Groupe B (France)

ITA : Ambrosini forfait pour les Bleus

Massimo Ambrosini, le milieu de terrain international italien du Milan AC, a déclaré forfait pour le match de samedi, contre la Lituanie (1-1). Touché aux adducteurs, le joueur a passé des examens samedi qui ont confirmé son absence pour le match contre l'équipe de France, mercredi. Roberto Donadoni, le sélectionneur, a appelé Gennaro Delvecchio et Angelo Palombo, deux milieux de terrain de la Sampdoria, pour le remplacer.

Source : lequipe.fr

Foot - Bleus : Faubert convoqué

Raymond Domenech a convoqué le Bordelais Julien Faubert en vue de France - Italie, qualificatif pour l'Euro 2008, dimanche. Il est attendu dans la journée à Clairefontaine, où il renforcera le groupe après le forfait, vendredi, de David Trezeguet. Suspendu pour Géorgie - France après son expulsion au Championnat d'Europe Espoirs, Faubert n'avait été sanctionné que pour un match par l'UEFA et sera opérationnel pour mercredi.

Faubert compte une sélection, reçue le 16 août contre la Bosnie-Herzégovine. A 22 ans, il avait inscrit le but de la victoire en fin de rencontre (2-1). En choisissant un joueur de couloir droit, Raymond Domenech semble se donner la latitude de faire remonter Sylvain Wiltord ou Sidney Govou d'un cran pour épauler Thierry Henry en pointe. Louis Saha, titulaire samedi à Tbilissi mais victime d'une entorse de la cheville, est incertain pour France - Italie. Claude Makelele a lui aussi reçu un coup, mais les deux joueurs restent à Clairefontaine pour le moment.

Source : lequipe.fr

belle victoire de la france et ces cool pour nous

Beye13 a écrit:

Foot - Bleus : Faubert convoqué

Raymond Domenech a convoqué le Bordelais Julien Faubert en vue de France - Italie, qualificatif pour l'Euro 2008, dimanche. Il est attendu dans la journée à Clairefontaine, où il renforcera le groupe après le forfait, vendredi, de David Trezeguet. Suspendu pour Géorgie - France après son expulsion au Championnat d'Europe Espoirs, Faubert n'avait été sanctionné que pour un match par l'UEFA et sera opérationnel pour mercredi.

Faubert compte une sélection, reçue le 16 août contre la Bosnie-Herzégovine. A 22 ans, il avait inscrit le but de la victoire en fin de rencontre (2-1). En choisissant un joueur de couloir droit, Raymond Domenech semble se donner la latitude de faire remonter Sylvain Wiltord ou Sidney Govou d'un cran pour épauler Thierry Henry en pointe. Louis Saha, titulaire samedi à Tbilissi mais victime d'une entorse de la cheville, est incertain pour France - Italie. Claude Makelele a lui aussi reçu un coup, mais les deux joueurs restent à Clairefontaine pour le moment.

Source : lequipe.fr

Il est désormais international a part entiere

peut etre car cissé va prendre sa place peut etre

foot365 a écrit:

PANORAMIC
ÉQUIPE DE FRANCE / THIERRY HENRY :
« Je monte en puissance »
dimanche 03 septembre 2006 - 18 h 43 - Rédaction Football365

Pas encore prêt physiquement, Thierry Henry ne s’inquiète pas de n’avoir pas encore marqué cette saison. L’attaquant des Bleus préfère se concentrer sur le collectif au sein d’un système qui lui convient.


Thierry Henry, quel bilan tirez-vous de la victoire à Tbilissi ?
Ça fait du bien. Ça fait longtemps qu'on n'avait pas pu gérer un match comme nous l'avons fait en deuxième période. Ça permet d'économiser de l'énergie avant le match contre l'Italie, mercredi au stade de France.

Vous n'avez pas encore marqué depuis le début de la saison, ni avec Arsenal ni avec les Bleus. Est-ce que cela vous inquiète ?
Je l'ai déjà dit je le répète : c'est le cadet de mes soucis si l'équipe gagne. Je ne suis pas encore prêt physiquement. Contre Manchester City (défaite 1-0 le 26 août en championnat d'Angleterre), j'aurais pu mettre quatre buts et j'ai vendangé. Mais samedi, je me suis senti en jambes. Je monte en puissance.

