Une attaque modulable

Beye13 a écrit:

Ouais donc on a aussi ce cas de figure la saison dernière alors. Regarde après les deux (0-0) de début de saison jusqu'au match de Lorient et après les 12 suivants.

Non, non, au milieu y a OM - Nice 0/2.

Ah ouais mince je suis allé trop vite. Donc on remonte loin alors.

Beye13 a écrit:

Ah ouais mince je suis allé trop vite. Donc on remonte loin alors.

89/90 dixit le lien de Ludo.

Citation :

"Ça marque, ça tourne bien... mais vous avez vu Barcelone ce week-end (victoire 6-0 sur Valladolid) ? Là ça tourne vraiment bien, c'est le foot idéal. Avec leur système, les joueurs sur les côtés marquent, font des passes décisives, rentrent vers le but avec des actions individuelles incroyables. C'est assez fantastique de les voir... Nous n'en sommes pas là mais en ce moment, on n'est pas mal non plus."

@Gerets

Voilà notre exemple.

De multiples plans d'attaque

Avec le prochain retour de Niang et les arrivées de Brandao et Wiltord, l'OM fourmille d'animations offensives.

En recrutant Ben Arfa et Koné cet été, tout en conservant Niang, Valbuena et Cissé, l'OM avait toutes les cartes en main pour évoluer en 4-2-3-1 cette saison. C'était la conviction d'Éric Gerets, certain de disposer des joueurs idoines pour jouer selon un schéma tactique et une animation offensive, popularisés par les Bleus lors du Mondial-2006. Quelques mois plus tard, force est de constater que le technicien belge recherche encore la meilleure formule. Les raisons? Un départ en boulet de canon de l'attaque -toujours la plus prolifique de Ligue 1, à égalité avec Bordeaux (37buts) -, qui l'a incité à utiliser un turn-over qu'il goûte d'ordinaire assez peu. Et, surtout, au gré des blessures et des méformes, et face au départ précipité de Cissé en août -remplacé ensuite numériquement par Samassa-, Gerets n'a guère eu l'occasion de reproduire deux fois consécutivement la même ligne d'attaque.

Moins de solutions en coupe UEFA

Les arrivées de Brandao et Wiltord en janvier, si elles ne vont pas faciliter sa tâche à l'heure de composer son équipe, lui offrent de vraies alternatives; tant au niveau du profil de ses joueurs que sur le plan tactique. Avec le retour de Niang programmé en février, l'OM multiplie ses plans d'attaque. Sauf en coupe UEFA où aucun des deux renforts du mercato n'est qualifié. Un élément à prendre en compte, qui aura forcément des répercussions... sur le championnat et en coupe de France. Bref, Gerets n'a pas fini de se creuser la tête pour trouver la meilleure formule. Celle qui mène au succès.

LES FORMULES POSSIBLES

4-2-3-1
Niang excentré sur la gauche

Depuis le départ de Cissé, Niang a abandonné le côté gauche où ses dribbles sont pourtant irrésistibles. Avec l'arrivée de Brandao, il a de grandes chances de retrouver son aile.Dans l'axe, et comme dans tous les cas de figure, Ben Arfa et Valbuena sont en concurrence directe. De l'autre côté, il y a aussi un sacré embouteillage avec Wiltord et Koné (dans une formule très offensive), voire Ziani et Grandin (au profil plus travailleur). Devant, Brandao est favori, grâce à sa capacité à évoluer très haut et son jeu aérien. Un boulot, parfois ingrat, que maîtrise également Niang. Wiltord, qui n'a plus la pointe de vitesse de ses vingt ans, ou Samassa, peu à l'aise isolé, partent avec du retard.

4-4-2
Un seul meneur de jeu

La formule est séduisante, originale, et Gerets en a fait l'une de ses favorites; il faut dire que le duo Ziani-Cheyrou y est totalement épanoui. Pour le quatrième larron, si Ben Arfa et Valbuena sont bel et bien incontournables, ce sera encore l'un ou l'autre. Le premier, à court de rythme, réussira-t-il à s'imposer en tant que titulaire alors que le second a marqué des points -et des buts- depuis le début de l'année? Pour les deux postes d'avant-centre, à ce jour, Niang et Brandao semblent avoir une courte avance sur les autres. Et notamment sur Koné et Wiltord, réduits ici au rôle de jokers. Samassa peut être précieux en pivot. Dur pour Grandin et Gnabouyou de se trouver une place.

4-4-2 en losange
Un seul meneur de jeu

La formule est séduisante, originale, et Gerets en a fait l'une de ses favorites; il faut dire que le duo Ziani-Cheyrou y est totalement épanoui. Pour le quatrième larron, si Ben Arfa et Valbuena sont bel et bien incontournables, ce sera encore l'un ou l'autre. Le premier, à court de rythme, réussira-t-il à s'imposer en tant que titulaire alors que le second a marqué des points -et des buts- depuis le début de l'année? Pour les deux postes d'avant-centre, à ce jour, Niang et Brandao semblent avoir une courte avance sur les autres. Et notamment sur Koné et Wiltord, réduits ici au rôle de jokers. Samassa peut être précieux en pivot. Dur pour Grandin et Gnabouyou de se trouver une place.

