[Staff] Pape Diouf

nasrilOver a écrit:

Massilia57 a écrit:

"Malheureusement, l'efficacité offensive n'était pas là."

C'est juste un manque de chance à mon avis

Sinon ce qu'il dit Pape est pas faux ! C'est une victoire amplement méritée.

C'est la faute à Djibril

Certain dont moi diront "+1".

Beye13 a écrit:

Certain dont moi diront "+1".

bah oui et non.

bon, Djib' tu dois marquer 2 buts par match

Diouf : "Le championnat en première position"

Pour le président de l'OM Pape Diouf, l'objectif est d'aller le plus loin possible en coupe UEFA, même si le championnat demeure la priorité.

"L'OM dispute actuellement trois compétitions; si je devais établir une hiérarchie, je dirais que je place le championnat en première position et peut-être par péché mignon, la coupe de France en deuxième, parce qu'elle est plus à notre portée, moins aride. La coupe de l'UEFA est relevée, dépend de plus d'impondérables et il est donc plus délicat de la fixer comme objectif majeur. Mais l'OM va s'efforcer d'aller le plus loin possible."

La Provence

Pape Diouf : «Je reste confiant»

La réaction du président olympien dans les couloirs du Vélodrome après le succès sur le Zenit Saint-Petersbourg. "C’est dommage d’avoir pris ce but mais je suis convaincu que la victoire se suffit à elle-même" dit-il.

Pape quel est votre sentiment après la victoire sur le Zenit ?

Il est difficile de dire que l’on heureux après un match dont l’issue dépend d’une deuxième manche. En revanche, on peut parler de satisfaction car l’équipe a joué sur un tempo très intéressant. Elle a su dominer son sujet, elle s’est crée beaucoup d’occasions en marquant trois buts. C’est dommage d’avoir pris ce but mais je suis convaincu que la victoire se suffit à elle-même. Pour se qualifier, le Zenit devra marquer deux buts sans que l’on en marque un seul. C’est une autre histoire. Il faudrait que l’adversaire arrive à dompter nos attaquants et à contenir toute notre équipe. Je reste donc confiant.

Comment avez-vous jugé cette équipe du Zenit notamment par rapport au Spartak Moscou ?

Sur ce que l’on a vu ce soir, je pense que le Spartak a été meilleur que le Zenit, qui a souvent prévalu par son engagement physique souvent à la limite. Les Russes ont commis beaucoup de fautes et ils ont eu beaucoup de mal à approcher nos buts. Il faudra voir quelle équipe jouera contre nous sur leur terrain. Il faudra y aller avec un maximum de prudence mais aussi une détermination sans faille.

L'OM continue en tout cas à marquer beaucoup de buts...

Comme face à Auxerre, nous avons manqué un peu de réalisme, soit par manque de réussite, soit par maladresse. Et dans les deux cas, la fin a laissé un petit goût amer même si j’ai rappelé que nous avions gagné ce soir. En gagnant 3-1 ce soir, on a montré une certaine force offensive et cela peut avoir son incidence sur le plan psychologique. Je reste confiant, d’autant plus que notre équipe joue très bien depuis quelques semaines.

Site Off

Pape Diouf très remonter sur RMC ! J'espère que les joueurs vont en prendre pour leur garde en interne !

Il faut que les joueurs soit 11 sur le terrain, ne pas jouer pour soit même @ Diouf

Diouf en veut à ses «nababs»

La nuit porte conseil, dit le dicton. Dans le cas de Pape Diouf, elle l'a conduit à durcir encore son ressentiment à l'encontre de ses joueurs, éliminés de la Coupe de l'UEFA tels des «nababs» ou des «vizirs», ainsi qu'il l'a déclaré jeudi à sa descente d'avion.

«Le match de jeudi m'a empli d'un sentiment de colère, a déclaré le président de l'OM. Il est manifeste que des joueurs se sont pris pour des nababs, des vizirs. Dans ce genre de situation, j'attends un match européen, joué avec les tripes, on ne joue pas son ambition personnelle. Certains ont oublié leur devoir de solidarité, là où la solution ne peut être que collective. (...) Eric Gerets partage probablement mon sentiment. Il a rencontré les joueurs à l'arrivée à l'hôtel et ne s'est pas gêné pour dire sa manière de penser».

