[Toulouse] L'Olympique Toulousain

Sonnygoal a écrit:

Si il sfont ça c'ets aussi parce qu'il ont pas trop le choix et font avec leur moyen... ces equipes la joue leur survie en L1 et donc il font comme ils peuvent.

Tu as Mansaré, Paulo César, Braaten, Larsen en joueur offensif (ce dernier en CFA, c'est pour dire...) et sachant qu'il joue 1 fois par semaine, faut arrêter un moment... ils ont en plus Gignac qui est pas mauvais.

Je me rappel que face à Lyon, le TFC était plus offensif.

J'dit pas le contraire mais si ça se trouve, il joue plus offensif et se retrouve avec pas mal de points en moins... il joue donc le football qui les favorise le plus.

Le probléme c'est que ces equipes ont pas vraiment de marges de maneuvre au niveau d spoint set contre des equipes comme l'OM, il se prennent pas la tete, il cherche le 0-0 et espere pourquoi pas un contre ou une action foireuse qui pourrait les faire gagner....

c'est pas beau a voir mais bon, il gagne 1 point de plus et se rassure face a de grosses equipes.

C'est nul de joué comme sa, autant se donné a fond et faire plaisir à son public, regarde en Allemagne, Les petites équipes n'hésitent pas a joué, quitte à se prendre 3 ou 4-0
Tout les week end il y a des 3-3 ou des 4-3... Sa c'est du foot.

Pas a rester tout le match derriere et attendre un contre...

Mouai ba a mon avis les supporter toulousains prefere se faire chier au stade et gagnez des points pour etre tranquille que rejouer la meme saison d'avant...

alors oui c'est pas beau etc.... mais c'est le jeu, ils jouent avec leur valeurs, j'voit pas ce qu'il a a redire la dessus.
Faudra vous y habituer a ces match, contre Lyon beaucoup d'equipe joue aussi comme ça pour le nul, a l'equipe de debloquer le score c'ets tout.

Je suis pas d'accord, avant le match le TFC savait que l'OM avait en joué en semaine, et que l'OM a des problémes défensifs, pourquoi ne pas tenté sa chance ?

TFC - L'OM à fait des degats

Sorti sur blessure face à Marseille (0-0, 16e j.), le défenseur latéral Jérémy Mathieu souffre d'une contusion au genou gauche et est très incertain pour le déplacement à Lille, samedi (19 heures). Egalement touchés contre le club phocéen, Etienne Didot (contusion à la cheville), Cédric Carrasso (cheville), et André-Pierre Gignac (cheville et genou) devraient néanmoins être à la disposition d'Alain Casanova ce week-end. L'attaquant norvégien Daniel Braaten, écarté des terrains depuis un mois et demi en raison d'une élongation aux ischio-jambiers, a rejoué en compétition dimanche dernier avec la réserve. Buteur face à Brive (2-2) en CFA 2, l'ancien Wanderers de Bolton pourrait également retrouver le groupe toulousain.

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Casanova est "malheureux"

L'entraîneur de Toulouse, Alain Casanova, n'a pas caché sa déception après le match nul concédé par son équipe contre Nice (2-2), samedi. Le technicien regrette que ses joueurs ne soient pas parvenus à tenir le score après le but du 2-1 inscrit par André-Pierre Gignac, à cinq minutes du terme.
«Je suis très malheureux pour les joueurs qui auraient mérité de l'emporter, a-t-il indiqué. C'est dommage car nous sommes pris deux fois à la faute et il aurait fallu mieux défendre. Nous continuons de progresser dans le jeu, cela faisait longtemps que les gens n'avaient pas vu une équipe de Toulouse aussi volontaire. Le bilan comptable est bon, il ne faut pas faire la fine bouche. En janvier c'est un deuxième championnat qui commence et il faudra être capable de se remobiliser et de se remettre en question. Si nous gardons cet état d'esprit nous pouvons espérer finir dans les dix premiers».