L'équipe de France joue désormais en 4-4-2, avec deux meneurs excentrés (Malouda et Ribéry) et sans Zidane. Vous avez joué en soutien de Louis Saha et plus seul en pointe comme au Mondial. Cela vous convient-il ?
Il y a une formation sur le terrain mais c'est aux joueurs de l'animer pour semer la zizanie. Il ne faut pas que cela soit stéréotypé. D'ailleurs, nous avons déstabilisé les Géorgiens. Flo (Florent Malouda) aime bouger. Il aime bien rentrer et moi, j'aime bien aller à gauche... Et difficile de dire à Franck (Ribéry) de rester quelque part parce qu'il a la bougeotte ! Mais c'est très bien. Moi, j'ai beaucoup joué en décrochage derrière 'P'tit Louis' (Saha). Mais ce nouveau rôle me plaît beaucoup. Dans un 4-4-2 ou seul en pointe, je suis content. Je joue, c'est déjà pas mal.

Propos recueillis par l’AFP

FOOT365


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lequipe a écrit:

« Makelele est malheureux »

Le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes a déclaré, samedi à Tbilissi après la victoire de la France en Géorgie (3-0), ne pas avoir l'intention d'intervenir dans l'affaire Makelele qui a secoué les Bleus cette semaine. «Je n'entre pas dans ce genre de polémique. J'ai toujours dit à Raymond : "tu choisis la meilleure équipe dans le cadre des règlements". Il a choisi la meilleure équipe dans le cadre des règlements. Le temps va passer, des discussion vont arriver, et on va trouver une solution sans communiqué de presse.»

Le patron de la Fédération se dit cependant «choqué» par la situation du milieu défensif tricolore. «Claude est un garçon extrêmement discret et charmant. Dans toute sa carrière, il n'a jamais eu le moindre problème (NDLR : sauf en 2003, quand il avait fait le forcing pour quitter le Real Madrid et rejoindre Chelsea). Il est malheureux de faire l'objet d'une polémique. Il y a des joueurs qui font toute leur carrière dans la polémique. Lui, c'est le contraire. Laissons le régler cette affaire. Il n'a pas la meilleure position, entre le marteau et l'enclume.»

Jeudi, Claude Makelele avait fait une courte déclaration aux médias dans laquelle il avait expliqué avoir entrepris la démarche d'une lettre officielle pour arrêter sa carrière internationale, un souhait sur lequel il n'est jamais revenu. «J'ai dit après la Coupe du monde que je prenais ma retraite internationale, à la télévision, et avec un petit mot envoyé à la Fédération. J'en ai parlé à l'entraîneur, aux Français (sic) et aussi avec mon club, Chelsea. Le coach a voulu me faire revenir, alors que je lui avais dit que je ne souhaitais pas revenir. Je voulais vraiment arrêter. Le fait qu'il m'ait mis dans la liste a chamboulé les choses. Par rapport à Chelsea, vu la loi, il me fallait être présent. Chelsea m'a donné l'autorisation de répondre à la convocation pour ne pas qu'il y ait de sanction.» Makelele est sorti à la 58e minute en Géorgie, samedi. Touché à la cheville droite, il est incertain pour France - Italie.

Sport24.com a écrit:

«Un sujet tabou»

Même s’il n’a pas marqué, Thierry Henry était satisfait de la performance des Bleus en Géorgie pour le début de ces éliminatoires à l’Euro 2008. Place désormais à l’Italie, pour une rencontre «spéciale, mais pas une revanche» selon lui. Interview

Sport24.com : Thierry, la campagne des éliminatoires à l’Euro ne pouvait pas mieux commencer qu’avec ce net succès en Géorgie (0-3)…
Thierry Henry : Cela fait du bien, c’est sûr, car cela faisait longtemps que l’on n’avait pas pu gérer un match sereinement. Cela nous a permis d’économiser un peu d’énergie pour le match contre l’Italie. Maintenant, cette rencontre contre la Géorgie, c’est nous qui avons su nous la rendre facile en marquant sur nos deux premières occasions. On ne pouvait pas mieux commencer car de temps en temps, tu peux dominer ton adversaire mais si tu ne concrétises pas, surtout à l’extérieur, les choses peuvent vite se compliquer.

Sport24.com : On a la sensation qu’il y a quelques mois, l’équipe de France aurait plus peinée face à cette équipe géorgienne ?
Thierry Henry :Oui, c’est sûr, on aurait davantage galéré car on n’avait pas de repères, on n’avait pas de match référence, on n’avait pas de passé… Autant de choses qui ont changé depuis la Coupe du Monde. On sait désormais que le groupe est important, qu’il faut que l’on soit solidaire et que si c’est le cas, on peut faire de grandes choses.