«Dès dimanche à Lens, ce match doit être une rédemption pour des joueurs qui se sont économisés d'une façon ou d'une autre.» Après deux mois et demis absolument exceptionnels, Pape Diouf semble craindre une décompression qui ne permettrait pas à Marseille de poursuivre son parcours avec la même efficacité. «Il serait dommage, par la faute de quelques garçons qui s'égarent, de perdre tout le bénéfice de notre parcours depuis deux mois».

Lequipe

Les joueurs le cherchent aussi. Je serais pas étonné de voir des changements pour dimanche.

Diouf s'en prend aux "nababs"

"Ceux qui se sont économisés doivent réagir à Lens" a déclaré hier le président de l'OM

Éric Gerets n'a pas laissé ses joueurs s'endormir tranquillement sur leur élimination à Saint-Pétersbourg. Mercredi soir, de retour à l'hôtel, il leur a dit clairement ce qu'il pensait et ce n'était pas un concert de louanges. Hier, dans l'avion qui ramenait la délégation vers Marseille, où les joueurs ont effectué un léger décrassage en rentrant, l'entraîneur a revu la rencontre en DVD, en compagnie de Dominique Cuperly, penché sur son épaule. Et sur le tarmac de l'aéroport, il n'a pas été aussi dur envers ses joueurs. Il est vrai que dans le rôle du méchant qui remet chacun devant ses responsabilités, Pape Diouf a aisément enfilé le costume.

Comme la saison dernière après la finale de la coupe de France. "Lens doit être le match de la rédemption, car celui de Saint-Pétersbourg m'a empli d'un sentiment de colère, a-t-il commencé à dire. Dans notre équipe, il y a des joueurs qui se sont pris pour des vizirs ou des nababs. J'attendais davantage d'un match européen, joué avec les tripes, avec le coeur." Le président est virulent et s'il ne cite pas de noms, il cible des joueurs et leur réserve sa colère. On comprend qu'il en veut surtout à des joueurs du secteur offensif. À moins qu'il n'emploie le pluriel devant les micros, mais pense au singulier.

"On ne joue pas son ambition personnelle"

"Il est de bon ton que les joueurs sachent une chose : on ne joue pas son ambition personnelle, l'ambition doit être collective, a ainsi développé Pape Diouf. Or, elle a été absente de nos rangs, on a vu parfois l'équipe coupée en deux parce que certains joueurs ont oublié leur devoir de solidarité, qui nous aurait permis de revenir qualifiés". A qui en veut le président ? Les plus décevants ont été Cissé et Nasri. Et s'il ne cite pas de nom, on a la très nette impression que Pape Diouf cible principalement le jeune marseillais, dont la prolongation de contrat et l'augmentation très nette de salaire sont actuellement en cours de négociations. "Il serait dommage, avec les deux mois que nous venons de passer, que par la faute de quelques garçons qui s'égarent un peu, nous en perdions le bénéfice, a-t-il prévenu. Il faut que tout le monde se reprenne et que dimanche à Lens, ceux qui s'étaient économisés, s'investissent totalement, de manière à sortir avec un résultat positif." Qui aime bien, châtie bien.

La colère de Pape Diouf est beaucoup plus un rappel à l'ordre qu'une déclaration d'hostilité. Sachant que l'OM sera toujours meilleur avec le meilleur Nasri, qui, une fois éliminées toutes les séquelles de ses ennuis de santé, doit maintenant, enfin, revenir à son niveau. Le laisser sur le banc serait-il utile, comme cela a été le cas pour Djibril Cissé ? Mathieu Valbuena souffrant des adducteurs et Mamadou Niang d'une cuisse, ce n'est pas sûr, malgré les apports possibles d'Eliott Grandin ou de Kanga Akalé. Maintenant, c'est plus une question d'orgueil que de valeur pure.

La Provence

Diouf sème le trouble

Les propos du président de l’OM après l’élimination européenne ont été mal vécus par les joueurs.

DRÔLE D’AMBIANCE hier matin à la Commanderie, terrain d’entraînement de l’OM. Alors qu’Éric Gerets a programmé de petites oppositions 4 contre 4, Djibril Cissé s’entraîne seul dans son coin. Il frappe comme une mule sur des centres de Laurent Spinosi, transformé en entraîneur d’attaquant pour l’occasion.