L'Equipe

Casanova compare Gignac et Elmander

Même s'il ne souhaite pas «le ressortir de l'ensemble», Alain Casanova, l'entraîneur du Toulouse FC, rend mardi un hommage appuyé à André-Pierre Gignac. L'actuel meilleur buteur de L1 avec douze réalisations se «bat comme un diable», se félicite le technicien sur le site Internet du club. Il observe également que Gignac est en avance sur le tableau de marche de Johan Elmander, l'attaquant Suédois parti à Bolton à l'intersaison et meilleur buteur du TFC deux saisons consécutives.

«Tout le monde se gargarisait de la performance de Johan Elmander qui avait fait deux fois onze buts en 38 matchs. André-Pierre en a déjà mis douze en 19 matchs. Je ne veux pas le ressortir de l'ensemble, mais il fait preuve de beaucoup de qualité dans ce qu'il fait, et il se bat vraiment comme un diable sur tout le front de l'attaque. Il est mis en évidence car il est entouré de joueurs de talent à ses côtés. Il y a un gardien exceptionnel (Cédric
Carrasso, NDR), des joueurs de très haut niveau à côté de lui, des jeunes en train de prendre confiance... Collectivement, je pense qu'il y a quelque chose en train de se créer, et cette équipe a un bel avenir devant elle...»

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Casanova fait le point

L'heure de la reprise a également sonné pour les Toulousains, actuellement septièmes de L1, à seulement 3 points du podium. L'occasion pour le coach Alain Casanova de rappeler, sur le site officiel du TFC, ses objectifs pour la nouvelle année. « On va essayer de s'améliorer dans le jeu. On veut obtenir le maintien le plus rapidement possible, pour nous permettre de voir un petit peu plus loin. Tout repart à zéro et il faut faire le meilleur championnat possible ». A propos du mercato d'hiver, le technicien toulousain n'envisage aucun mouvement. « J'ai un groupe très restreint, donc tout le monde va avoir son mot à dire. J'ai envie de garder tout le monde ! ».

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Gignac vers une prolongation ?

Auteur d'un début de saison remarquable avec Toulouse, André-Pierre Gignac devrait rencontrer ses dirigeants dans le courant de la semaine pour y évoquer très certainement une revalorisation et une prolongation de son contrat, selon les informations de L'Equipe. L'actuel meilleur buteur de L1 (12 réalisations) est actuellement lié au TFC jusqu'en 2011.

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Gignac prolonge jusqu'en juin 2012.

Gignac droit dans ses buts


L'attaquant toulousain réalise une saison de feu. Pour Le 10 Sport, les grands buteurs de la première division jugent l'actuel leader du classement des buteurs de Ligue 1. Instructif.

Bernard Lacombe
(Deuxième meilleur buteur de l'histoire du championnat avec 255 buts)
« L'an dernier, il se gênait avec Elmander »
Malgré les qualités qui sont les siennes, Gignac bénéficie de la bonne saison que réalise son club. Il est là, il est dans une bonne équipe mais c'est sur deux, trois, voire quatre saisons qu'on va le juger. C'est un garçon qui va vite, qui a de la qualité. Il se déplace bien, j'ai beaucoup apprécié sa mobilité lorsqu'il était à Lorient. Il est très habile avec son pied droit comme en témoigne son deuxième but à Sochaux. Il vaut mieux avoir un seul bon pied que deux moyens. Il y a beaucoup d'attaquants qui ne peuvent jouer que seul en pointe. L'année dernière, ils se gênaient un peu avec Elmander. Avec l'expérience de la saison qu'il va faire, il saura bien mieux se déplacer, mais c'est surtout la complicité qui existera avec ses partenaires dans la dernière passe qui sera importante.

