[Pro] 30.Steve Mandanda

Marseille / Mandanda : « Extraordinaire »

Le gardien de l'Olympique de Marseille, Steve Mandanda a beaucoup apprécié sa première victoire au stade Vélodrome sous le maillot olympien. Le gardien espère que le club va continuer sur sa lancée.

Est-ce que ce soir l'OM a retrouvé son public ?
C'est la première fois que je vois le public comme ça parce que c'était ma première victoire au Vélodrome. J'espère qu'il y en aura d'autres, que ça va continuer parce que c'est extraordinaire de vivre des matchs comme celui-là.

C'est votre premier match dans cette compétition, qu'avez-vous ressenti ?
J'étais très, très concentré avant et pendant ce match. Je n'ai pas fais attention à ce qui se passait autour du match, mais c'est vrai que ce sont des moments magiques, des moments forts. Beaucoup de joueurs rêvent de jouer cette compétition parce que c'est beau.

Avez-vous le sentiment d'avoir franchi un palier ce soir ?
Oui parce qu'on joue une compétition très, très haute, alors oui on franchit un pallier mais maintenant il ne faut pas s'arrêter là-dessus. Une victoire pour un premier match en Ligue des Champions c'est une belle chose, mais il faut continuer et placer la barre encore plus haute.

À qui avez-vous pensé après ce match ?
À beaucoup de personnes mais par peur d'en oublier je préfère ne pas en citer.

FOOT365

Steve Mandanda : "Ce n’est pas fini"

Cela s’est bien passé ce soir. On est très content, et satisfait du travail accompli ce soir, tout en sachant que ce n’est pas fini. On espère que tout commence aujourd’hui. C’est le résultat d’un tout. Il y a eu un discours, le travail effectué à l’entraînement, l’état d’esprit du groupe qui a changé. On peut mettre cela sur le compte du coach. Il est très proche de nous, et c’est bien. On a bien commencé ce 1er tour, avec deux victoires en deux matches. Il faut continuer, ce n’est pas fini, la qualification n’est pas acquise. Il va falloir aller chercher d’autres points et en prendre un maximum à domicile.

om.net

Les éloges de Lama sur Mandanda

Steve Mandanda, l'actuel gardien de l'OM, continue de surprendre tout son monde. L'ancien Havrais est arrivé à Marseille pour être la doublure de Cédric Carrasso. La blessure de celui-ci l'a propulsé au devant la scène olympienne. Nous relations à cette époque que brillant avec les Espoirs en 2004/2005, il avouait que "c'est la carrière de Bernard Lama qui m'a conforté dans mon choix de devenir gardien."

Aujourd'hui, c'est au modèle de Steve de prendre la parole, sur le site officiel de l'Olympique de Marseille. "Ça fait plaisir de voir que j'ai inspiré un plus jeune et je l'en remercie. Son parcours me fait plaisir. Il a tout ce que doit posséder un gardien moderne : prise de balle, détente, réflexe, vivacité et une frappe de balle très puissante... S'il en est là à son âge, c'est qu'il a des qualités de base au-dessus de la moyenne " confie l'ancien gardien international. Voilà des mots et des encouragements qui devraient nul doute toucher le jeune portier marseillais. Lama conclut son interview avec une amicale pensée pour "Carrass". " Il connaît des moments délicats et je lui apporte tout mon soutien."

Le monde des gardiens reste d'une solidarité hors du commun ...

OM Planete

Reportage sur Steve dans quelques minutes sur canal+ sport

Massilia57 a écrit:

Reportage sur Steve dans quelques minutes sur canal+ sport

Le reportage

Il ne pense qu'à l'Equipe de France

Très beau reportage.

Mandanda étonne et détonne

Depuis qu'il est devenu n°1 dans les buts de l'OM, Steve Mandanda surprend par son aisance et sa maturité. Mais les compliments ne lui ont pas fait tourner la tête. Il se sent autant responsable que les autres des mauvais résultats actuels.