L’avant-centre international est tendu, et continue d’enchaîner frappes pied droit, pied gauche, lucarnes et tirs trop haut. « Il n’y a pas de problème Cissé, assure pourtant Gerets, quelques minutes plus tard, lors du point presse. [i]J’avais un homme de trop pour mes oppositions, et lui, comme Nasri, avait beaucoup joué ces derniers temps. Il a pu s’entraîner devant le but. »[/i]

Mais la tension dans le groupe est palpable. À plusieurs reprises, Gaël Givet, son ami d’enfance, puis Kanga Akalé, viendront encourager l’Arlésien. Celui-ci, tout comme Nasri, n’a pas digéré les propos de son président Pape Diouf sur ceux « qui se sont pris pour des vizirs ou des nababs ». « Dans ce genre de situation, j’attends un match européen, joué avec les tripes, a poursuivi Diouf, on ne joue pas son ambition personnelle. Certains ont oublié leur devoir de solidarité, là où la solution ne peut qu’être collective. (…) Dès dimanche, le match contre Lens doit être une rédemption pour des joueurs qui se sont économisés d’une manière ou d’une autre. Il serait dommage de perdre, par la faute de quelques garçons qui s’égarent, tout le bénéfice de notre parcours depuis deux mois. »

Gerets : « Les joueurs doivent accepter les critiques »

Le quotidien local la Provence a cité les noms des deux internationaux français comme étant les premiers visés par le président. Cissé a appelé Diouf dès les premières heures de la matinée. Nasri aurait préféré qu’il évoque « une faillite collective ». De fait, il a entraîné son équipier dans le bureau du président en tout début d’après midi pour éclaircir ces propos qui les jettent en pâture à la vindicte populaire après cette élimination sans éclat en Russie (3-1, 0-2). Le jeune milieu international n’apprécie pas d’y voir mêler les éléments de négociation de la prolongation de contrat qu’il est en train de rediscuter avec la direction olympienne et qui prend beaucoup de temps.

Ce déballage l’a profondément énervé et il a fallu tout le pouvoir de persuasion de son agent (Jean-Pierre Bernès) pour le calmer.

Comme on pouvait s’y attendre, Pape Diouf a démenti avoir donné des noms et visé en particulier les deux joueurs précités. Ce qui les a, semble-t-il, apaisés. Reste que cet épisode a perturbé le groupe sportif dans son ensemble. Les critiques, même ciblées, auraient été mieux comprises si elles avaient été formulées dans l’intimité des vestiaires. « Il y a des fois où il vaut mieux avoir un discours en interne quand on a des problèmes à résoudre, a souligné Benoît Cheyrou. C’est plus simple que de passer par l’intermédiaire de la presse. »

Quant à l’entraîneur, qui doit remobiliser ses troupes dès demain à Lens, il soutient officiellement son président. « Si je ne comprends pas ces critiques, ce n’est pas à vous, les médias, que je le dirai. Le président a un rôle spécifique dans la hiérarchie. Si Pape a parlé, c’est certainement après avoir mûrement réfléchi. Dans le passé, il n’a pas vraiment critiqué les joueurs, à part une fois (avant le match à Liverpool) et le résultat a été positif. Les joueurs doivent accepter les critiques comme ils ont accepté d’être applaudis pour leur parcours. Les joueurs vexés peuvent réagir sur le terrain. »

Dans les vestiaires, il aurait tout de même avoué à ses joueurs que ces déclarations étaient plutôt maladroites.

Lequipe papier

PAPE DIOUF : «RETROUVONS NOS VERTUS

Avant le départ pour Lens, Pape Diouf a rencontré le groupe olympien. Il revient pour nous sur son mécontentement affiché au lendemain de l’élimination au Zenit et sur le message transmis aux joueurs, à savoir de «retrouver les fondamentaux.»

Vous avez exprimé votre colère et votre déception au lendemain de l'élimination contre le Zenit. Pour quelle raison était-ce important de le faire ?

Simplement parce que je suis le premier supporter de l’Olympique de Marseille et, à ce titre, j’ai nourri des regrets légitimes quant à cette élimination. J’en suis aussi le président et ainsi le premier comptable et le premier responsable. Après le match aller contre le Zenit, et contrairement à une idée répandue, le but encaissé en fin de match ne me gênait pas plus que cela à partir du moment où nous comptions deux buts d’avance. Je signerai d’ailleurs lors de nos futures campagnes européennes pour une victoire par trois buts à un pour chacun de nos matches à domicile. En arrivant à Saint-Pétersbourg, nous savions donc que le Zenit devait nous marquer deux buts sans en encaisser un. Le schéma était ainsi posé et je persiste à penser que nous n’avons pas fait ce que nous devions faire. L’équipe n’a pas été solidaire comme elle aurait du l’être et, au lieu de jouer à onze pour atteindre notre objectif, j’ai ressenti chez certains garçons un relâchement, un désintérêt à la tâche collective. C’était de mon devoir de tirer la sonnette d’alarme.

