[José Anigo] Quand amour rime avec OM !

Pas totalement d'accord avec José.

Oui les joueurs détiennent la clef, et oui ce sont eux qui doivent se bouger le c** sur le terrain, mais ils ne peuvent pas tout faire ces joueurs! Sans un projet de jeu, une tactique bien mise en place et une envie d'aller de l'avant insufflée par son entraineur une équipe n'ira pas loin. Elle sera capable de coup, mais pas de gagner à long terme. Et ça ça me fait peur...

Massilia57 a écrit:

Il est allé voir Koller

Ou pour faire revenir l'incapable de Emon !

Beye13 a écrit:

Massilia57 a écrit:

Il est allé voir Koller

Ou pour faire revenir l'incapable de Emon !

Celui qui nous à emmené en C1 ok la mémoire courte chez certain...

Je m'en rappel très bien de cette époque en bois.

Pourquoi époque en bois ?

Tu te rappel plus du fiasco ? Seulement une 3ème place avec l'effectif qu'il avait, vous vous moquez de qui ?

Et cette saison on est bien parti pour faire pareil !

Bah je vois très bien cette saison.
Moi j'étais contente quand même. On était en LDC, enfin.
Après oui on aurait pu faire mieux mais j'en veux pas forcément à Emon.

Beye13 a écrit:

Tu te rappel plus du fiasco ? Seulement une 3ème place avec l'effectif qu'il avait, vous vous moquez de qui ?

Et cette saison on est bien parti pour faire pareil !

2e place.

José Anigo : «Il y a une finale à jouer»

José Anigo est resté lucide après la victoire olympienne au Stadium. Car malgré la victoire, «il y a une finale à jouer» avant de pouvoir soulever le trophée : «Ça fait longtemps qu’on n’a pas gagné un titre donc on a l’occasion de gagner encore quelque chose. C’est dans deux mois, j’espère que l’on pourra donner un nouveau trophée à notre club. C’est le minimum que l’on puisse faire.»
Le directeur sportif de l’OM n’a pas oublié les deux finales de coupe de France perdues en 2006 et 2007 et veut s’appuyer sur cette expérience : «On en a déjà joué deux (de finales), on les a perdues. Ce qu’on retient, ce sont les coupes que l’on gagne. On ne s’enflamme pas plus que ça. Je suis heureux pour les joueurs, les supporters, parce que parfois on est décevant et lorsqu’on apporte du bonheur comme ce soir, je suis content pour eux.»

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Anigo : «Un bon contenu de match»

«Le score est large et le contenu du match est bon. Il faut rester sur cette dynamique. Il ne faut plus parler de titre, de championnat. Il faut prendre les matches les uns après les autres sans pression. On veut faire notre bonhomme de chemin et on fera les comptes à la fin. Peut-être que l’on parlera de l’OM à la fin… Ce soir, on a vu beaucoup de mouvements. Par rapport au match de mercredi, on avait du jus et des jambes alors que l’on pensait que cela allait être le contraire. La performance de nos attaquants et de l’équipe dans son ensemble est bonne. On a marqué des buts, on s’est régalé. Parfois on souffre alors on savoure ces moments mais pas plus que ça. On respecte l’équipe de Valenciennes comme tous les autres, on ne pavoise pas du tout».

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J. Anigo : Une victoire «aux forceps»

«C’était important de gagner ce soir. Ça nous permet de basculer dans la partie haute du championnat. Il ne fallait pas perdre de points sur les autres, qui ont tous gagné ce soir. Il faut faire un parcours sans faute pour espérer la Ligue des Champions voir plus.

Notre temps fort a été en première mi-temps où on aurait mérité de mener par deux buts, on a eu beaucoup de situations pour marquer. On s’aperçoit qu’on prend des buts sur des erreurs d’inattention, sur des fautes bêtes. Ils sont revenus logiquement sur cette erreur de notre part. En deuxième mi-temps, on était un peu moins bien avec un temps faible d’environ 25 minutes. On a souffert et après on a repris le fil du match pour arriver à ce final plutôt bien. On a eu des occasions pour tuer le match. C’est toujours aux forceps mais on est content de prendre les trois points et de continuer notre parcours.»

