[Brandão] Celui qui épuise les défenses

Que je sache quand Ferveur parle de 15 buts minimum c'est en championnat.

Juste énorme ce soir. Si on va au Stade de France, c'est grâce à lui.

Sonnygoal a écrit:

Que je sache quand Ferveur parle de 15 buts minimum c'est en championnat.

Ah c'est pas en tout ? Mais personne le fait en L1 ça, c'est très rare cette chose.

ludom80 a écrit:

Il est comme rib€ry ce soir, moche mais énorme

2 buts avec 1 oeil en moins !

Koné le feu-follet a écrit:

2 buts avec 1 oeil en moins !

Comme quoi quand il vise en fermant les yeux il est plus efficace

Sonnygoal a écrit:

Koné le feu-follet a écrit:

2 buts avec 1 oeil en moins !

Comme quoi quand il vise en fermant les yeux il est plus efficace

A Sainté il jouer avec les deux !

ludom80 a écrit:

Il est comme rib€ry ce soir, moche mais énorme

Brandao, le retour gagnant

Merci sale chèvre, Menzo dédicasse ;)

Génial se soir, j'aime quand il est comme ça, décidément il aime la coupe de la ligue.

La page Milan AC est définitivement tournée.

L'air de rien depuis janvier (la reprise), il est énorme ce joueur.

Il nous a fait beaucoup de bien !

«Il est souvent critiqué et la meilleure des réponses qu’il peut donner, c’est ce qu’il a fait ce soir. Ce n’est pas en parlant. Ce soir il a prouvé sur le terrain qu’il est utile à l’équipe. Il a marqué mais il a aussi pesé dans le jeu» @ José Anigo.

Massilia57 a écrit:

Brandao, le retour gagnant

Oh que oui, depuis 2010 une de nos principales armes on l'a encore vu.

Merci grand c** de m'avoir fait pleurer, refait ça le 27 mars!

Sonnygoal a écrit:

Koné le feu-follet a écrit:

2 buts avec 1 oeil en moins !

Comme quoi quand il vise en fermant les yeux il est plus efficace

Désormais, il va jouer tout les matchs avec un oeil fermé

Notre Zorro

Un p'tit "fuck les rageux"

Massilia57 a écrit:

Notre Zorro

Et je pousse la chansonnette:

Brandao est arrivé
Sans s'presser
Le grand Brandao
A mis son doublé
Et nous a sauvé.

J'aurais pu le faire avec Capitaine Flamme aussi.

C'est bon pour la confiance ca

Beye13 a écrit:

om-grenoble BRANDAO
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Allez, tous ensemble.



Allez faites le pour Menzo.

Il talonne Niang au classement des meilleurs buteurs olympiens.

Niang 11 buts, Brandao 10.

« On peut toujours débattre pour savoir si Brandao est un grand technicien ou pas, si c’est un buteur ou non, ou encore s’il a ou non le niveau pour Marseille. Moi je pense qu’il apporte énormément à l’OM. Combien de fois les a-t-il sortis d’une situation difficile ? Combien de fois a-t-il permis aux joueurs autour de lui de se mettre en évidence ? Contre nous, sans Brandao, les Marseillais auraient eu beaucoup plus de mal. Il pèse énormément sur la défense adverse avec une forme de harcèlement de tous les instants qui empêche de bien relancer. Sans oublier que c’est lui qui a fait la différence, deux fois. C’est lui qui les emmène en finale. Sans lui, je ne sais pas s’ils auraient pu s’en sortir » @ Alain Casavona.

Casanova a entièrement raison, sans ses deux doublés on serait resté à quai contre les Verts.

Brandao, cet inlassable guerrier

Grand artisan de la qualification en finale de la coupe de la Ligue, le Brésilien est un modèle d'abnégation. Parcours.

Et une fois encore, il s'est relevé. Quelques minutes plus tôt, il avait reçu un coup de chaussure au niveau d'une paupière lors d'un duel avec Étienne Capoue. Dans le choc, il s'était instantanément écroulé. Tordu de douleur, à terre, le haut de l'arcade entaillé, il aurait tout aussi bien pu se retirer des débats. Mais non, Brandao n'est pas fait de ce bois-là.

Il en faut vraiment beaucoup plus pour venir à bout de cette grande carcasse (1m89) et l'attaquant olympien a fini par se redresser, le front enserré d'un bandeau de fortune. Il est revenu se frotter aux défenseurs toulousains comme ça, crâne bandé à la manière des gaillards d'un pack de rugby. Si Marc Lièvremont, le sélectionneur du XV de France,avait des soucis pour composer sa 2e ou 3 e ligne, il envierait certainement Didier Deschamps.