Est-ce que vos critiques visaient plus particulièrement un joueur ou un autre ?

Que par déduction ou supputation, les journalistes aient désigné tel ou tel garçon, c’est la règle du jeu. Mais, pour ce qui me concerne, je n’ai pas cité de noms. Quand on subit un revers comme celui que nous avons subi, les responsabilités ne peuvent pas relever d’une ou deux personnes. La responsabilité est nécessairement collective. De mon point de vue, il y a une bonne partie de l’équipe qui n’a pas fait ce qu’on pouvait attendre d’eux. Je ne vais donc pas m’amuser à dire qu’un joueur est plus concerné qu’un autre.

Vous êtes venus aujourd'hui rencontrer tous les joueurs avant l'entraînement. Quel a été votre message ?

Nous avons traversé une période faste et très agréable qui nous a valu ce bond en avant au classement et nous a valu la sympathie de nos supporters et presque de toute la France du football. Il fallait donc que nous revenions à ces fondamentaux, à notre football et surtout à cet esprit de groupe qui a été le ciment de nos succès. Il fallait aussi rappeler qu’en dépit de certaines prises de positions exprimées ici ou là, la réalité est que ce n’est qu’entre nous que nous pourrons nous relever de cette défaite. Ainsi le message était qu’il fallait qu’à Lens, et quelque soit le résultat, nous retrouvions nos vertus : à savoir l’intérêt et l’investissement de la part de chaque joueur. Cela me paraît capital car le championnat reste notre objectif prioritaire avec Lens dimanche puis la coupe de France avant d’affronter Sochaux, de nouveau en Ligue 1.

Avez-vous senti les joueurs réceptifs ?

Bien évidemment, les joueurs le sont et j’espère que cela se traduira par la même prise de conscience que lors des deux fois précédentes (après la défaite à domicile contre Nice fin août et après le nul contre Lorient en novembre). J’ai senti chez les joueurs une vraie écoute et une vraie solidarité. N’en déplaise à un grand quotidien sportif national qui s’évertue à évoquer une pseudo guerre de tranchée dans le vestiaire ou pire entre l’entraîneur et le président. Cela les regarde et c’est à eux d’en prendre la responsabilité.

Site Off

Diouf persiste et signe

Le président de l'Olympique de Marseille, Pape Diouf, a affirmé samedi ne pas regretter les propos qu'il avait tenus à l'issue de l'élimination de son équipe contre le Zénith St-Pétersbourg (3-1, 0-2). Le dirigeant, qui avait qualifié certains joueurs de «nababs» et de «vizirs», sans les citer, a même expliqué avoir été «encore plus dur» envers eux, avant leur déplacement à Lens dimanche. «J'ai rencontré les joueurs avant le départ pour Lens et mes propos ont été plus durs encore, a-t-il confié. Avec le recul, si c'était à refaire, je n'hésiterais pas à être encore plus dur en citant les joueurs un par un.»

«En aparté, ils (les joueurs) ont reconnu que j'ai eu raison de dire cela, a-t-il poursuivi. Je suis le patron du club, et je m'exprimerai ainsi à chaque fois que cela sera nécessaire. Eric Gerets est en totale phase avec moi». Il a également confirmé, comme l'indiquait L'Equipe de samedi, avoir reçu vendredi Djibril Cissé et Samir Nasri, implicitement visés par ses propos. «Je leur suis rentré dedans en effet car ils faisaient partie des joueurs qui m'ont plus qu'irrité. Ils ont compris le message.»

L'EQUIPE


Il y a quand même un truc que je ne comprends pas pourquoi un tel acharnement sur Cissé.

C'est pas dur pourtant, il refait rien depuis quelques matchs et contre le Zenit il a recommencer à gueuler à tout va...

Mieux vaut prévenir que guérir comme le dit le proverbe.