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J. Anigo : «On a lavé l’affront de l’année dernière»

«On a lavé l’affront de l’année dernière. On leur a pris six points cette saison. C’est une équipe qui est toujours difficile à jouer parce qu’offensivement ils ont du talent, de la qualité. Ce soir, ils sont venus à Marseille avec trois attaquants. C’est ce que risque de faire beaucoup d’équipes qui n’ont plus la crainte, ni la pression de descendre. Il y a deux équipes déjà condamnées mais les autres ont tant de points d’avance qu’elles peuvent jouer libéré. Nancy a pu jouer avec trois attaquants et ouvrir le jeu. On devra faire attention pour la suite mais ça n’est pas plus mal, ça crée de bons matches.

Il y a beaucoup de situations offensives qui amènent du spectacle et tout le monde est content. La fatigue, on l’aura à un moment. On ne pourra pas tenir ce rythme de jouer tous les trois jours et d’être toujours au top. Il y a une bonne gestion du groupe, ça tourne bien. Certains peuvent souffler. Mais je trouve que c’est dans le jeu qu’il y a une bonne gestion avec un bon équilibre. Le ballon circule mieux, il y a plus de mouvements.

On a des motifs de satisfaction mais on ne changera pas notre ligne de conduite. Aujourd’hui on ne prétend à rien, on ne prétend pas à être champion. On pense seulement à gagner nos matches à la maison et grappiller des points à l’extérieur. On fera les comptes à la fin. On va se bagarrer.»

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« Je ne sais pas si l’OM fait peur, mais on a envie d'être dans les quatre six équipes, dans le groupe qui se détache actuellement. C'est là-dedans qu'il va falloir chercher le champion. Mais nous, on n'a plus très envie de se positionner comme un prétendant au titre. Maintenant, on n'a pas oublié qu'on a un effectif bâti pour et qu'on a une équipe qui monte en puissance » @ José Anigo sur Europe 1.

Anigo : «Ça a recréé un climat de m...»

Dans le deuxième volet de l'entretien qu'il nous a accordé, José Anigo revient sur la rivalité entre le PSG et l'OM, mais surtout sur les incidents du match aller. «Ils ont ravivé les rancoeurs pour de longues années», regrette-t-il.

«José Anigo, malgré l'écart qui sépare le PSG et l'OM ces dernières années, les clasicos ont-il toujours la même saveur ?
Ça fait l'évènement, ça reste un match particulier, mais c'est sûr que sportivement, non.

Comment expliquez-vous les difficultés rencontrées par le PSG ?
Avec mon regard extérieur, ce que je vois, c'est qu'Antoine Kombouaré est un bon coach, j'aime bien le mec. Le problème, c'est que Paris, comme Marseille, est un club compliqué, avec un environnement difficile, une forte pression... Peut-être, tout simplement, que ses joueurs n'ont pas les épaules pour supporter...


«J'aimerais bien qu'on ne traite pas nos supporters comme du bétail. Quand je vois dans quelles conditions ils vont se déplacer, honnêtement, je les plains...»

Par rapport au match aller...
(Il coupe) Ça a recréé un climat de merde et des rancoeurs pour de longues années ! C'est désagréable, surtout qu'on a essayé de faire porter le chapeau aux supporters marseillais. D'accord, les incidents se sont passés chez nous, mais ce n'est pas nous qui avons provoqué ce conflit, qui avons lâché des supporters parisiens dans la ville pour finalement les reconduire à la gare. La bêtise, elle est là ! C'est de la responsabilité des autorités. Et puis, même si je ne dis pas qu'ici tout est blanc et qu'il n'y avait pas quelques supporters de l'OM impliqués, c'était surtout des jeunes des quartiers difficiles. Il ne faut pas faire l'amalgame et diluer les responsabilités.

Avez-vous des craintes concernant ce match retour ?
Déjà, j'aimerais bien qu'on ne traite pas nos supporters comme du bétail. Quand je vois dans quelles conditions ils vont se déplacer, honnêtement, je les plains... Ensuite, tout ce que j'espère, c'est qu'ils pourront monter à Paris, voir le match et rentrer à Marseille en sécurité. Jusqu'à présent, tout le monde fait le canard, personne ne s'est s'exprimé à ce sujet. Ces beaux garçons de la Ligue, vous êtes sûr de les voir dimanche dans les tribunes parce que c'est l'endroit où il faut être. Moi, j'aurais aimé les entendre dire que le match va se passer dans de bonnes conditions...