Patrice Loko
(Meilleur buteur en 1994-1995)
« Il est très opportuniste »
Gignac est un joueur d'axe comme moi. Il a de bonnes capacités physiques. C'est un joueur qui arrive à bouger facilement les défenses, un attaquant très opportuniste qui est toujours bien placé pour marquer des buts importants pour son équipe. Il a une très bonne frappe de balle, il parvient à marquer des buts dans des angles impossibles. Il ne se pose jamais de questions. Après, il peut toujours améliorer son mauvais pied, le gauche. Au niveau technique, il lui manque encore des choses, notamment concernant la qualité de ses prises de balle ou la justesse de ses remises. Aujourd'hui, il a besoin de joueurs à ses côtés pour lui donner des ballons. S'il devait évoluer avec un autre attaquant, il lui faudrait automatiquement un joueur qui viendrait le soutenir et qui ne serait pas forcément disposé à jouer sur la même ligne que lui.

Roger Boli
(Meilleur buteur en 1993-1994)
« Il n'élimine pas assez »
C'est un tueur et aujourd'hui, il a le vent en poupe. A Toulouse, André-Pierre est chez lui, le coach lui fait confiance. Actuellement, il est prêt à tout casser. Dans ces conditions, rien ne peut l'arrêter, hormis une blessure. Sa cote va continuer à grimper. Ce joueur, c'est à la fois un buteur et un dévoreur d'espaces. Il provoque la réussite en trouvant systématiquement des positions de frappe. Il sait tout ce qu'il a fait de négatif l'année dernière et là, il est en train de gommer tout cela. Techniquement, il doit améliorer ses décrochages. Il doit donner plus de solutions à ses partenaires, jouer plus avec ses pieds, savoir exploiter les petits espaces. Par ailleurs, Gignac n'élimine pas assez ses adversaires. C'est ce qui le différencie aujourd'hui de Karim Benzema.

Stéphane Guivarc'h
(Meilleur buteur en 1996-1997 et 1997-1998)
« Tous les ingrédients pour devenir un grand »
Il joue tout seul devant, il combat, il va de l'avant, il a un bon jeu de corps, il a une bonne finition, la profondeur ne lui fait pas peur. Après son départ de Lorient, il a connu quelques soucis. Il m'avait même confié vouloir arrêter, faire un break. Il n'a pas trop joué avec Baup puis là, Casanova le relance. Il a tous les ingrédients pour devenir grand. Il cherche souvent son pied droit. Après, il vaut mieux marquer quinze buts du pied droit que trois du pied droit et trois du pied gauche. Il doit travailler son jeu de tête, son pied gauche également. Le fait de jouer seul en pointe comme il le fait lui servira plus tard. Après, dans un schéma à deux attaquants, il aura probablement moins d'efforts à faire et aura plus de lucidité devant le but.

Le10sport

Toulouse veut garder Mathieu

En fin de contrat en juin, Jérémy Mathieu, le latéral ou milieu gauche toulousain (25 ans), s'est vu proposer une offre de prolongation, indique L'Equipe dans son édition de dimanche. C'est ce qu'a confirmé Olivier Sadran, samedi. «On est en discussion, a admis le président du TFC. Pour l'instant, il n'a pas dit oui mais il n'a pas dit non. On attend. L'espoir fait vivre.» L'été dernier, le joueur, convoité par Bordeaux, avait été bloqué par ses dirigeants et pourrait être tenté d'aller voir ailleurs. Sauf, peut-être, si les Toulousains se qualifient pour la Ligue des champions.

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Mathieu confirme pour le Genoa

Annoncé dans l'édition de France Football de mardi, le départ du défenseur polyvalent Jérémy Mathieu pour l'Italie se précise. « J'ai reçu une belle offre du Genoa, a confirmé le Toulousain jeudi dans Aujourd'hui Sport. On peut dire que c'est une équipe qui tient la corde, c'est une piste très sérieuse. (...) Il y a eu également la Fiorentina, Cologne, Dortmund et Hambourg, mais cela ne m'intéressait pas vraiment d'aller en Bundesliga ».

