[Débat] Que faire pour l'arbitrage ?

Mais Heinze fait , lui , légérement action de jeu puisqu'il marque quand même le but.

Enfin bref ça reste de toute manière minime et donc ça peut passer.

Je pense pas que ce soit net, faudrait une vue aérienne mais ça a l'air trop demandé à canal. Au final, on le saura pas vraiment, si y a HJ bah comme pour l'EDF merci on prend et on met un mouchoir mais ça me fera chi**. Si Heinze ne l'est pas la même, mais ça me fera pas chi**.

Et en conclusion, on sort la phrase qui fait bien dans ce genre de situation: Sur une saison ça s'équilibre.

Sonnygoal a écrit:

Apparemment le but d'Heinze est hors jeu

Ouais d'un millimètre. De toute façon si le PSG se cache derrière ça c'est qu'ils sont vraiment minables vu leurs prestations.

Sonnygoal a écrit:

ça peut se comparer a l'action de Gomis contre Paris il y a quelque temps, le joueur est hors jeu mais je jetterai pas la pierre a l'arbitre comme je ne l'avait pas fait pour l'action de Gomis, c'est très compliqué de voir ce genre de hors jeu.

Par contre je voudrai bien entendre ce qu'ont a dire ceux qui crier au scandale pour le but de Gomis...

Je comprends mieux la réaction des joueurs et du public sur le but

Il y a eu quelques secondes d'hésitation avant de chavirer de bonheur

J'ai revu les images et il y a pas de HJ. On voit le bras d'Armand qui couvre Heinze, sûrement ça qu'il l'a sauvé.

Il me semble que le PSG a demandé à ce que les cas M'Bia et Brandao soient examinés par la commission de discipline.

UN CAS D’ÉCOLE
Pierre Martini - lundi 23 novembre 2009

La main d’Henry a abusé l’arbitre, ce n’est pas une raison pour se laisser abuser par l’arbitrage vidéo, une nouvelle fois présenté comme la solution miracle. France-Irlande montre le contraire.

La main d'Henry, un cas d'école en faveur de l'arbitrage vidéo? Bien sûr, puisque cette faute non sanctionnée, en plus d'avoir été décisive durant une rencontre à très fort enjeu, est incontestable et que les images attestent d'une défaillance de l'arbitre, qui a pris la mauvaise décision. C'est donc le genre de situation dont se saisissent les partisans de la vidéo et leur suiveurs, avec pour argumentation: "Alors, vous voyez bien..." On notera parmi eux la présence de Jacques Attali ("Il faut en venir à l’arbitrage vidéo, qui réglera ça") ou de Frédéric Lefebvre, inévitable porte-parole de l'UMP: "Les Français n'ont pas à être mal à l'aise après le match d'hier. Il y en a un qui doit être mal à l'aise, c'est Michel Platini, qui a toujours refusé la vidéo" (1). Pour Alain Finkielkraut, c'est tout aussi clair: "La preuve est faite que [la vidéo] est absolument nécessaire. (...) Le public est infaillible et le public constate les fautes des arbitres". Autre intellectuel de plateau, Pierre Ménès n'a pas manqué de crier sa foi en la vérité jaillissant des images: "Avec la vidéo, tu sais. Ça dure cinq secondes. Main. Terminé".


Et les autres actions ?

Personne ne niera que les images permettent régulièrement de constater une faute qui a échappé à l'arbitre. Mais s'il s'agit d'appliquer l'arbitrage vidéo, il faut décider a priori de ses modalités d'application et considérer tous les cas de figure auxquels il s'appliquerait – pas seulement ceux qui, a posteriori, font l'unanimité. Ainsi, imaginons qu'un ou plusieurs arbitres postés devant des écrans et ayant à disposition des batteries de ralentis aient eu à intervenir au cours de ces barrages entre l'Irlande et la France. Il leur aurait aussi fallu juger bien d'autres actions litigieuses, parmi lesquelles les interventions dans la surface de Given sur Évra (au match aller) ou sur Nicolas Anelka (au retour). A propos de cette dernière, L'Équipe –peu suspect de relativisme arbitral – se perd en conjectures: "Même après visionnage de la vidéo, il apparaît compliqué de se prononcer" (2).