Sport24.com : Comment s’est passé votre entente avec Louis Saha devant ?
Thierry Henry : Comme d’habitude. C’était ce que l’on avait prévu avec lui plus devant et moi en décrochage. Mais avec «Petit Louis», cela fait déjà un petit moment que l’on s’entend bien sur le terrain. Ce qui a ralenti un moment sa progression en équipe de France, ce sont uniquement les blessures car il est connu et reconnu en Angleterre depuis déjà un certain temps. D’ailleurs, on ne pousse pas Van Nistelrooy sur le banc à Manchester comme cela.

Sport24.com : Existe-t-il tout de même une petite déception personnelle de ne pas avoir marqué un but ?
Thierry Henry : Non pas du tout. Je le répète encore mais l’important pour moi est que l’équipe gagne, surtout avec la sélection. Avec Arsenal, c’est peut-être un tout petit peu différent et encore. Maintenant, sur un plan personnel, je suis satisfait de cette rencontre. J’étais bien en jambes, dans un autre registre que celui de la Coupe du Monde. Mais il me reste encore du travail à accomplir pour être totalement prêt, comme l’a démontré le match contre Manchester City avec Arsenal, où je dois inscrire quatre buts et où je n’en mets aucun par manque de réalisme. Cette petite semaine à Clairefontaine va néanmoins me faire du bien et je sens que je suis sur la pente ascendante. Mais je le répète, contre la Géorgie, le plus important réside dans la victoire.

Sport24.com : On vous a vu beaucoup plus décroché que d’habitude. Etait-ce un choix de votre part ?
Thierry Henry : Oui, c’est un registre que j’occupe de temps à autre en club. Personnellement, cela ne me dérange pas. J’ai peut-être un peu plus de capacités que d’autres attaquants pour le faire et je sais aussi que «Petit Louis» est très costaud lorsqu’il reste dans le dos du dernier défenseur, donc il faut accepter ce que l’on me demande et les qualités de chacun. Surtout que cela permet de créer une sorte de zizanie avec aussi Flo (Malouda) et Franck (Ribéry) qui aiment bien bouger. Au départ c’est vrai qu’il y a un schéma mis en place mais après c’est à nous de savoir l’animer, de faire en sorte qu’il ne soit pas stéréotypé. Par moment par exemple, contre la Géorgie, je restais sur la gauche et Flo pouvait repiquer dans l’axe. Pareil pour Franck, qui est de nous trois celui qui a le plus la bougeotte (sourire). Mais cela ne me dérange absolument pas et si je dois rejouer comme cela contre l’Italie et que c’est le gars à côté de moi qui inscrit un triplé, croyez-moi, je serai super heureux.

Sport24.com : L’Italie justement, avez-vous été surpris d’apprendre son résultat nul contre la Lituanie (1-1) ?
Thierry Henry : Non, je n’ai été ni surpris, ni choqué de quoique ce soit. Depuis un petit moment, on sait qu’il n’y a plus de petites nations et la Lituanie l’a prouvé. Mais cela ne concerne pas uniquement la Lituanie. Hier soir (NDLR : samedi soir), pas mal de petites équipes ont failli en accrocher de plus grandes.

Sport24.com : Envisagez-vous cette rencontre contre l’Italie comme une revanche de la Coupe du Monde ?
Thierry Henry : A chacun sa façon de voir les choses. Pour moi, ce n’est pas une revanche. En boxe, il y a des revanches car tu remets la ceinture en jeu mais là, si on bat les Italiens, on n’aura pas la Coupe au bout. Donc l’important pour nous est de prendre les trois points, ce qui nous permettrait de les mettre à cinq longueurs. Ce serait un avantage à ne pas négliger face à un concurrent direct, même s’il ne faut pas sous-estimer l’Ukraine ou l’Ecosse, qui aura son mot à dire, voire la Lituanie si elle confirme son nul à Naples. Donc voilà, la rencontre de mercredi sera spéciale, comme toutes celles face à l’Italie, mais je ne la considère pas comme une revanche.

Sport24.com : Que vous reste-t-il en mémoire aujourd’hui de cette finale contre l’Italie ?
Thierry Henry : Beaucoup de choses évidemment. Déjà, je n’aime pas perdre et cette défaite aux tirs au but… Je me souviens aussi que nous sommes restés pour applaudir les Italiens soulever le trophée et le public allemand les avait sifflés. J’avais trouvé cela peu fair-play et très dommage pour le football, quelque soit les raisons de ces sifflets.

