je m’y sens bien.

– Il n’y a plus de problèmes entre les anciens et les jeunes ?
– C’est fini (rire).

– Que vaut l’OM aujourd’hui ?
– On a énormément de qualité mais, à un moment, on fait une erreur que l’on paye cash. On va d’abord jouer la troisième place de notre groupe de Ligue des champions et on verra si on peut espérer mieux

– La défaite à Eindhoven, au match aller, avait permis de recadrer certaines choses. Était ce nécessaire ?
– C’était bien. On a été nuls là-bas. Bien sûr, si on fait le total des points perdus bêtement, on pourrait être plus haut. Mais si on était les meilleurs, on serait devant.

– Croyez-vous encore au titre de champion ?
– J’y crois. Quatre points de retard, c’est jouable. On a démontré notre niveau quand on fait les efforts en commun. Il y a un coup à jouer. On a le potentiel. »

Article lequipe

Son frere parfait a fait un essai a lens mais il n'a pas été retenu.Il reste donc dans son club actuel.

Mandanda le retour Il revient en forme avec 2 bonnes performances contre le PSV et Grenoble

Encore un match sans pour Steve, un de plus, 3 buts encaissés dont le 2ème où il est totalement responsable. Maintenant je n'hésite plus à le dire, on a vu Mandanda sûrement trop beau et si sa saison dernière était exceptionnelle, celle de la confirmation ne se passe pas du tout comme nous l'espérions, tout du moins pour le moment...

M'ouais il pouvait pas faire grand chose pour moi ce soir. C'est pas Spiderman. ^^

Moi j aime bien ce joueur et comme j ai pas vu le match je peux pas dire que c est de ça faute si on c est pris les buts mais je trouve que c est facile de remette la faute sur la gardien faut voir aussi si le reste de l équipe etait bien a son poste mais, bon je ne vais pas epilogué sur un match que j ai pas vu.

STEPH a écrit:

Encore un match sans pour Steve, un de plus, 3 buts encaissés dont le 2ème où il est totalement responsable. Maintenant je n'hésite plus à le dire, on a vu Mandanda sûrement trop beau et si sa saison dernière était exceptionnelle, celle de la confirmation ne se passe pas du tout comme nous l'espérions, tout du moins pour le moment...

Le faux rebond, il aide pas non plus

2ème but pour lui ? Il était en position pour le détourner, paye la pelouse de m*de...

Kevom8901 a écrit:

2ème but pour lui ? Il était en position pour le détourner, paye la pelouse de m*de...

Tu lui diras merci car elle évite un but d'Abriel en 1ère mi-temps

Faut avoir confiance en lui, il reviendra à son niveau ! Il faut qu'il se batte, et qu'il retrouve sa confiance. Car là, il est nul depuis plusieurs matchs, faut pas se voiler la face...

On est avec lui !

Mandanda : «Une faute professionnelle»

En onze minutes, l’OM a encaissé trois buts face à Lorient, samedi soir au stade Vélodrome. Dimanche, Steve Mandanda n’était pas complètement remis : «ce match a vraiment du mal à passer».

Au moment où Steve Mandanda a pénétré dans la salle de presse de La Commanderie, dimanche matin, il n’a pas fallu très longtemps aux journalistes présents pour voir qu’il n’affichait pas la mine des grands jours. Au lendemain de la défaite olympienne face à Lorient, il ne mâche d’ailleurs pas ses mots. «C’est scandaleux de perdre de cette manière. Mener 2-0 et prendre trois buts en onze minutes, c’est une faute professionnelle pour nous. C’est grave de perdre comme ça. Certes, il y a des faits de jeu mais on menait 2-0 et on devait conserver ce score».

Le gardien marseillais ne veut pas avancer des prétextes pour expliquer le match de samedi soir. Que ce soit la pelouse ou l’arbitrage, il ne veut pas en entendre parler. «C’est trop facile. A 3-0, avec le but de Mamadou Niang, c’est vrai, le match aurait été plié mais on avait quand même deux buts d’avance. On aurait du gérer. Alors, on peut parler de l’état du terrain et des décisions de l’arbitre mais ce serait trop facile de se cacher derrière tout ça».

Erik Gerets qui a déjà revu plusieurs fois le match et qui ne cesse de l’analyser depuis samedi soir a pointé une faillite collective. Un argument qu’approuve le portier de l’OM. «A 2-0, on a peut-être cru que le match était fini. Après, on a lâché mentalement mais on n’a pas le droit de faire ça. Je ne sais pas comment l’expliquer mais cela ne doit pas arriver».
Pourtant durant le match, les Lorientais se sont procuré des occasions dangereuses qui auraient pu alerter les Olympiens sur les capacités des Merlus. C’est par exemple un simple faux-rebond qui a empêché Abriel de trouver le cadre après un joli mouvement collectif. «On menait 2-0, répète Steve Mandanda, qu’on le sente bien ou pas, on doit fermer le jeu et ne pas perdre. Beaucoup de choses n’ont pas fonctionné samedi. On en a parlé dimanche matin et on en reparlera dans la semaine. On a mis le doigt sur ce qui n’a pas fonctionné. Le problème c’est que ce sont des choses qui arrivent trop souvent. Il faut être plus solide et avoir un état d’esprit différent pour tuer un match ou conserver un résultat».

Comme toute l’équipe, Steve Mandanda a donc passé une mauvaise soirée mais au poste si particulier qu’est le sien, encaisser trois buts en un match est toujours difficile à vivre. «Je fais partie du groupe, j’ai joué ce match avec mes partenaires et nous avons perdu ensemble. Je prends trois buts alors oui, je me sens responsable».

En plus de la défaite, l’OM perd surtout une occasion de revenir au contact de Lyon qui joue dimanche soir face à Bordeaux. «Depuis la saison dernière, à chaque fois que l’on a la possibilité de se rapprocher du leader, on n’y arrive pas. Il faut que l’on soit presque dos au mur pour réussir quelque chose».
Si Lyon parvenait à s’imposer, dimanche face à Bordeaux, l’OM se trouverait, toujours deuxième, mais à sept points de l’OL. «Le championnat est encore long mais ce serait beaucoup» souligne Steve Mandanda.
Au fur et à mesure de l’interview, les mots manquent à l’ancien havrais. Cette défaite face à Lorient, il aimerait l’oublier ou du moins ne plus en parler. «Ce match a vraiment du mal à passer» lance-t-il en forme de conclusion.

Désormais, Steve Mandanda va enfiler la tenue de l’équipe de France. Les Bleus affrontent en match amical l’Uruguay, mercredi soir. Une sorte de parenthèse bleue pour Steve. «Peu importe le contexte olympien, je suis toujours content d’aller en équipe de France. Je ne sais pas si je vais jouer, c’est le coach qui décidera».

Site Off

Tellement vrai tout ce qu'il dit.

:love: EL PHENOMENO DE RETOUR ! ! :love: Un grand merci pour se soir !

Koné le feu-follet a écrit:

:love: EL PHENOMENO DE RETOUR ! ! :love: Un grand merci pour se soir !

Moi,je dirais pas ça

C'est vite oublier le 1er, voir le 2ème but

Mon avatar agit trop bien.

Massilia57 a écrit:

C'est vite oublier le 1er, voir le 2ème but

Sur le 1er erreur d'appréciation de Zubar, le 2ème vu sa colère tu penses qu'il n'a pas parlé ?