Droit de réponse de C. Lankar à L'Equipe Mag
L’Olympique de Marseille dans un souci d’information et de transparence envers ses supporters, abonnés, et partenaires vous communique le droit de réponse du Docteur Charles Lankar transmis ce jour par ses avocats à la direction du club. Ce document a été envoyé à L’Equipe Magazine pour parution ce samedi 5 août 2006 en réponse à l’article « Attention, haute tension » du samedi 29 juillet 2006.
DROIT DE REPONSE
« Suite à votre article de L’Equipe Magazine du 29/07/2006, relatif à l’Olympique de Marseille, et aux propos que vous m’avez attribués, je tiens à vous apporter des précisions, et les rectifications sur certains points de votre article qui me sont apparus soit infondés, soit exagérés, soit totalement spéculés.
1- Sur le sentiment d’insécurité que vous m’imputez :
Je tiens à préciser que contrairement à l’avis de votre journaliste, je vis le plus normalement possible, tant sur le plan professionnel, que sur le plan des loisirs et les écrits à ce sujet sont totalement délirants.
2- A propos de la tyrannie imposée par José Anigo :
Là ce n’est plus du délire, mais nous sommes dans le domaine de la diffamation, en effet mes propos évoquaient seulement « une personne difficile dans le travail avec parfois des sautes d’humeur dont les collaborateurs manquaient à l’occasion de discernement »
3- La mise à l’écart de José Delfim est une pure spéculation de votre part, je n’ai fait qu’évoquer le professionnalisme de ce joueur qui n’étant pas titulaire, n’appartenait plus au système de jeu mis en place par l’entraîneur (avis personnel).
4- Concernant mon interrogatoire par les services de police :
Je conteste vous avoir dit que j’avais dénoncé un quelconque racket et autres malversations envers les joueurs. Ces affirmations peuvent considérées comme diffamatoires à mon égard.
De plus au cours de cet interrogatoire j’ai évoqué une altercation avec un automobiliste Jean Fernandez et un motard en colère sans aucune inter-relation avec le club.
5- Pour finir, je tiens à ce que vous précisiez que depuis février 2006 je n’envisageais pas de prolonger mon contrat ne participant pas ainsi à la réunion du futur staff médical préférant privilégier mon cabinet et ma clientèle. Il est donc faux d’affirmer que M. Anigo voulait avoir ma tête.
Certainement vous rêviez de sensationnels et de scandales et de détenir le scoop de l’été mais je pense avec un peu de recul que votre but était purement de salir un club passionnant même si certains caractères sont en opposition.
La vie est une école où l’on apprend tous les jours, dorénavant je changerai de route devant un journaliste. Merci pour la leçon !!! »
Source : om.net
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Sujet: Le journal "lequipe" 
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