4-4-2 à plat
Les ZZ à la manoeuvre

Indispensable dans son rôle de piston sur le flanc droit, Ziani se voit ici offrir plus de liberté offensive. De l'autre côté, Zenden a exactement les mêmes droits et devoirs: à savoir, couvrir son couloir en pensant autant à aider Taiwo qu'à centrer pour ses deux avant-centres. La technique des deux joueurs, appliqués et ne rechignant pas à venir prêter main-forte en défense, en fait des spécialistes à ce poste si exigeant; ni Ben Arfa ni Valbuena n'ont le profil. Exit donc, là encore, les deux meneurs de jeu axiaux. Devant, les choix sont larges puisqu'il y a seulement deux places pour... sept joueurs! Certes, on compte ici Grandin (appelé à être prêté d'ici la fin du mois) et Gnabouyou, en manque de compétition.

laprovence

Et pourquoi pas un bon vieux 4/3/3, avec Niang et BA dans les couloirs?

Une palette offensive élargie



Avec Brandao, Sylvain Wiltord et les retours en forme de Mamadou Niang et Hatem Ben Arfa, l’Olympique de Marseille dispose, en attaque, de plusieurs cordes à son arc.

Avant le match retour contre Twente, Erik Gerets affirmait qu’il voulait retrouver l’animation offensive qui faisait la force de l’Olympique de Marseille en début de saison. Apparemment, son équipe lui a donné entière satisfaction en Hollande et également à Caen, deux rencontres gagnées 1-0. «Dernièrement, on joue différemment. On joue sur la largeur et on s’est aperçu que cela ne nous fait pas de mal» analyse le technicien belge.

Avec les arrivées de Sylvain Wiltord et Brandao, la palette des qualités de l’escouade offensive s’est élargie et cela permet à l’équipe de développer du jeu mais surtout d’alterner entre le jeu court, le jeu long, les attaques dans l’axe ou sur les côtés… Dans sa globalité, le jeu de l’OM s’est enrichi et le danger peut venir de partout.

Plusieurs hommes sont, sans doute, à l’origine de l’élargissement du panel des options offensives de la formation d’Erik Gerets. «L’arrivée de Brandao est très importante, il a une grosse part de responsabilité dans le fait que nous prenons moins de but. Défensivement, il se replace, se repositionne bien et offensivement, il marque, reconnaît Benoît Cheyrou. De plus, quand on déborde et que l’on voit Brandao dans la surface, on est plus en confiance pour centrer. Il a plus de présence athlétique. On a plus d’armes pour rivaliser à ce niveau qu’en début de saison. Il a d’énormes qualités mentales, il harcèle les défenseurs, il a un bon jeu de tête, une bonne capacité à garder le ballon, il est rapide et pas maladroit balle au pied. S’il continue de progresser, ce sera un atout énorme».

Sylvain Wiltord apporte également beaucoup dans le jeu marseillais mais il n’a pas encore retrouvé son efficacité, malgré quelques occasions franches. «Il revient d’une saison délicate à Rennes, explique l’entraîneur olympien, une fois qu’il aura marqué son premier but, il sera relâché comme pour Brandao. Un attaquant vit par le but, l’efficacité et pas par le beau jeu».

Buteur à Twente, Hatem Ben Arfa est revenu en grâce à force d’efforts à l’entraînement et pendant les matches ou les bouts de match auxquels il participe. «On a des atouts offensifs qui nous permettent individuellement de faire la différence. S’ils sont au top, ils en sont capables. Niang, Koné, Brandao mais également Valbuena et Ziani sont des éléments capables de faire basculer un match. Evidemment, Ben Arfa aussi. Il a même quelque chose dans son jeu qui lui permet de le faire un peu plus que d’autres».

Blessé au pied contre Nice en décembre, Mamadou Niang revient peu à peu à son meilleur niveau. L’accumulation des matches mais également le fait de marquer un but devrait lui permettre de retrouver un état de forme, physique et mental, optimal. «S’il est à son top physiquement, il peut, dos au but, tourner à droite ou à gauche et frapper immédiatement. Peu d’attaquants en sont capables. Avec l’arrivée de Brandao, si on joue à trois attaquants, Niang jouera plus à gauche» affirme Erik Gerets.

Avec un effectif qui devrait être quasiment au complet dans le courant de la semaine prochaine (avec les retours de Koné, Samassa, Hilton et Rodriguez), l’Olympique de Marseille aura en sa possession les armes nécessaires pour faire face aux deux compétitions dans lesquelles il est en lice et pour parvenir à percer les défenses les plus regroupées.

OM.net

Totalement d'accord avec cet article.

Mais pour l'instant ce n'est que de la théorie puisque niveau offensif ça marque pas plus depuis la fin du mercato

J'espere qu'il y aura des ameliorations assez rapide pour allier la bonne defense et la bonne attaque

Likiliki10 a écrit:

Totalement d'accord avec cet article.

Mais pour l'instant ce n'est que de la théorie puisque niveau offensif ça marque pas plus depuis la fin du mercato

J'espere qu'il y aura des ameliorations assez rapide pour allier la bonne defense et la bonne attaque

Acheter un bon defenseur central,un bon meneur de jeu,et c'est dans la poche