Avec ses yeux pratiquement masqués, Brandao n'avait pas seulement l'allure d'un inflexible combattant. Il en avait aussi et surtout le cœur. Violemment secoué d'abord, puis en échec devant le but, il a finalement été assez persévérant pour signer un doublé décisif et agripper in extremis un OM qui glissait vers une inéluctable crise.

L'autre soir, ses deux buts ont mis en avant une détermination peu commune. Il en fallait, ainsi, de la hargne pour s'élever à cinq minutes de la fin du temps réglementaire, après tant de tentatives avortées, pour aller chercher un long ballon de Ben Arfa et arracher l'égalisation. Il en fallait aussi de la conviction pour décocher une frappe sèche, en position assez excentrée et sans véritable élan, durant la prolongation. Un missile pur, à mi-hauteur, façon... Djibril Cissé, celui qu'il était censé suppléer numériquement dans le courant de la saison dernière.

Brandao a la foi. En toute épreuve. Grand croyant, il n'oublie jamais de s'adresser à Dieu à chacun de ses buts, index pointés bien haut en direction du ciel. Sans doute, le Pauliste puise-t-il des ressources fondamentales dans la religion. Au fil des prières. Sans doute, celles-ci l'ont aidé à se surpasser encore dans les filets de l'arrière-garde toulousaine.

Oui, une fois encore. Repartir, revenir de nulle part après avoir essuyé des échecs en série, c'est l'ordinaire d'un homme qui, au lieu de plonger en plein doute face aux difficultés et aux critiques, ne renonce jamais. Arrivé à l'OM il y a un peu plus d'un an, dans le cadre du mercato d'hiver, l'ancien attaquant du Shaktar Donetsk (29ans) avait mis tout de même deux mois pour connaître la sensation d'un but inscrit en France. C'était à Caen (0-1). Un vrai déclic pour celui qui allait agrémenter son compteur personnel de six autres réalisations en Ligue 1.

Même cas de figure cette année. Après avoir enchaîné les loupés monumentaux cet automne, dont le plus spectaculaire à Milan (1-1), Brandao a renoué le fil de l'efficacité en janvier, retrouvant la cadence qui avait été la sienne durant les premiers mois de la saison (5 buts en Ligue 1). Lui qui n'avait toujours pas réalisé de doublé avec l'OM, il vient d'en inscrire deux en moins d'un mois et en coupe de la Ligue à chaque fois. Avant Toulouse, où il a marqué ses neuvième et dixième buts de la saison toutes compétitions confondues, il y eut Saint-Étienne en 8es de finale. Au-delà de sa réussite personnelle, ce soir-là, il avait également été l'auteur de l'ouverture décisive pour Niang (2-3).

Durant les matches suivants, tant à Bordeaux (1-1) que devant Le Mans (2-1), il devait encore être impliqué sur les trois buts olympiens, allant jusqu'à provoquer le penalty victorieux face aux Sarthois. Car analyser le rendement de Brandao ne peut pas se résumer à ses buts. Son inlassable activité est tout aussi essentielle.

Sur un côté - comme mercredi - ou dans l'axe, le Sud-Américain accomplit un travail de sape incessant, coupant les premières relances adverses et se déplaçant sur toute la largeur du terrain. Une débauche d'énergie précieuse pour ses coéquipiers. "À force de peser sur les défenses et de focaliser l'attention, il libère des espaces pour les autres", répète souvent un Mamadou Niang dans le "dur" depuis trois matches. En temps normal, la mauvaise passe de son capitaine aurait pu franchement handicaper l'OM. Pas avec un Brandao régénéré. Pas avec ce Brandao-là.



laprovence

"J’ai toujours dit qu’il était important pour l’équipe. Dans son état d’esprit, c’est l’intérêt collectif qui prime. C’est pour ça qu’il est aussi généreux dans l’effort. Il a souvent été injustement décrié mais il ne faut pas oublier tout ce qu’il a fait avant que j’arrive à l’OM et depuis que j’y suis. L’OM a besoin de lui." @D.D

"Je suis un gladiateur. Je suis prêt à tout ! J’ai eu la chance de marquer deux buts mercredi et la malchance de recevoir ce coup au visage mais ça ne va rien changer pour les matches à venir." @Brandao

Brandao, le gladiateur de l’arène olympienne



Pour ceux qui en doutaient encore, Brandao a prouvé mercredi soir qu’il était «indispensable» au système Deschamps. Auteur d’un doublé contre le TFC, le Brésilien devrait faire son retour dimanche en championnat face à Valenciennes.