La polémique sur les places allouées aux supporters marseillais pour ce match retour a dû vous rappeler de bons souvenirs ?
(Rires) Oui, finalement, on a coupé la poire en deux. C'était sympa, mais il faut faire attention avec ça parce que quand on part sur ce genre de sujets, ça dérape. Depuis deux ou trois ans, on a arrêté toutes ces petites déclarations parce qu'au final, tout ce qu'on pouvait dire ou faire dépassait le cadre du match et se transformait en poison. C'est dommage. Moi, j'aimais bien quand ça chambrait, ça mettait un peu de piquant... Aujourd'hui, on se contente des banderoles... C'est bien, ça montre bien de quel côté on est, mais pour nous, ça ne change rien. On arrivera et on repartira toujours en Marseillais».

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Anigo : "On dédie cette victoire aux supporters"

«Il y a eu de la qualité mais c’est vrai que l’on a souffert sur la fin de la première période où on a défendu plus qu’autre chose. On rentre à la pause en menant 1-0, on aurait pu alourdir le score avec cette tête de Gabriel Heinze. On ne va pas faire la fine bouche en gagnant ici. C’est un vrai plaisir. J’étais stressé depuis deux jours avec une boule au ventre. Plus c’est long et plus c’est difficile à contenir. Tu te languis que le match se lance. Tu ne vis pas bien ces jours avant le match. Ce qui est important pour nous, c’est de rester en course pour le titre et pour les places qualificatives en Ligue des Champions. Ce qui était doublement voire triplement important, c’était de gagner le match pour les supporters qui n’ont pas pu venir voir le match. On leur dédie cette victoire ainsi qu’à tous ceux qui ont suivi l’OM devant leur télévision.
C’est le genre de match où les joueurs ont conscience que tout le monde attend une victoire. C’est l’esprit qui règne depuis janvier avec une équipe qui s’est métamorphosé, qui a pris du poil de la bête. On est vraiment content parce que ça a une saveur particulière. Les joueurs sont heureux car descendre chez nous avec cette victoire, ça nous laisse espérer des jours intéressants. On a une semaine complète pour travailler avant d’enchaîner à nouveau sur un rythme infernal avec Lorient d’abord puis Benfica. Ça va être compliqué».

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Pas de point faible à l'OM selon Anigo

Le nul concédé dimanche contre Lorient n’a pas entamé la confiance du staff de l’Olympique de Marseille dans la suite des événements. Pour José Anigo, les joueurs n’ont rien à regretter, tant ils ont tout donné dans cette rencontre.

« Sur le contenu du match, on ne peut pas être déçu. On aurait pu enchaîner. Mais c’est le sport, il faut savoir l’accepter. Il faudra aller chercher des points à l’extérieur. On est presque condamné à gagner tous nos matches. Aujourd’hui, si l’on cherche un point faible dans l’équipe, on va avoir du mal à en trouver. Défensivement on était en place, les apports dans les couloirs ont été faits. On ne peut pas se reprocher grand-chose. La seule chose qu’on peut se reprocher, c’est la malchance », explique le directeur sportif de l’Olympique de Marseille.

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Tu veux que je commence par où ?

Anigo: «J'ai confiance en nous»

Trois jours seulement après son élimination en Ligue Europa par le Benfica Lisbonne (1-1, 1-2), Marseille aura à nouveau un match capital dimanche avec la réception de Lyon. «Nous allons relever la tête. Notre équipe a du mental», confie ce samedi José Anigo, le directeur sportif de l'OM, dans un long entretien accordé à L'Equipe. Anigo évoque également ses rapports avec Pape Diouf, l'ancien président délégué, ou encore son refus catégorique de travailler avec Jean-Pierre Bernes, l'agent de Didier Deschamps. «Je n'ai pas besoin de cirer les pompes à un agent pour faire ma carrière , lâche-t-il. Pas de problème en revanche avec son entraîneur. «Chacun est dans son rôle. On a cherché à nous opposer mais c'était une erreur», explique Anigo qui se définit également comme celui qui «préserve l'équilibre autour de l'équipe». Un entretien où il affirme enfin sa «confiance» pour aller éventuellement chercher le titre: «On a des arguments pour aller au bout».