Dans ces situations cruciales mais indécidables, résolument ambivalentes – et bien plus fréquentes que les erreurs indiscutables faciles à juger –, comment feront nos arbitres vidéo pour trancher à froid dans un sens ou dans l'autre, quand rien ne fait objectivement pencher la balance? Eux ne pourront pas imiter les commentateurs de télévision qui voient ce qu’ils ont envie de voir et convertissent leurs impressions en jugements catégoriques. Qui peut croire que leurs sentences ne vont pas déclencher des scandales et des accusations encore plus outrées que des décisions prises à chaud par un homme sur le terrain? L'argument des vidéophiles selon lequel il est anormal que les arbitres ne disposent pas des mêmes images que tout le monde se retournerait contre eux: tout le monde aura les mêmes images que les arbitres... mais pas forcément la même interprétation.


La chimère d’un arbitrage sans erreurs

Revenons-en à la main d'Henry. Elle est une tricherie avant d'être une erreur d'arbitrage, mais elle était suffisamment visible pour être perçue par les officiants ce soir-là, même à vitesse réelle. Un arbitre placé derrière les buts, comme testé actuellement dans le cadre de l'arbitrage "à cinq", aurait pu être abusé lui aussi, mais sa présence aurait considérablement réduit le risque d'erreur... sans quasiment rien changer aux modalités de l'arbitrage et du jeu – là où l'arbitrage vidéo aurait des conséquences lourdes et engendrerait des effets pervers en série (Lire "Un crime contre le jeu").
En définitive, les seules erreurs d'arbitrage que permettrait d'éviter la vidéo sont des erreurs qu'un meilleur arbitrage éviterait lui aussi, à bien moins de frais. Il vaut alors infiniment mieux travailler à réduire la marge d'erreur des arbitres plutôt que poursuivre la chimère d’un arbitrage sans erreur. En d’autres termes, en football, il faudra toujours concéder aux arbitres de football le droit à l'erreur – une nécessité absolue, mais complètement oubliée aujourd'hui.


Enfin, il y aurait bien une autre méthode pour éviter les affaires du genre d’Irlande-France, si les instances du football s’obligeaient à se mettre en conformité avec la morale et le fair-play qu’elles prétendent défendre, c’est-à-dire à ne plus considérer que les tricheries (et non les erreurs arbitrales) font à ce point partie du jeu. Elle consisterait à infliger des sanctions sévères aux auteurs de trucages avérés, comme c’est peu ou prou le cas pour les auteurs de violences. Personne n'a évoqué cette possibilité au cours de la polémique, alors qu'on ne voit pas quel scandale il y aurait, aujourd’hui, à suspendre Thierry Henry pour plusieurs matches en sélection, quitte à mettre en danger sa participation à la Coupe du monde? (3) Sans remettre en cause le résultat du match, ne serait-ce pas faire quelque peu œuvre de justice, au lieu de laisser l’acte impuni (et Henry exposé à une vindicte internationale)?
Si les autorités mettaient en œuvre des politiques volontaristes, quelques jurisprudences initiales auraient rapidement des vertus dissuasives et amoindriraient les tentations. L’esprit du jeu y gagnerait, et les futurs France-Irlande rendraient des verdicts plus justes, encore soumis aux innombrables aléas du football, mais pas à une entourloupe notoire.

Les cahier du foot


A 10000% d'accord avec eux

ça fera peut etre reflechir les defenseur de la video et les faire changer d'avis comme ça a etait mon cas.

Camara tacle le comité de visionnage sur Brandao

Même s’il ne souhaite pas attiser la polémique, Zoumana Camara n’a pas pu s’empêcher de souligner que le comité de visionnage, qui avait en son temps contribué à la suspension de Claude Makelele pour sa faute face à Lorient, devrait montrer un peu moins d’indulgence avec les Marseillais. Le défenseur parisien aimerait par exemple voir Brandao être suspendu pour sa faute sur Clément Chantôme vendredi dernier, surtout que le joueur parisien est toujours blessé depuis.

« On est presque habitué à ça maintenant. C’est malheureux de le dire mais on a l’impression qu’il faut montrer l’exemple avec un joueur du PSG. Si un visionnage du tacle de Brandao devait avoir lieu, une sanction ne serait pas scandaleuse », a estimé Zoumana Camara.

foot01

Comme depuis le début de la saison, le PSG en mode pleureuse. Je ne vois pas pourquoi le comité de visionnage interviendrait, je n'ai rien vu de choquant.

Camara prend la défense de Brandao

Assigné au marquage du Brésilien lors du match OM - PSG disputé la semaine dernière, Zoumana Camara n'en garde pas un mauvais souvenir, au contraire de pas mal d'autres défenseurs de Ligue 1 qui feraient probablement mieux de s'inscrire dans des clubs de danse.