Libre de tout contrat à partir du mois de juin, l'ex-sochalien intéresse également Bordeaux. « J'ai reçu une offre de contrat de 4 ans de la part des Girondins dans le courant du mois de janvier, poursuit-il. Je n'ai pas encore dit non à Bordeaux. On ne sait jamais ce qu'il peut passer. Mais ma priorité est d'aller à l'étranger. Cela fait huit ans que je joue dans le Championnat de France et j'ai envie de vivre une nouvelle expérience. L'Italie est un grand Championnat. Ce serait une belle chose.»

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«Je ne dis pas que je n’aime pas le foot, mais…»

Ligue 1. Cédric Carasso, goal de Toulouse, raconte le jeu, Barthez, l’OM, les gardiens :

Le goal toulousain Cédric Carasso a longtemps été le secret le mieux gardé de la Ligue 1 : la faute aux blessures et à la défiance des responsables de l’Olympique de Marseille, où il a été formé, puisqu’ils lui ont mis Fabien Barthez puis Steve Mandanda dans les pattes. Mal vu : à 27 ans, Carasso est aujourd’hui le gardien le plus performant de L1 et l’un des hommes clés de la formidable saison de Toulouse, 5e, qui accueille Bordeaux (3e), samedi dans le derby de la Garonne.

La solidarité entre gardiens de but, ça existe ?

Mickaël Landreau [le gardien du PSG, ndlr] est venu me voir après le match du Parc. Jérôme Alonzo (Nantes) et Ulrich Ramé (Bordeaux) aussi : «Chapeau», «c’est bien, grand, tu t’es accroché…» Par nature, le gardien est peut-être plus sensible aux autres. On se sent parfois seul. Quelques fois, je me dis : 20 % des journalistes qui suivent le foot savent vraiment à quoi ressemble la vie d’un joueur pro. Eh bien, sur ces 20 %, il se trouvera peut-être 1 % pour comprendre celle du gardien.

Et c’est frustrant ?

Cet environnement fait vivre le foot. Dans ce système, tout le monde compte : joueurs, dirigeants, agents, journalistes… Maintenant, ceux qui commentent ne savent pas tout. J’ai vu la presse monter ou descendre des mecs… On colle des étiquettes de partout. En septembre, Mandanda était le gardien qui ne savait pas s’imposer dans les airs. Tout le monde était d’accord là-dessus. Le mec est international, et il ne sait pas sortir ? C’était le grand n’importe quoi. Je l’ai côtoyé une saison à l’OM, je suis gardien, je sais de quoi je parle.

Débuter une carrière à l’OM, c’est facile ?

C’est simple, parce que tu n’as pas de point de comparaison. Tout te paraît naturel : le fait que l’on parle de toi tous les jours dans la presse, les sifflets sans raison… A l’OM, il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre. Jusqu’à 20 ans, j’ai énormément bossé. Beaucoup trop : tu es jeune, tu as grandi dans le mythe OM et voilà que tu y es, à côtoyer tous les jours des joueurs incroyables. Je me sentais redevable. Alors, à chaque entraînement, je me mettais à la limite. Et ça, physiquement, tu finis par le payer.

Et, aujourd’hui, vous vous sentez redevable ?

Ils m’ont choisi à 13 ans, donné un toit, nourri trois fois par jour, appris mon métier et expédié sous le regard de dizaines de milliers de gens : qu’est-ce que vous voulez de plus ?

Comment pourriez-vous définir le mythe OM ?

(Longue réflexion). Je vais vous donner une image. Vous vous rappelez du 0-0 arraché par les Minots lors du match PSG-OM du 5 mars 2006 [l’OM avait envoyé son équipe réserve pour «punir» le PSG et la Ligue après une sombre histoire de quotas de billets, ndlr] ? Je passe sur les controverses : il fallait jouer, ne pas jouer… Ce n’est pas le sujet. Moi, je voudrais que vous vous souveniez du retour des Minots [des jeunes, dont beaucoup n’avaient jamais joué un match en pro, ndlr] à la gare Saint-Charles après le match nul. De l’accueil qui leur a été fait ; les fumigènes, les drapeaux, le fait que personne ne travaillait ce jour-là… Personne ne connaissait ces joueurs. Là, ils étaient accueillis comme des héros revenus d’une longue guerre.