Sport24.com : Cette défaite est-elle digérée dans votre tête ?
Thierry Henry : Personnellement oui. J’ai eu beaucoup plus de mal à digérer la défaite en finale de la Ligue des Champions par exemple, car pour moi on avait été victime d’une injustice avec le but d’Eto’o qui était hors-jeu. Contre l’Italie, c’est plus la physionomie du match qui me laisse un sentiment d’injustice mais c’est plus, comment dire, acceptable. Et puis il ne faut pas oublier qu’en finale de l’Euro 2000, les Italiens ne méritaient pas, eux aussi, de perdre. Alors…

Sport24.com : Et au sein du groupe, qu’en est-il ?
Thierry Henry : Je ne sais pas. Le fait d’avoir perdu des finales avant et d’en avoir gagné aide pas mal à accepter. Maintenant, pour ceux pour qui c’était la première finale, il n’y a que du contre et cela doit être plus difficile à digérer. Mais c’est vrai que l’on en parle pas trop entre nous, c’est presque un sujet tabou.

Sport24.com : Contre la Géorgie, on a cependant vu une équipe de France à nouveau en difficulté sur coups de pied arrêtés. Est-ce quelque chose qui vous fait peur avant de jouer les Italiens ?
Thierry Henry : C’est vrai que l’on a beaucoup péché sur les coups de pied arrêtés défensifs. On travaille pour y remédier, surtout que l’on sait que c’est l’un des points forts de cette équipe italienne. A nous d’être vigilants dans ce domaine.

Sport24.com : Dernière question : vous avez eu le temps de vous entretenir avec William Gallas d’Arsenal ?
Thierry Henry : Je ne le connais pas moi William (grand sourire). Non, évidemment que je suis très satisfait et que l’on en a parlé un peu. C’est toujours sympa de voir arriver un ami, que je connais depuis que j’ai 11 ans. On est né le même jour, j’ai tout pris, il n’a rien eu (rires). C’est quelqu’un que j’apprécie beaucoup et, au-delà de nos affinités hors du terrain, c’est quelqu’un que je considère comme étant l’un des tout meilleurs défenseurs centraux au monde. Alors je vous laisse imaginer ma satisfaction de le voir me rejoindre à Arsenal…

Sport24.com

foot365 a écrit:

ÉQUIPE DE FRANCE / FRANCK RIBÉRY :

Ribéry comme chez lui
dimanche 03 septembre 2006 - 12 h 52 - Olivier DE LOS BUEIS
Auteur de deux passes décisives face aux Géorgiens, Franck Ribéry a démontré qu’il pouvait être décisif même sans Zidane. Le Marseillais continue de progresser à grands pas. Tant mieux pour les Bleus.



Franck Ribéry a fêté samedi soir sa onzième sélection. Et dire qu'il y a quatre mois, on se demandait encore s’il aurait les épaules pour intégrer « l’équipe de France A », comme il l’appelle avec son parler à lui. Puis, après son incorporation dans le groupe France, on a vu qu’il avait le talent pour faire partie des 23, dans le rôle du joker explosif, capable de dérouter Danois et Chinois pendant que ses potes des Espoirs bataillaient sans lui au Portugal. Mais de là à le voir titulaire, beaucoup de monde doutait de lui, nous les premiers. C’est que le haut niveau, c’est autre chose. Les Géorgiens y ont goûté samedi après avoir rêvé d’aller plus haut en coulant les Iles Féroé (6-0).

Lors du Mondial, après un pathétique France-Suisse où le jeune homme avait couru comme un enfant derrière le ballon au point d’avoir un point de côté au bout d’un quart d’heure, il a su faire taire les détracteurs. Malgré des ratés inquiétants devant le but face au Togo, le gamin de Boulogne-sur-Mer a réussi le but détonateur face à l’Espagne, celui qui a mis les Bleus sur le chemin de son épopée allemande. Garçon au parcours improbable, non payé à Alès, repéré par Jean Fernandez en National à Brest, quasi oublié à Galatasaray, Franck Ribéry est devenu une idole marseillaise. Même après avoir dit vouloir rejoindre Lyon, les très durs supporters marseillais lui ont donné l’absolution.

Tactiquement, il progresse

C’est que Ribéry ne doute de rien. Alors à Metz, il nous disait déjà ne pas « penser sur le terrain ». Deux ans plus tard, à Marseille, il nous confiait « ne pas être gêné par la pression ». Avec les Bleus en Allemagne, on oubliait quelques gaffes en conférences de presse (il a notamment confondu l’entraîneur du Portugal Scolari avec l’Argentin de l’Interl). On pardonne tout à Ribéry. Car le Marseillais est attachant bien sûr. Mais surtout diablement bon. Sur une pelouse haute et sèche qui ne favorisait pas les techniciens tels que lui, il a paru le moins gêné en Géorgie.