«Le moins stressé, c'est le jeune gardien.» Eric Gerets trouve que ses joueurs sont un peu angoissés pendant les matches alors que ce n'est pas le cas à l'entraînement. Sauf Steve. Il faut dire que depuis que l'ancien Havrais a pris place dans les cages, il n'y a pas grand-chose à lui reprocher. Il est concentré, attentif, capable de sortir des ballons dangereux, bref, il rassure sa défense. Il a même un peu de chance, comme à Liverpool, quand à quelques secondes de la fin, les Reds ont manqué une belle occasion. On dit bien que tous les grands gardiens ont forcément un peu de réussite… Quand ils sont allés le chercher en Normandie, les dirigeants marseillais ont donc vraiment fait une bonne pioche. Car lorsqu'il a ensuite fallu remplacer Cédric Carrasso presque au pied levé, le gardien originaire de Kinshasa a immédiatement répondu présent. Il a surpris tout le monde en étant d'attaque, aussi bien en championnat qu'en Ligue des champions.

«Je ne vais pas me prendre pour quelqu’un d’autre»

Après deux mois, il a maintenant montré que ses premières prestations n'étaient pas liées à la chance du débutant. Encore moins au hasard. Du haut de ses 22 ans, Mandanda avait en effet déjà à son actif 67 matches de Ligue 2 et plusieurs sélections en Espoirs. Et surtout, le travail ne lui fait pas peur. Gerets a imposé deux séances par jour, et quand certains tirent un peu la langue, lui s'accroche. «C'est un peu pénible parfois, mais j’étais habitué à faire deux entraînements au Havre, explique-t-il. Le matin on travaille avec Lolo (Laurent Spinosi, l'entraîneur des gardiens NDLR), on fait du travail spécifique, et l’après-midi on intègre le groupe pour des petits jeux et des oppositions». Pas le temps de s'ennuyer ou de penser à la pression qu'il a sur les épaules. Une pression qu'il gère calmement, sereinement, comme si rien ne pouvait l'atteindre. Il est dans sa bulle. Il profite de la chance qui lui est offerte de faire ses preuves. «J’ai 6 matches de L1, je ne vais pas me prendre pour quelqu’un d’autre. Aujourd’hui, j’ai la possibilité de jouer quelques matches, je les joue et voilà», dit-il sobrement. Même quand on lui dit que Bruno Martini, l'adjoint de Domenech, a certainement un œil sur lui, cela le fait sourire, et il n'y croit même pas !

Aussi fautif que ses partenaires

Avant de faire sa 7ème apparition en Ligue 1, dimanche, contre Lens, Steve Mandanda ne veut pas tirer la couverture à lui. Oui, il est fier d'être là. Mais il se sent autant fautif que les autres quand il regarde le classement de l'OM. «On prend énormément de buts. Moi, je suis le gardien, je suis donc le premier concerné.» Pas question de se désolidariser du groupe. Il est persuadé que c'est en équipe que les Marseillais vont s'en sortir. «Avec le groupe qu’on a, on n’a pas le droit d’être là. Je sais qu’on va y arriver. A nous de ne pas perdre confiance, de rester solidaires pour remonter au classement», ajoute-t-il. Cela passe par une victoire contre les Nordistes, eux aussi en mal de points. Et donc par une nouvelle bonne performance de sa part.

Sport24.com

Mandanda en pleine lumière

Le jeune gardien marseillais âgé de vingt-deux ans révèle depuis sa prise de pouvoir un talent et une mentalité étonnants.


Il se souvient du jour, presque de l’heure. C’était un vendredi, le soir d’un pénible jogging d’une section boxe d’Évreux. Steve Mandanda, l’autoproclamé feignant, fatigué de courir, s’arrête devant un terrain de football, scrute les gardiens à l’entraînement. Il a neuf ans, accroche à la scène. Coup de foudre ? Pas exactement. La passion naît plutôt d’une incompréhension, voire d’une analyse gravement erronée. « Je croyais qu’il n’y avait pas à se crever à ce poste mais je me suis bien trompé », rigole-t-il, tant son rôle demande de sacrifices, d’incessantes répétitions de gammes.
« Il était un peu pataud, explique Philippe Leclerc, son premier entraîneur. Mais il avait des qualités énormes, une prise de balle sûre. » Pendant six ans, Leclerc et Mandanda nouent une belle relation au sein de l’ALM Évreux. La suite logique le propulse vers un club étendard de la région. « Ça peut faire tourner la tête, à treize ans, d’avoir des coups de fil à la maison de certains clubs mais mes parents m’ont inculqué des valeurs, glisse Mandanda, dont les trois petits frères exercent au même poste. Je n’oublie pas d’où je viens. » D’Afrique. Il ne s’étend pas sur sa famille, venue de la République démocratique du Congo quand il avait environ deux ans, contrainte de s’exiler pour des raisons économiques.
Un jour, sûr, il retournera dans son berceau chercher cette partie cachée de son identité, retrouver un peu de lui-même. Ce n’est pas encore le moment.