Qu’est-ce qui vous a poussé, gamin : le foot ou l’OM ?

L’OM. Ecoutez : si je regarde quatre matchs de foot par an à la télé, c’est le bout du monde. Je ne dis pas que je n’aime pas le foot, mais bon… Les blessures ou les mises à l’écart m’ont donné beaucoup de recul par rapport au système. Maintenant, quand tu joues au foot, tu as un pouvoir : faire briller les yeux des gamins. Un jour, on m’a contacté pour le Téléthon. Je devais rencontrer un jeune myopathe. Ça m’a marqué. Après ça, j’ai continué. Je partage toujours un peu de mon temps avec les enfants malades : ils me donnent l’impression de se raccrocher à la vie à travers moi. C’est éprouvant. Parmi ceux que j’ai suivis, j’en ai perdu trois. Quand tu t’attaches, c’est toujours difficile. J’ai aussi vu beaucoup de courage.

Existe-t-il des ponts entre la vie et le jeu ?

C’est trop bizarre. Quand je commence le match, il n’y a plus que ça. C’est un peu con, mais j’y vais pour m’amuser.

Vous vous amusiez quand Fabien Barthez partageait vos entraînements à l’OM ?

Ça n’a pas été facile. Il faut du temps pour comprendre sa démarche. Il faisait son truc dans son coin, sans s’emmerder avec la presse, sans réfléchir sur des trucs qui ne le regardaient pas. J’ai fini par piger que, en fait, il s’éclatait. Barthez adorait son métier. Quand je l’ai remplacé pendant sa suspension [pour l’affaire du crachat sur l’arbitre marocain, ndlr], il ne m’a rien dit. Pas un mot. Moi, je suis sûr qu’il a pensé : «Oh ! Je ne vais pas me faire bouger par le jeune.» Et il en a remis à chaque entraînement. Et il a récupéré sa place. Sans lâcher un mot. C’était tout lui.

La phrase la plus juste sur le boulot de gardien ?

Barthez m’a sorti un jour : «Tu sais quoi ? On devrait être les mieux payés de l’équipe.» Je vous jure que, là, il parle de tout sauf d’argent. Un gardien se casse de partout, il plonge à longueur de temps sur tous les terrains, il prend des risques pas croyables en match, il est le plus décisif des onze. Sur le coup, ça m’a fait rire. Mais quand tu y repenses…

Libération

Super interview,agréable a lire

De même.

Si Mandanda part, je le veux...

J'adore ce gardien, en même temps comment ne pas l'aimé ?

Koné le feu-follet a écrit:

Si Mandanda part, je le veux...

J'adore ce gardien, en même temps comment ne pas l'aimé ?

Je me souviendrais toujours du match qu'il fait a Nice en 2005 quand on gagne 1-0.Infranchissable.

Menzo a écrit:

Koné le feu-follet a écrit:

Si Mandanda part, je le veux...

J'adore ce gardien, en même temps comment ne pas l'aimé ?

Je me souviendrais toujours du match qu'il fait a Nice en 1005 quand on gagne 1-0.Infranchissable.

Massilia57 a écrit:

Menzo a écrit:

Koné le feu-follet a écrit:

Si Mandanda part, je le veux...

J'adore ce gardien, en même temps comment ne pas l'aimé ?

Je me souviendrais toujours du match qu'il fait a Nice en 1005 quand on gagne 1-0.Infranchissable.

2005

Il est rare que je lise le bla-bla des joueurs mais celui-ci est à lire d'urgence, c'est vraiment énorme ce qu'il dit.

Chapeau Carrasso.

Ouai vraiment bien cette interview, j'aime bien ce joueur