Auteur de deux passes décisives sur deux accélérations dont il a le secret, l’ancien joueur de Brest a montré qu’il n’avait aucune crainte de succéder à son pote Zinédine Zidane. Adopté par les anciens, son caractère lui a permis de se fondre dans le collectif d’abord, avant de devenir l’un des chouchous du groupe. Techniquement, il est au-dessus du lot. Tactiquement, il progresse à grands pas, n’oubliant plus de se replacer quand Willy Sagnol monte. Et surtout, à Marseille comme en Bleus, il terriblement progressé. Dans la dernière passe comme devant le but, Ribéry est en train de s’affirmer. Comme son pendant à gauche, Florent Malouda, suit la même trajectoire, la France semble être armée pour se passer, enfin, du maître des dix dernières années, Zinédine Zidane….

Foot365

sport24 a écrit:

04/09 09h12 - Football, Euro 2008
Buffon : «Pas un match décisif»

A deux jours de France-Italie, Gianluigui Buffon relativise l’importance du remake de la finale de la Coupe du Monde.

Accrochés à domicile par la Lituanie samedi soir (1-1) pour leur première sortie dans la campagne qualificative pour l’Euro 2008, les Italiens seront déjà dos au mur au Stade de France mercredi. Pourtant, Gianluigui Buffon reste serein. «A long terme, le résultat du premier match qualificatif a peu de conséquences. Même le match contre la France mercredi ne sera pas décisif. Les matches d'octobre (contre l'Ukraine et la Géorgie) seront plus importants», assure ainsi le portier de la Squadra Azzurra sur le site de l’UEFA.

Sport24

Nan mais y rêve y vont pas nous gagner A lala ce cannavaro, qu'est qu'il est beau..mais qu'est ce que je l'aime pas
Allez la France, j'ai hate d'être à Mercredi

titidamour13OM a écrit:

Nan mais y rêve y vont pas nous gagner A lala ce cannavaro, qu'est qu'il est beau..mais qu'est ce que je l'aime pas
Allez la France, j'ai hate d'être à Mercredi

Et pourquoi donc?

Ils auront 90 minutes, pour mettre un but de plus que l'EDF. C'est largement faisable. Je peux te dire, que si les Italiens ouvrent vite le score tu pourras voir la Grande muraille de Chine en direct sur TF1.

Rock1 a écrit:

titidamour13OM a écrit:

Nan mais y rêve y vont pas nous gagner A lala ce cannavaro, qu'est qu'il est beau..mais qu'est ce que je l'aime pas
Allez la France, j'ai hate d'être à Mercredi

Et pourquoi donc?

Ils auront 90 minutes, pour mettre un but de plus que l'EDF. C'est largement faisable. Je peux te dire, que si les Italiens ouvrent vite le score tu pourras voir la Grande muraille de Chine en direct sur TF1.

Tout simplement parceque je crois pas à la victoire de l'Italie pour ce match Allez la FRANCE :France:2: Je suis sure que la France va gagner!

Et pourtant tu devrais. Il ne faut jamais sous estimer, une bete bléssée. C'est encore plus dangeureux, qu'une bete en pleine forme.

La les Italiens sont deja au pied du mur, et même si ils sont a cours de forme le peu de temps ou ils auront du jus ils joueront a fond. et au vu des renard qu'il y a Inzaghi en tete, Coupet en fais encore des cauchemards, se prendre un but et largement possible. Et mettre 2, ou 3, ou plus et aussi faisable, mais ne sous estimez pas les Italiens.

Mais je ne vous sous éstime pas
Et puis je n'aime pas les italiens, je ne dirais pas pourquoi et j'arreterais là sur ce sujet
:France:2:

titidamour13OM a écrit:

Mais je ne vous sous éstime pas .

Je suis pas supporter Italien.

Je dis juste, que l'exces d'optimisme est souvent mauvais.