Mandanne : « C’était un grand bêta »

Sa reconnaissance passe d’abord par le terrain, par le centre de formation du Havre, à quinze ans, qu’il préfère à celui de Caen, première destination envisagée. Puis par Marseille, maison de toutes les démesures, où il arrive cet été, à vingt-deux ans. Cette ascension programmée s’accompagne du bleu des Espoirs puis de la prise de pouvoir à l’OM après la grave blessure de Cédric Carrasso (rupture du tendon d’Achille), en août. Ses états de service déclinent un enchaînement rare : débuts à Caen (2-1), premier rendez-vous en Ligue 1 après deux saisons à l’étage inférieur, puis Paris (1-1), Besiktas (2-0), Liverpool (1-0), en Ligue des champions, notamment.
La série ne surprend aucun de ses professeurs, tous admiratifs. À l’image des membres de la direction technique nationale qui n’hésitèrent pas à convoquer Mandanda en Espoirs en novembre 2004 aux Pays-Bas, alors qu’il n’était que troisième gardien au Havre ! En fouillant dans son entourage, les compliments reviennent comme des évidences : « un chic type qui, en plus, vous gagne des points » (Thierry Uvenard, son entraîneur au Havre), « un mec extra » (Nicolas Dehon, son entraîneur des gardiens au HAC).
« En “moins de 19”, j’avais fait un stage de trois jours à Clairefontaine avec Bruno Martini et ça s’était bien passé, se souvient Mandanda. Ce fut quand même une énorme surprise d’être appelé aux Pays-Bas mais ce n’était pas une finalité, simplement le moyen de montrer quelque chose. » Sa philosophie de carrière se résume dans cette approche. Voir plus haut. Voir plus loin. Dehon : « Il se fixe des objectifs et n’y coupe pas. »
On dit que Martini a un faible pour lui, que Mandanda pourrait un jour intégrer l’équipe de Raymond Domenech. Après le Championnat d’Europe ? « Il a une maturité associée à une forme de sagesse. En 2006, à l’Euro Espoirs, on lui donne la place contre le Portugal d’entrée, à Braga. Son attitude m’a impressionné, note Franck Raviot, le boss des gardiens en Espoirs. On avait remarqué son potentiel athlétique, technique, son jeu au pied et ses anticipations mais, en plus, il est actif dans le jeu, pas passif. » Mandanda, célibataire, entretient avec tous ses anciens gourous des relations quasi filiales. Il les appelle, envoie des SMS, analyse ses performances, demande des conseils. Espère même un coup de fil de Bernard Lama, son idole, « dont le style [l]’impressionnait ». Mandanda sait-il seulement que Lama, indirectement, a joué un (petit) rôle dans sa venue à Marseille ? Pape Diouf, le président, l’a consulté, comme Paul Le Guen avait déjà sondé son ancien partenaire au PSG au sujet de ce phénomène en arrivant à la tête des Rangers.
Rien ne semble perturber Mandanda, mental inoxydable, accroché à ses ambitions. Pas même la pression ressentie au Vélodrome dans cette période délicate, pas même un passage à Anfield en pleine crise. Il admet bien un flash, un épisode épaule contre épaule dans l’étroit tunnel avec Steven Gerrard ou cette musique de la Ligue des champions « dont on [lui] avait tant parlé. Mais, après, il faut se mettre dans le match ». Christophe Mandanne, le Dijonnais, son ami de chambrée des années normandes, raconte : « À la première approche, il faisait peur ! Il avait déjà cette taille-là à quinze ans (il mesure 1,85 m). C’était un grand bêta, grave ! Quand vous êtes avec lui, c’est un grand déconneur, capable de faire n’importe quoi, de se rouler par terre… C’est un gamin ! C’était la musique à fond mais il faut savoir aussi que c’est un gros feignant. » Tiens ! On y revient.
« J’ai pas mal de dossiers compromettants mais je ne peux pas en dire plus », lâche l’accusé. « Zig », son surnom au Havre, contraction de zigoto, impressionne son copain de Dijon. Il est déjà loin, le temps de leurs soirées à mater la téléréalité, la passion de Mandanda au centre de formation, ou à écouter les L 5, groupe féminin né de Popstars, émission de M 6. Mandanda est aujourd’hui entré dans l’écran et espère en devenir bientôt une star.
Pour ses débuts, il recueille déjà les voix de nombreux spécialistes.