Pape Diouf : "Les gars n’ont pas lâché"

"Il faut regarder les choses en face. Avant ce match, j’aurais probablement signé pour un match nul. Au vu du déroulement du match, il y a des regrets puisque nous aurions pu, après avoir dominé et mené par 2-0 en première mi-temps, accentuer notre avance puisque nous avons eu des ballons de troisième but, et peut-être remporter la victoire ici. Quand on voit le retour de Lens, les trois buts inscrits par les Lensois, que nous étions encore menés à cinq minutes de la fin, ce retour me parait annoncer un état d’esprit, que les gars n’ont pas lâché. Il faut accepter ce résultat comme tel. Ce point sera peut être salvateur à l’heure des comptes. Quand on veut regarder les choses en face, nous aurions même pu marquer un quatrième but si Kanga Akalé avait pu donner le ballon à Djibril Cissé. Il y a des regrets de notre part. Du côté Lensois, il y a aussi des regrets. A l’arrivée, c’est un match fortement intéressant pour les téléspectateurs. Essayons de savoir si au mois de mai, ce point là nous aura été bénéfique. La seule chose qui est vrai aujourd’hui, c’est que, sur le troisième Nancy, nous n’avons pas perdu de points. Il faut déjà repenser à la Coupe de France, qui nous revient dès mercredi, repenser encore au championnat le samedi d’après. Nous sommes sur une ligne droite où il convient de rester concentrés et de retrouver tous nos atouts puisqu’à l’absence annoncée de Mamadou Niang, est venue s’ajouter celle de Valbuena, qui n’a pas joué car il ne le pouvait pas".

Site Off

Massilia57 a écrit:

Pape Diouf : "Les gars n’ont pas lâché"

Mouais, je dirais oui et non. Ils ont pas lâché à 3/2, mais à 0/2 oui. Je sais pas si c'est encourageant ou pas...

et a la fin si Akale avait fait une passe au lieu de chercher le peno , on aurait gagné 4-3

Le péno' selon les arbitres il peut l'avoir.

omfan-foot a écrit:

et a la fin si Akale avait fait une passe au lieu de chercher le peno , on aurait gagné 4-3

Et si on était revenu des vestiaires, avec la même envie qu'en premiere on l'emporte 0/2.

Rock1 a écrit:

Et si on était revenu des vestiaires, avec la même envie qu'en premiere on l'emporte 0/2.

tu marque un point

Et si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle !

tapie_le_boss a écrit:

Et si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle !

Et avec des scies, on coupe du bois aussi.

Pape Diouf : «Il y a une drôle de sonnette d’alarme qui a retenti»

Le Président Pape Diouf commente à chaud l’élimination de son équipe par les amateurs de Carquefou. Il exhorte ses troupes à se remobiliser pour obtenir la troisième place qualificative pour la Ligue des Champions.

C’est une grosse déception pour l’Olympique de Marseille…

Il n’y a pas grand-chose à dire. Tous ceux qui ont assisté à la partie, ont vu que, tout compte fait, les plus méritants l’ont emporté. A partir de là, on peut plaider que c’est le lot de surprises que révèle la Coupe de France, remonter l’histoire et rappeler les grandes surprises qui ont rythmé la vie de cette épreuve. Il n’en demeure pas moins qu’aujourd’hui, la déception est vive, cruelle, très difficile à supporter. D’autant plus que, quand l’on considère que mercredi dernier, nous nous faisions sortir en Coupe de l’UEFA de la manière que l'on sait. Aujourd’hui, nous nous faisons battre par une équipe qui flirte plus avec la DH qu’avec le CFA2. Il y a là une déception qui n’a pas de nom. Maintenant, il nous reste, pour ne pas assombrir notre fin de saison, à nous remobiliser, à essayer de jouer ce qu’il reste comme matches, c'est-à-dire neuf matches de championnat, comme les joueurs de Carquefou l’ont joué aujourd’hui et essayer de jouer et d’obtenir la troisième place en Champions League qui est le seul objectif qu’il nous reste réellement, même si aussi, c’était aussi l’objectif initial fixé en début de saison. En tout cas, ce soir, la déception est vive.

Malheureusement, l’OM a buté contre une défense costaud…

Oui, on peut dire tout ce que l’on veut. Nous avons joué parfois en attaque-défense. Nous pouvons dire aussi que les amateurs de Carquefou se sont massés derrière, qu’ils ont blindé leur défense. Nous pouvons tout dire mais il n’en démord pas moins qu’ils n’ont fait que le jeu que l’on pouvait attendre d’eux, ils ont tout donné. Au contraire, ils n’ont que des « vivas » à avoir. Moi, en tout cas, je leur adresse mes félicitations puisqu’ils ont su jouer avec leur cœur, avec leurs tripes, avec tout ce qui, aujourd’hui, fait que dans le football, on peut combler toutes ses insuffisances techniques et s’en tirer... ce que nous n’avons pas su faire. Quand on regarde le match dans son ensemble, il est difficile de faire un recensement objectif des occasions que nous avons eues. Nous n’en avons quasiment pas eu, à une ou deux exceptions près.