Oops j'ai cru que t'étais pou l'italie dsl Mais l'exes d'optimiste c'est mauvais pour les joueurs, pour moi on s'en fou c'est pas moi qui fait le match

sport24 a écrit:

«Une rencontre différente»


Pour son premier match avec les Bleus depuis la Coupe du Monde, Lilian Thuram a vécu une reprise plutôt tranquille face à la Géorgie. Soit une préparation idéale avant des retrouvailles qui s’annoncent plus tendues avec les Italiens. Interview

Par Cédric Callier

A Clairefontaine

Sport24.com : Lilian, la France a facilement remporté (0-3) son premier match des éliminatoires à l’Euro 2008. Cela correspond à ce que vous attendiez de l’équipe de France ?
Lilian Thuram : Je crois qu’on a surtout eu le mérite de très bien commencer, ce qui n’était pas évident dans un tel contexte. C’était un premier match après une grande compétition et souvent dans ces cas-là l’équipe peut se chercher encore un peu. Mais là, nous sommes tout de suite entrés dans la rencontre, nous étions bien concentrés sur le sujet face à une équipe de la Géorgie dangereuse, surtout chez elle avec le soutien de 60 000 spectateurs. On a eu la chance de marquer assez rapidement, ce qui nous a facilités la suite.

Sport24.com : Cela faisait longtemps en tout cas que l’on n’avait pas vu une équipe de France aussi sereine, sûre de sa force…
Lilian Thuram : La Coupe du Monde a été très bénéfique évidemment dans ce domaine. Pour la confiance, pour le bloc-équipe car c’est vrai que dès ce premier match en Géorgie, on a vu une équipe de France conserver la ligne directrice qui l’a menée jusqu’en finale de la Coupe du Monde. C’est quelque chose de très positif et j’espère que ce ne sera qu’un début…

Sport24.com : Vous attendiez-vous à un match plus difficile ?
Lilian Thuram : On s’attend toujours à des matches compliqués. Il est évident que lorsqu’on dispute une rencontre qualificative à un Championnat d’Europe à l’extérieur, on s’attend à tout. Maintenant, si le match d’hier n’a pas été plus compliqué que cela, c’est en grande partie grâce à l’équipe de France. On a vraiment réussi une belle première période, en les faisant courir après le ballon, et puis dès le début de la seconde, ils marquent contre leur camp… Ensuite, inconsciemment, on s’est mis à penser au prochain match et à gérer, ce qui explique notre dernière demi-heure peut-être un peu moins consistante.

Sport24.com : Justement, le prochain match sera contre l’Italie. Avez-vous été surpris en apprenant le résultat nul (1-1) des Italiens face à la Lituanie à Naples ?
Lilian Thuram : Oui, j’ai été très surpris, c’est évident. On ne s’attendait pas à ce que l’Italie soit tenue en échec chez elle par la Lituanie. Surtout qu’elle fêtait lors de cette rencontre sa victoire en Coupe du Monde et on pensait que les Transalpins s’imposeraient à cette occasion.

Sport24.com : Selon vous, ce résultat est plutôt une bonne ou une mauvaise nouvelle pour la France ?
Lilian Thuram : C’est une bonne nouvelle sur l’ensemble de la compétition car c’est toujours bien pour nous de voir un concurrent direct faire un faux pas. Après, pour le match de mercredi, je crois que cela ne changera rien fondamentalement. L’Italie fera tout pour gagner et la France aussi, et le match nul contre la Lituanie ne changera rien à leur motivation.

Sport24.com : On se rappelle qu’après votre titre de champion du monde, la France aussi avait eu du mal à reprendre les éliminatoires pour l’Euro 2000. Est-ce qu’il peut arriver la même chose aux Italiens ?
Lilian Thuram : C’est vrai que l’on avait souffert en Islande. C’est toujours difficile de revenir sur terre après un tel sacre. Parfois, on a l’impression que les choses vont être plus faciles… Et puis ce n’est pas le cas. Inconsciemment, on peut se déconcentrer et perdre un peu de sa motivation. Mais je connais bien les Italiens et si cela leur est arrivé contre la Lituanie, je doute fort qu’ils reproduisent la même erreur contre nous. Ils veulent prouver face à la France qu’ils possèdent l’équipe la plus forte du monde, ce que leur victoire aux tirs au but en finale n’a pas totalement démontré. Cette fois, ils vont vouloir en faire la démonstration sur le terrain, j’en suis sûr.

Sport24.com : Contre la Géorgie, on a vu une équipe de France déjà très affutée physiquement…
Lilian Thuram : Oui, c’est vrai, mais en même temps le fait que l’on ait marqué si vite nous a permis de gérer plus facilement. Donc je ne sais pas si on peut affirmer que l’on soit déjà au point physiquement. En tout cas, je ne sais pas si dans ce domaine, on sera mieux que les Italiens, qui n’ont pas encore repris leur championnat. Je l’espère bien sûr, mais je ne l’affirmerais pas.