Les deux index en l’air, le regard porté vers le ciel : l’image d’un Brandao fêtant à sa manière ses buts commence à devenir une habitude pour les supporters olympiens. Flanqué du costume du "maladroit de service" par les médias, Brandao n’a pourtant jamais perdu ses moyens. Véritable bosseur sur le terrain, le Brésilien récolte aujourd’hui les fruits de son travail au point de retourner l’opinion, à commencer par la plupart de ses anciens détracteurs. Et pourtant, cette réussite soudaine n’a jamais été une surprise, ni pour Didier Deschamps, ni pour José Anigo, ni même pour ses partenaires qui le côtoient chaque jour. «J’ai toujours dit que c’était un attaquant important pour l’OM. Dans son état d’esprit, il joue pour l’équipe. Il est très généreux. Il a toujours de la motivation», juge son entraîneur.

Devant la presse vendredi, l’attaquant brésilien, qui portait encore les stigmates d’un coup de pied au visage reçu en demi-finale de Coupe de la Ligue, répète le même discours : l’équipe d’abord ! «Si l’on gagne à chaque fois 1-0 mais que je ne marque pas, je suis heureux !», s’accorde t-il à dire avec son habituel sourire qui masque légèrement ses yeux, cette fois-ci un peu plus marqués par sa blessure.



On peut parfois reprocher au natif de Sao Paulo un manque de concentration dans la finition, dont le plus célèbre à Milan. Des maladresses qui cachent pourtant un énorme travail de fond. Ce manque de lucidité devant le but résulte de ses efforts défensifs intensifs. Le constat a déjà été mainte fois étudié, retourné et décortiqué. On ne va pas réécrire une thèse là dessus, le Brésilien en a offert la réponse au Stadium mercredi soir. «Il a souvent été critiqué mais il a toujours une grande motivation» ne cesse de répéter Didier Deschamps. Peu enclin à évoquer les cas individuels, le technicien olympien ne s’est pas privé de se féliciter des performances de son joueur.

2010 va être une meilleure année, avec plus de buts !

Après le lynchage, place aux honneurs. Le quotidien d’un attaquant en sorte : glorifié ou dénigré à la faveur de son efficacité devant le but. Car si Brandao n’est pas vraiment un buteur à la brésilienne ou un tueur devant le but tel que le Vélodrome a pu en connaitre avec Skoblar, Papin ou encore Drogba, Brandao reste un joueur indispensable. Critiqué, son efficacité est pourtant au dessus de la moyenne. Déjà auteur de cinq réalisations cette saison en L1, le Brésilien affiche un bilan honorable de 17 buts marqués en 44 apparitions sous le maillot olympien. Et il ne compte pas s’arrêter là ! «Je remercie cette année 2009 qui a été bonne. 2010 va être une meilleure année, avec plus de buts !», a-t-il prévenu.



Le Brésilien a surtout l’avantage de marquer des buts important. Hormis le fait qu’il a grandement participé à la qualification en finale de la coupe de la Ligue, ses buts ont rapporté des points cette saison. Contre Toulouse puis à Lyon, il a permis à l’OM de ne pas perdre. Face au Mans et à Lille, ses buts valent trois points. Mais son apport ne peut se résumer à ses statistiques.

On connaissait le caractère combatif du Brésilien, on a désormais eu l’occasion de voir un guerrier sur le terrain. Et même mieux, le principal intéressé s’autoproclame «Gladiateur». Victime d’un coup de pied au niveau de sa paupière droite de la part d’Etienne Capoue dès la 10ème minute, Brandao ne s’est pas résigné à quitter la pelouse. Au contraire. Alors que Ben Arfa s’apprêtait à faire son entrée, le colosse est réapparu sous les traits d’un ninja, bandeau blanc au dessus des yeux. Avec un seul œil, le Brésilien a réussi à faire craquer la troisième meilleure défense du championnat. Il est devenu au passage le meilleur buteur de l’OM en Coupe de la Ligue, détrônant un autre attaquant critiqué pour sa maladresse : Ibrahima Bakayoko.

Brandao retrouvera le stade Vélodrome dimanche après une blessure qui l’avait empêché de jouer deux matches. Peu superstitieux, le numéro neuf olympien a annoncé qu’il n’arborera pas son bandeau devenu porte-bonheur. Son coach lui fera peut-être changer d’avis. «S’il faut qu’il joue avec un bandeau pour qu’il marque des buts, il n’y a pas de souci !», a plaisanté Didier Deschamps.

OM.net

Koné le feu-follet a écrit:

"J’ai toujours dit qu’il était important pour l’équipe. Dans son état d’esprit, c’est l’intérêt collectif qui prime. C’est pour ça qu’il est aussi généreux dans l’effort. Il a souvent été injustement décrié mais il ne faut pas oublier tout ce qu’il a fait avant que j’arrive à l’OM et depuis que j’y suis. L’OM a besoin de lui." @D.D

C'est pas lui qui voulait lui trouver un remplacent en Août dernier ?