Le Parisien a compris que le football reste un sport physique, et ça fait plaisir. Il se confie dans des propos rapportés par Sport.fr : "c'est vrai qu'il m'a marché sur la cuisse mais c'est moi qui l'avait taclé, après savoir si c'est volontaire ou pas... On sait que c'est un attaquant qui s'engage et avec lui il faut aller au combat, et moi je l'accepte. Pour moi en tout cas il n'y avait pas de problème sur ce geste."

L'engagement de Brandao est en tout cas très apprécié par son entraîneur et ses supporters. Espérons qu'il se montre désormais plus efficace : le loupé contre Milan n'a pas été digéré...

OMPlanete

Tout de logique en gros .

Non mais c'est bon faudrait passer a autre chose... ça me gonfle ce procés perpetuel des arbitres.... les entraineurs s'excuse quand il se trompe? les joueurs s'excuse quand il loupe une passe ou un but? Les arbitres ont pas a s'excuser, ils font leur taffe, parfois font des erreurs et basta...

Sonnygoal a écrit:

Non mais c'est bon faudrait passer a autre chose... ça me gonfle ce procés perpetuel des arbitres.... les entraineurs s'excuse quand il se trompe? les joueurs s'excuse quand il loupe une passe ou un but? Les arbitres ont pas a s'excuser, ils font leur taffe, parfois font des erreurs et basta...

oui génial quand t'es mal classé et que ça t'arrives tu dis pas ça. Après évidemment je suis d'accord avec toi les arbitres veulent la vidéo on leur met pas, c'est pas vers les arbitres qu'il faut se tourner

Ouai et quand t'es mal classé et que l'erreur t'avantage, j'entend personne se plaindre... faut arreter toute cette hypocrisie, on entand tout le monde pleurer quand ça desaventage mais quand ça aide y'a plus personne ça devient des fait de jeu....

Si les entraineurs et les joueurs arréter de faire les pleureuse 5 minutes, ça metterait deja les arbitres dans des meilleures dispositions, alors que la tout le monde leur met une pression monstre, faut pas s'ettoner qu'il fasse des erreurs aprés, ils sont humains.

Si on avait plus de mec comme Gerets qui ne nourissait pas la polémique, ça se passerait beaucoup mieux.

la mauvaise foi traditionnelle qu'est-ce que tu veux c'est comme ça. En même temps avec des gens comme Aulas, Dassier et compagnie faut pas s'attendre à ce que ça change ils fustigent toujours l'arbitrage et comme les médias aiment leur faire plaisir pour rester poli ils en parlent, encore et encore

L'Equipe pour la vidéo

Entre la main de Thierry Henry et les multiples erreurs de la dernière journée de Ligue 1, la question de l'arbitrage est plus brûlante que jamais. L'Equipe publie ce jeudi un dossier sur le sujet assorti à cinq propositions pour aider les arbitres.

L'idée globale est, on s'en doute, le recours à la vidéo comme assistance à l'arbitrage. Ce recours s'appliquerait à trois faits de jeu : pour certifier que le ballon a franchi ou non la ligne de but, confirmer ou non un éventuel penalty, sanctionner ou non un fait litigieux dans la surface de réparation sur une action de but. Les instances (FIFA, UEFA, International Board, le seul à pouvoir juridiquement modifier les règles du jeu), sont opposées à cette réforme.

Cependant, le président de la FIFA Sepp Blatter, a lâché mercredi : «Nous devons voir si nous devons avoir plus d'arbitres assistants, comme l'UEFA l'essaie en Ligue Europa ou si nous devons apporter une aide par la technologie. » C'était là une avancée évidente de sa réflexion sur le sujet. L'Equipe prône, elle, une application rapide, dès le début de la phase finale de la Coupe du monde 2010, puis son élargissement à l'ensemble des compétitions professionnelles.

lequipe

Thiriez : «Un devoir minimum»

Dans le cadre de son dossier complet sur la vidéo, L'Equipe a interrogé des nombreux intervenants, parmi lesquels le président de la Ligue (LFP), Frédéric Thiriez, se montre jeudi très offensif dans ce débat. Pour lui, c'est simple, il n'existe «aucune raison sérieuse que le football reste à l'écart et à la traîne» alors que d'autres sports comme le rugby ou le tennis ont aujourd'hui régulièrement recours à la vidéo, lorsque cela s'avère nécessaire. «On n'a pas le droit de laisser l'arbitre seul face à la vindicte générale», plaide ce fervent partisan pour l'utilisation des nouvelles technologies. Celui-ci estime que «donner aux arbitres les moyens techniques qui existent pour prendre la bonne décision et réduire les erreurs» serait un «devoir minimum».