Sport24.com : Ces Italiens, êtes-vous contents de les retrouver un peu moins de deux mois après la finale de Coupe du Monde ?
Lilian Thuram : Contents de les retrouver, oui et non, disons que l’on verra après le match (sourire). Maintenant, cette finale, pour nous, elle est très loin. Aujourd’hui, la seule chose qui compte, ce sont les trois points dans ce groupe de qualification pour l’Euro 2008.

Sport24.com : Avez-vous effacé cette défaite aux tirs au but ?
Lilian Thuram : Effacé ? Non, je ne crois pas que l’on puisse effacer une telle défaite. Mais bon, cette finale est perdue, elle fait partie du passé et là, c’est un match des éliminatoires à l’Euro 2008 qui nous attend. Peut-être que pour les spectateurs ce match sonne comme une revanche, mais si l’équipe de France gagne mercredi, ce n’est pas pour autant qu’elle aura la Coupe du Monde. Donc c’est vraiment quelque chose de tout à fait différent.

Sport24.com : Et avec le recul, quand vous repensez à cette finale, quel sentiment prédomine ?
Lilian Thuram : Le sentiment qui domine… (pensif) C’est que cette finale, on aurait dû la gagner.

Sport24.com : William Gallas en parle comme «d’une erreur de l’histoire». Etes-vous d’accord avec lui ?
Lilian Thuram : Non, je ne crois pas que ce soit une erreur de l’histoire. C’est vrai que sur le terrain l’équipe de France a été plus performante. Pendant la prolongation, nous avions la mainmise sur le match et malheureusement, nous ne sommes pas parvenus à marquer ce but qui nous aurait donné un avantage définitif je pense.

Sport24.com : Peut-on donc affirmer que le meilleur n’a pas gagné ce soir-là ?
Lilian Thuram : Pour faire rapide, oui, on pourrait le résumer comme cela. Mais à l’arrivée, on l’a perdue, cette finale…

Sport24.com : L’absence mercredi de Zidane et Materazzi, après l’épisode que l’on sait, rendra-t-elle les débats plus sereins, moins placés sous le signe de la revanche ?
Lilian Thuram : Pas du tout. Ce qui s’est passé sur le terrain à ce moment-là, et qui n’aurait pas dû se passer d’ailleurs, ne change rien pour la rencontre de mercredi. Cela fait partie de l’histoire ancienne et qu’ils aient été là ou pas mercredi, on serait passé à autre chose.

Sport24.com : Avez-vous reparlé de cette finale avec des joueurs italiens, comme Zambrotta que vous avez retrouvé à Barcelone ?
Lilian Thuram : Oui, je crois que les Italiens savent qu’ils auraient eu du mal à gagner sans la série de tirs au but. Mais comme ils me le rappellent aussi, on a gagné un championnat d’Europe (NDLR : en 2000) en égalisant à la dernière minute. Eux aussi à ce moment-là méritaient la victoire. Quelque part, sur cette Coupe du Monde, le scénario a été un peu le même, mais en notre défaveur cette fois. A l’époque, c’était eux qui étaient sur une dynamique positive et nous qui subissions. En finale, en Allemagne, c’était l’inverse, avec des Italiens qui misaient tout sur les penalties.

Sport24.com : Pour finir, on aimerait juste avoir votre opinion sur les déclarations de Mourinho au sujet de Makelele…
Lilian Thuram : Qu’est-ce qu’il a dit Mourinho ?

Sport24.com : Il a parlé d’esclavagisme au sujet de la manière utilisée par Raymond Domenech pour contraindre Makelele à rester en équipe de France ?
Lilian Thuram : Il a dû dire cela parce qu’il ne sait pas ce qu’est l’esclavagisme, tout simplement. S’il compare la situation de Makelele à de l’esclavagisme, c’est qu’il ne doit pas savoir tout ce que ce terme sous-entend. Donc la seule chose à faire, c’est de l’en excuser.

Sport24

Foot365 a écrit:

ÉQUIPE DE FRANCE / LE CONTEXTE :

Les trois points, c’est mieux
lundi 04 septembre 2006 - 13 h 04 - Olivier DE LOS BUEIS

Vendetta, revanche… Deux mois après la finale du Mondial, la plupart des Français veut battre les Italiens pour rayer Berlin de la mémoire collective. Mais l’important, ce sont les trois points.