Un match de Coupe est-il, avant tout, une question de caractère ?

Avant tout, c’est une question de caractère et, c’est vrai, une question de cœur. Nous n’allons pas refaire l’histoire aujourd’hui. Je crois qu’il faut simplement entériner l’échec qui est le nôtre et essayer de repartir autrement. Il y a une drôle de sonnette d’alarme qui a retenti. Déjà, nous avions senti les premiers grincements à Saint-Pétersbourg. Ce soir, c’est vrai qu’il y a matière à rester sur le qui-vive et surtout à aborder ce qu’il nous reste de la saison avec le maximum de vigilance et surtout avec l ’implication de tout le monde.

Site Off

Paye tes erreurs de casting.

Massilia57 a écrit:

Pape Diouf : «Il y a une drôle de sonnette d’alarme qui a retenti»

Malheuresment ce n'est pas celle de son reveil

Pape Diouf : «Un incident de vestiaire»

Le président recentre les objectifs sur le championnat. Sur le soit-disant «pugilat» entre K. Ziani et E. Gerets révélé par un quotidien national sportif, il parle d’une«invention» mais revient l’écart de conduite du joueur qui a justifié la mise en œuvre d’une procédure disciplinaire.

Pape, après deux jours de déplacement professionnel, vous avez retrouvé le groupe ce vendredi à la Commanderie. Dans quel état d’esprit sont les joueurs après l’élimination face à Carquefou ?

Tout le monde a pris conscience du couac monumental dont il s’est agi. On a beau parler de la magie de la coupe de France et de cette légende nourrie par ces éliminations de grosses équipes par des petites équipes, il n’en demeure pas moins que, pour nous, avoir perdu contre Carquefou a été plus qu’une fausse note. D’autant que cet échec survenait à peine une semaine après notre élimination en Uefa. C’était donc très mal tombé. Je pense que le groupe en a pris conscience et l’entraîneur a rappelé tout le monde à ses devoirs. Il n’en reste pas moins que le championnat reste à disputer en essayant d’obtenir la place pour la Champions League en nous plaçant à la troisième place et pourquoi pas à la deuxième place si une embellie se faisait. Actuellement, tout le monde est pénétré de cette vérité.


Ce vendredi, la presse fait état d’une altercation entre Eric Gerets et Karim Ziani à la mi-temps de Carquefou-OM, que s’est-il exactement passé ?

Je vais ressortir une expression que j’affectionne : «de l’œuf dont on fait un bœuf». Dans cette affaire, il faut dépassionner les débats et prendre la distance requise. Il ne s’est passé rien d’autre qu’un incident de vestiaire comme il s’en passe des dizaines voire des centaines chaque saison dans plusieurs villes et plusieurs clubs. J’étais évidemment là pour m’en rendre compte directement et je n’ai pas besoin de témoignages de qui que ce soit. Même le mot altercation me parait très fort. Cela relève plus de l’invention que d’une réalité.
Il y avait d’un côté un joueur qui n’était pas très heureux de sortir à la mi-temps et un entraîneur qui doit prendre ses décisions et assumer ses responsabilités. Quelques mots ont effectivement étaient échangés. Cela a valu à certains d’en faire un fromage mais il n’y a pas lieu. Toutefois, nous n’avons pas approuvé l’attitude du joueur puisque tous les membres de l’effectif doivent donner un maximum de respect à l’entraîneur. Cela ne nous a pas paru être le cas nous en avons pris acte.

Karim Ziani n’était pas à l’entraînement jeudi, sera-t-il dans le groupe pour le match contre Sochaux ?
Non. Dans cette affaire, nous avons un comité directeur constitué de la direction sportive et administrative, chargé de traiter ce genre d’incident lorsqu’il survient. J’ai chargé ce comité de mettre en oeuvre une procédure disciplinaire à l’encontre de Karim et de le recevoir afin d’entendre ses explications. En attendant, le joueur est mis à pied à titre conservatoire. En effet, il y a une discipline collective à laquelle chacun doit être astreint dans le groupe, Karim comme un autre. Son écart de comportement est suffisamment important pour justifier une procédure disciplinaire.