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J. Anigo : "Ne pas parler de titre aujourd’hui"

«Ce n’était pas capital mais important, les trois points nous font gagner deux places mais c’est encore long. Cela efface la déception de Benfica et à choisir, je préfère cette victoire en championnat qui nous laisse la possibilité et l’espoir de rester dans les places européennes qui sont importantes pour le club.
Dans les dix dernières minutes, on a reculé car Benfica avait un vrai chantier. Ce soir avec un terrain lourd à cause de la pluie, on est contents car l’équipe a bien réagi. On a vu de beaux buts et on a eu de la chance. On a bénéficié du coup du sort avec les deus poteaux de Lyon. On a eu des occasions sans marquer mais ce soir, on a fait tout ce qu’il fallait. C’était un vrai match de Champions League et je comprends que Lyon fasse mal en coupe d’Europe mais on a su élever notre niveau. Entre Bordeaux, Lyon, Montpellier, Bordeaux Auxerre, c’est un beau championnat. C’est bien pour le championnat d’avoir de belles équipes comme ça.
Il reste beaucoup de points à prendre et parler du titre n’a pas de sens. On a l’ambition mais il y a 5 ou 6 équipes qui ont la même. On va revenir à des choses simples, essayer de gagner des matches, prendre des points mais il ne faut pas parler de titre aujourd’hui, il y a trop de points encore à prendre».

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On va revenir à des choses simples, essayer de gagner des matches, prendre des points mais il ne faut pas parler de titre aujourd’hui, il y a trop de points encore à prendre

Anigo y a pas à dire, il a clairement évolué! Avant il aurait dit: Ouais on sera champion!.

Là il tempère ses propos, ses ardeurs, fait redescendre tout le monde sur terre.

Citation :

Cette victoire efface la déception qu'on a eu face à Benfica jeudi dernier, à choisir je préfère cette victoire là pour continuer notre parcours en championnat, sa nous laisse la possibilité et l'espoir de rester dans une possible qualification européenne qui sont tellement importantes pour le club @ Anigo sur OMTV

Bah voilà c'est dit.

J. Anigo : «Il y a une grande sérénité»

De passage devant la presse ce mardi, le directeur sportif José Anigo a donné quelques indices sur l’ambiance qui règne dans le groupe olympien avant la finale. «Il y a une grande sérénité, pas d’ébullition ni de projet particulier si ce n’est l’envie de jouer un bon match de foot» a-t-il confié.

Mais l’ambition est là et bien là. Et pour cela, il compte sur la «force mentale» de l’OM actuellement. «Cette équipe a beaucoup de joueurs d’expérience, habitués à jouer des gros matches. Et quand on voit la réaction contre Lyon après l’élimination face à Benfica, on voit une équipe qui sait se redresser grâce à une force mentale impressionnante» a-t-il ajouté.

OM.net

Anigo prépare un livre « piquant comme un oursin »

José Anigo n'est pas encore à la retraite, loin de là, mais le directeur sportif a déjà prévu de sortir une auobiographie sur sa longue carrière au sein de l'Olympique de Marseille lorsqu'il cessera toutes fonctions au sein du club cher à son coeur. Attention, il ne s'agira pas d'un roman à l'eau de rose, dans lequel tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. « Il y a aura quelques passages piquants, comme un oursin », annonce d'ores et déjà José Anigo dans Aujourd'hui en France.

foot01

José Anigo : «Notre saison peut être complète »

« C’était une très belle finale. On a le trophée et en plus une belle finale contre une équipe de Bordeaux au complet, c’est parfait. Je voudrai dédier cette coupe à RLD qui n’est pas là pour la voir. Il doit la voir de là où il est. Je pense aussi aux supporters, ceux qui sont au stadree et aussi à ceux qui n’ont pas pu venir. Maintenant le championnat et encore là et j’espère que ce soir ce n’est que le début de la fête. Notre saison peut être complète. C’est ma cinquième finale, mais j’en ai perdu quatre. La cinquième elle est dans ma poche et je suis très très heureux. »

OM.net

Anigo impressionné

José Anigo, le directeur sportif de l'OM, était impressionné dimanche après-midi, à l'occasion de l'accueil des vainqueurs de la Coupe de la Ligue par le peuple marseillais. «Il n'y a pas de mots pour décrire cette ambiance. Je ne l'ai pas vécu en tant que joueur et entraîneur, c'est exceptionnel de le faire de cette façon. Cela mesure l'attente des supporters à Marseille et la frustration engendrée par 17 années sans titre, a indiqué Anigo dans les colonnes de La Provence. Ce n'est pas normal qu'un club comme le nôtre attende autant de temps pour remporter un trophée. C'est gigantesque de partager ça avec le public», a-t-il conclu. Réunis à l'hôtel de ville, les Olympiens ont été fêtés par une foule venue en nombre assister à la présentation du trophée.

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