Les Italiens rentrent sur le terrain sous les huées et les sifflets. Non, nous ne sommes pas au Stade de France mais à Gerland lors de la Danone Nations Cup. Les petits italiens sont « sauvés » par le speaker qui appelle au calme… Deux mois après la Coupe du Monde, qu’il est cruel de faire payer à ces petits bambins l’attitude de Marco Materazzi pendant la finale ! Mais cela souligne bien que la hache de guerre n’a pas été enterrée et qu’un sentiment de frustration important habite encore de nombreux Français à l’avant veille de ce France-Italie. Au vu des nombreux messages d’insultes reçus encore récemment sur le site de Zinédine Zidane et venant d’Italie, on peut aussi témoigner que les fans de la Squadra Azzurra ont envie de dominer les Bleus une fois pour toute et démontrer ainsi leur supériorité.

Pourtant, certains joueurs français ne veulent pas entendre parler de revanche. D’autres si, à l’image de William Gallas. « Chacun cherche sa motivation comme il veut, affirme Thierry Henry. Dans ce groupe, chacun respecte le choix de l’autre. Mais personnellement, ce n’est pas une revanche. Tu n’auras pas la Coupe du Monde à la fin du match. Ce sont trois points à prendre pour essayer de se mettre le mieux possible pour cette qualification. Il va y avoir beaucoup de choses racontées : c’est le remake de la finale de la Coupe du Monde mais c’est trois points à prendre. Les choses ont fait que c’est l’Italie mais il faudra donner le maximum comme en Géorgie et ne pas penser à autre chose. » Pour Lilian Thuram, « c’est simplement un match de qualification avec trois points à prendre. La revanche, c’est pour les spectateurs mais nous ne sommes pas les spectateurs. Si vous gagnez contre l’Italie, on ne va pas vous remettre la Coupe du Monde. »

Ceux qui ne veulent pas faire de ce France-Italie une revanche savent néanmoins que cette rencontre sera particulière. « Personne ne peut oublier ce qu’il s’est passé voici deux mois », explique Henry. « Un Stade de France qui va être blindé, ça va être une superbe affiche, ça va être génial », lance Louis Saha. Ce match sent la poudre. « J’espère que ça va bien se passer, dit Thuram. Je connais bien les Italiens et ils savent faire quand ils sont au pied du mur. » Il faut donc veiller à ce que cela n’aboutisse pas à un pétard mouillé. Le but ne sera en effet pas de battre l’Italie mais de prendre trois points, comme en Géorgie ou face aux Féroé. Pas de se venger du coup d’épaule de Cannavaro sur Henry, du tacle de Zambrotta sur Vieira ou des provocations de Materazzi. Au vu du niveau actuel des deux équipes, la France est supérieure dans le jeu. Sortir du match serait un cadeau que les Italiens tenteront sans doute de se faire offrir en « électrisant » le jeu. Aux Bleus de France de garder leurs nerfs… La seule vraie revanche ne peut avoir pour cadre que la finale de l’Euro 2008.

Foot365

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Italie : Gattuso critique la France
Rédaction Football365 - lundi 04 septembre 2006 - 16h58


Le milieu italien Gennaro Gattuso a reproché à la France d'être « mauvaise perdante » après son revers contre l'Italie en finale du Mondial.



« Quand nous avions perdu l'Euro 2000 à dix secondes de la fin (défaite 2-1, but en or), nous n'avions pas fait tout cette polémique », a déclaré Gennaro Gattuso lors d'une conférence de presse au centre d'entraînement de Coverciano à Florence. « C'est vrai que nous sommes habitués à l'avoir mauvaise après les défaites mais eux encore plus. Et en cela, l'Italie est deuxième derrière la France », a continué le milieu de terrain.

ODLB avec AFP

Sport365.fr

L'Italie est une tres grande nation du football, et je tiens a souligné se qu'a dit Rock1 qui dit que l'Italie se trouve au pied du mur et qu'elle n'a donc pas grand chose a perdre, donc elle va tout livrer et tenter de gagner.

De plus Coupet au cage et Inzaghi en face, OL/Milan pauvre Coupet il a pas du oublier.

Ouai c'est sur qu'avec coupette dans les but

euh nan ... ALLEZ LA FRANCE !!!

Italie : Gattuso critique la France



Le milieu italien Gennaro Gattuso a reproché à la France d'être « mauvaise perdante » après son revers contre l'Italie en finale du Mondial.

« Quand nous avions perdu l'Euro 2000 à dix secondes de la fin (défaite 2-1, but en or), nous n'avions pas fait tout cette polémique », a déclaré Gennaro Gattuso lors d'une conférence de presse au centre d'entraînement de Coverciano à Florence. « C'est vrai que nous sommes habitués à l'avoir mauvaise après les défaites mais eux encore plus. Et en cela, l'Italie est deuxième derrière la France », a continué le milieu de terrain.

Source : sport365.fr