« Tout le monde a la vidéo, sauf l'arbitre »

Face aux propositions françaises, formulées directement à l'International Board (IFAB) en mars 2006, mais laissées sans suite par les instances, Thiriez est amer. «J'ai sous-estimé la puissance du conservatisme du football mondial», dit-il. Sont directement visés le président de la Fifa, Sepp Blatter, ainsi que le président de l'UEFA, Michel Platini, dont «l'opposition personnelle» à la vidéo n'est un secret pour personne. Un entêtement qui «ne tient pas la route», selon le patron de la LFP, qui s'emporte. «L'injustice aujourd'hui, c'est que dans le football moderne, tout le monde a la vidéo, poursuit-il, les spectateurs, les entraîneurs, les officiels, sauf l'arbitre, que l'on met au milieu du cirque. Ce n'est pas normal. Vivons avec notre temps !»

« Les modernes finissent toujours par gagner »

Malgré un certain agacement, une incompréhension évidente et une impatience qu'il n'arrive plus à dissimuler, Thiriez semble malgré tout confiant pour l'avenir. Du moins, c'est l'image qu'il préfère donner. «Les modernes finissent toujours par gagner», assure-t-il, lui qui a fait de ce combat l'une de ses priorités.

lequipe

Saint-Etienne explose

Après avoir appris que le carton jaune curieusement attribué à Bergessio au Mans ne serait pas annulé (le joueur sera donc bien suspendu pour le match à venir contre Lille), le club forézien exprime sa colère. Scandaleux, même, pour son directeur sportif, Damien Comolli qui dit ici toute son incompréhension.

Ce jeudi, la requête de l'AS Saint-Etienne qui demandait à ce que le carton jaune indûment distribué à Gonzalo Bergessio lors du match de l'AS Saint-Etienne au Mans (1-1) sera rejetée par la commission de discipline de la ligue, selon les informations que nous avons pu nous procurer. L'Argentin manquera donc le match contre le LOSC (jeudi 10 décembre, 11e journée). L'ASSE, par la voix de son directeur sportif Damien Comolli, fait savoir que cette décision est «scandaleuse». A l'issue de la rencontre contre les Manceaux, le club forézien avait réclamé un rapport complémentaire à l'arbitre Piccirillo ayant dirigé cette partie dans le but que le carton jaune de Bergessio soit effacé, et sa suspension annulée. « Une chose, une seule, me fait sortir de mes gonds, c'est l'injustice » lance Comolli. Le pénalty non sifflé sur Mirallas en tout début de match ? Passe tout juste, aux yeux du directeur sportif. Le but refusé à Bergessio juste avant la mi-temps ? Passe très mal. Et l'avertissement à ce même Bergessio dans la foulée (pour une charge prétendument illégale sur Makaridze)? Pas digéré du tout.

« Je ne sais pas par où commencer, reprend Comolli, calme mais remonté. L'an dernier, on a été victime de tant d'erreurs d'arbitrage mais volontairement, on n'a rien dit. Contre Lyon, cette saison aussi, avec l'arbitre Chapron reconnaissant auprès de notre président Caïazzo après le match qu il y avait pénalty en notre faveur. Donc le carton jaune que Gonzalo avait reçu pour simulation aurait du être annulé mais deux jours après, on apprenait que notre requête ne serait pas acceptée car Monsieur Chapron avait changé d'avis ! Cette fois-ci, après Le Mans, c'est trop ! ».

Comolli s'appuie sur les faits et ce qu'il considère être une jurisprudence : «Revenir sur un avertissement est possible. Cela avait été le cas après le Sochaux - Le Mans, quand l'arbitre Fautrel avait enlevé a posteriori le carton à Loriot. Nous pouvons admettre les erreurs mais il faut avoir l'intelligence et l'humilité de les reconnaître quand on en fait. » Et les Verts pensent que les arbitres officiant leurs rencontres en commettent beaucoup, ces derniers temps.

francefootball

Platini :«La vidéo, la fin du foot»

«L'arbitrage est mort», sous sa forme actuelle, a commenté Michel Platini, vendredi au Cap. Pour le président de l'UEFA, la solution passe par des moyens humains supplémentaires et non par la vidéo, «qui serait la fin du football».

«Que pensez-vous de la polémique autour de Thierry Henry, qui a été traité de tricheur ?