Source : L'Equipe Papier

La Panthère encore auteur d'une enormissime match.

Bravo minot.

Rock1 a écrit:

La Panthère encore auteur d'une enormissime match.

Bravo minot.

E N O R M E

Player Of The Match

Enorme match de sa part dommage qu'il soit juste en retard sur l'intervention... Enfin sans lui c'est pas 1-1 mais 1-4.

Va falloir l'acheter,mème si on est prioritaire

Steve, futur numéro 1de l'EDF

Merci pour l'option d'achat laissé par Le Havre.

Et Carrasso?

Auxerrois a écrit:

Et Carrasso?

La concurrence y a rien de tel, pour forcer les joueurs à se donner à 1000%.

sa va etre dur pour Carrasso

mais en tout cas on a 2 super jeune gardien

3.

il y 'a aussi celui des -18 ils en disent le plus grand bien avec J. Ayew.

Si je peux me permettre si Mandanda n'est pas en EDF d'ici peu c'est vraiment qu'il à des problemes d'oeils le Domenech...

Drogbasyl a écrit:

Si je peux me permettre si Mandanda n'est pas en EDF d'ici peu c'est vraiment qu'il à des problemes d'oeils le Domenech...

Le staff de l'EDF le suit de près

S'il continue sur c'te lancée, il sera récompensé

oui mais il sera 3eme gardien derriere Coupet et Landreau

Coupet il va arrêter non après l'Euro ? Il va pas nous les brisés en continuant non plus.

Sinon faut être réaliste après sa sera Landreau le titulaire pas Mandanda.



Steve Mandanda : "Un bon point de pris"



"J’ai donné le maximum dans les buts et cela s’est bien passé. Je touche les deux ballons sur les poteaux de Porto. On a été mis en difficulté par une bonne équipe de Porto qui a joué très haut. On est déçus, moi le premier, car avec neuf points, on aurait été dans une position idéale dans l’optique de la qualification. En plus, on aurait pu éviter le penalty mais il y a faute sur l’action… Porto a joué en bloc avec des joueurs de qualité, ils nous ont plus mis en difficulté que Liverpool. C’est tout de même un bon point de pris mais les trois points étaient à notre portée. On apprend beaucoup dans ces rencontres de Champions League, ce sont des matches de haut niveau."

om.net

apres ya encore Frey qui est impressionant en italie

la france est un reservoir de grand gardien

Mandanda fera un très bon numéro 2

Après,faut pas oublier Frey, Lloris,Pelé....

Foot - C1 - Mandanda : «On s'en veut tous»

Steve Mandanda n'a pu s'empêcher de regretter l'égalisation sur penalty du FC Porto (1-1), mercredi soir au Vélodrome. Le gardien de but de l'Olympique de Marseille évoque un but évitable qui s'est joué sur un détail. «On s'en veut tous ensemble car c'est un but qu'on aurait pu éviter, moi le premier, a-t-il dit. On est déçus parce qu'on marque ce but, on aurait dû tenir et gagner ce match 1-0 même si c'est vrai que c'est un bon point, un bon résultat. Ce sont des matches de haut niveau et on savait qu'ils se jouent sur des détails. Ca s'est joué à un erreur individuelle, une erreur de concentration, une erreur tactique.»

Si l'OM a fait un nouveau pas vers la qualification pour les huitièmes, l'ancien portier du Havre reste très mesuré. «Maintenant, il nous reste trois matches, très, très importants et très difficiles. Il va falloir bien les négocier pour se qualifier. Il va falloir aller la chercher cette victoire (qui permettrait à l'OM de se qualifier). On va à Besiktas, un match très difficile, on va à Porto dans quinze jours, ça va être encore très, très difficile parce que ce soir, ils nous ont vraiment mis en difficulté et ils ont montré que c'était une très, très grosse équipe et on reçoit Liverpool qui a besoin de points et qui va jouer son va-tout.»

Lequipe

Il est fou de s'en vouloir, sans ses 3 parades de haut vol on prenait une fessée.