Si Thierry Henry est un tricheur, alors tous les footballeurs sont des tricheurs et moi j'en suis un aussi : c'est l'arbitrage qui n'est plus bon. L'arbitrage (sous sa forme actuelle, ndlr) est mort, je le dis depuis 10 ans. La télévision fait que l'arbitrage est mort. Cette main, il y a 20 ans, lui et le gardien but auraient été les seuls à le savoir.

Comment donner une nouvelle vie à l'arbitrage ?

Je ne vois pas d'autre solution que deux arbitres supplémentaires.

Et la vidéo ?

Le football doit rester humain. Si on prend la vidéo pour les qualifications d'un Euro, ça veut dire pour un Féroé-Estonie, devant 1 000 personnes, qu'il faudra 25 caméras, soit 200 000 euros ! Et puis on va voir que sur une faute, il y avait faute avant, et encore avant : ce serait la fin du football. Aujourd'hui, il y a Thiriez (président de la Ligue nationale française) qui est pour la vidéo et l'autre, le porte-parole de l'UMP (parti majoritaire, droite), je ne sais pas comment il s'appelle...

M. Lefebvre...

Je ne sais pas comment il s'appelle (sourire). Mais moi, je vous donne la liste de ceux qui font partie de la Commission FIFA contre la vidéo (Commission du football, ndlr) : Beckenbauer, Pelé, Savicevic, Weah... Alors entre eux et Thiriez et le porte-parole de l'UMP -je ne sais pas comment il s'appelle- je ne sais vraiment pas qui je vais écouter... Qui dit vidéo ne dit pas justice. Tout le reste n'est que communication, démagogie, populisme. A la commission stratégique Thiriez était là et avait dit qu'il était pour l'arbitrage à cinq, alors ça va... C'est un débat franco-français et je sais d'où cela est venu : d'un lobbying des télés qui veulent vendre des systèmes.

Sur un autre sujet, la France n'est pas tête de série pour le Mondial...

C'est normal, c'est honnête. On ne va pas donner des points supplémentaires à la France et au Portugal car ils ont joué en barrage. Je suis président de l'UEFA et Jérôme Valcke (secrétaire général de la Fifa) m'a appelé et m'a demandé mon avis: il faut prendre la photo au même moment pour tout le monde.

L'équipe

Koné reçoit un rouge mais reste en jeu

Lors du match entre l'OM et Auxerre, Monsieur Malige, l'arbitre du match, a donné un carton rouge à Baky Koné à la 33e minute du match pour un coup de coude de l'attaquant marseillais sur Birsa.

Mais Koné ne quittera pas la pelouse du Vélodrome, car Monsieur Malige va annuler le carton rouge donné à Baky Koné, car Birsa a dit à l'arbitre que Koné ne lui avait pas donné un coup de coude. Un geste de fair-play exemplaire !

Monsieur Malige s'est expliqué sur cette situation au micro de Foot+ : "J'ai pensé que Monsieur Koné avait donné un coup de coude à son adversaire, ce qui avait motivé ma première décision. Quand j'ai vu la réaction des joueurs marseillais, je me suis dit que j'avais peut-être fait une petite erreur, je suis allé voir la victime qui m'a dit qu'il n'y avait pas faute. Je lui suis reconnaissant de ce geste de fair-play et je suis revenu sur ma décision" a déclaré Monsieur Malige.

lephoceen

Chapeau, certains devraient prendre exemple.

Beye13 a écrit:

Koné reçoit un rouge mais reste en jeu

Lors du match entre l'OM et Auxerre, Monsieur Malige, l'arbitre du match, a donné un carton rouge à Baky Koné à la 33e minute du match pour un coup de coude de l'attaquant marseillais sur Birsa.

Mais Koné ne quittera pas la pelouse du Vélodrome, car Monsieur Malige va annuler le carton rouge donné à Baky Koné, car Birsa a dit à l'arbitre que Koné ne lui avait pas donné un coup de coude. Un geste de fair-play exemplaire !

Monsieur Malige s'est expliqué sur cette situation au micro de Foot+ : "J'ai pensé que Monsieur Koné avait donné un coup de coude à son adversaire, ce qui avait motivé ma première décision. Quand j'ai vu la réaction des joueurs marseillais, je me suis dit que j'avais peut-être fait une petite erreur, je suis allé voir la victime qui m'a dit qu'il n'y avait pas faute. Je lui suis reconnaissant de ce geste de fair-play et je suis revenu sur ma décision" a déclaré Monsieur Malige.

lephoceen

Chapeau, certains devraient prendre exemple.

Franchement bravo.

Prend ça Thierry henry!!

Respect

Pour une fois..