[Entraineur] Marcelo Bielsa entraineur de l'OM en 2014/2015 !

Bielsa-OM : Dernières discussions ce lundi

Selon nos informations, les avocats de l’OM doivent rencontrer ce lundi les conseillers de Marcelo Bielsa probablement à Paris, voire à Barcelone, où se trouvent certains des conseillers de l'entraîneur argentin. Désormais, les deux parties souhaitent avancer rapidement et seuls « un ou deux détails » restent à régler car le technicien de 58 ans est séduit par le projet, comme nous vous le révélions dès le 4 avril. L’accord contractuel entre l’Olympique de Marseille et l’ex-coach de l’Athletic Bilbao doit être finalisé et signé sous 24 heures. Le contrat portera sur deux ans.

Bielsa et l'OM sont par exemple tombés d'accord sur les conditions salariales du contrat « depuis longtemps », confie un proche du dossier à RMC Sport. L’officialisation de la signature de Marcelo Bielsa devrait ainsi intervenir tard dans la soirée ou mardi dans la matinée.

 :RMC Sport: 

Selon L.Fernandez sur RMC tant que c'est pas officiel faut pas s'enflammer car Bielsa veut avoir toutes les garanties écrites noir sur blanc !

C'est plutôt bon signe car si il vient Anigo ne pourra plus rien faire du tout !!!

Pour RMC l'arrivée de Bielsa sera officiel ce soir ou demain matin.

Ca doit faire plusieurs jours que j'entends ça, ce sera officiel à telle date or y a rien de fait. J'espère juste qu'on va tout lui offrir à Bielsa on est dans du très lourd là!

Ouais donc tu n'as lu la news comme quoi il y'a une réunion avec ses avocats.

Vivement qu'il signe qu'on soit tranquille !

Les 2 adjoints de Marcelo Bielsa seraient Diego Reyes et Pablo Quiroga selon RMC.

Le roi de la comm' est de retour. Il reparle !!!!

Citation :

" Depuis le début de nos discussions, nous avons la même vision pour l'OM : créer une machine de guerre collective pour lutter contre les stars du PSG"

"Bielsa ne jure que par le collectif et le travail. Il n'a pas de demandes irréalistes en matière de recrutement. Les jeunes embauchés l'été dernier devraient être les piliers de son projet".

@ Labrune

ça discute encore aujourd'hui on devrait en savoir plus dans la journée

Sondage  :RMC Sport: Bielsa est-il l’homme idéal pour le projet de l’OM ?

Oui à 77 %

Selon  :La Provence: Bielsa veut garder Thauvin, Imbula, Lemina et Mendy. Il souhaite également garder André Ayew qui sera bientôt en fin de contrat. Prolongation donc ?

On en sait un peu plus sur le staff dans LEquipe du jour.

Marcelo Bielsa entraineur bien entendu.
Diego Reyes et Pablo Quiroga en adjoints.
Manu Amoros pour la barrière de la langue.
Lucas Bernardi toujours évoqué.
Laurent Spinosi (entraîneur des gardiens) et de Christophe Manouvrier (préparateur physique) sur le départ.

Le vice président de la Fédé du Paraguay annonce le refus de Marcelo Bielsa de prendre en charge la sélection !

     

Dommage pou Manouvrier, oui j'exclus Spinosi sans aucune gène, je nous ai jamais trouvé aussi fort qu'avec lui aux commandes.

Le dernier romantique

Passionné, exigeant, intransigeant, méthodique, offensif, travailleur acharné, intelligent, Marcelo Bielsa est tout ça à la fois. Et bien plus encore.
 
Milieu des années 1960 dans une Argentine qui ne s'est pas encore éveillée à la démocratie, le petit Marcelo joue au ballon avec ses copains non loin de la maison familiale du centre de Rosario sa ville natale quand un policier, alerté par une voisine agacée par le vacarme, se plante devant le gamin. Alors que ses camarades prennent la fuite, Marcelo est embarqué au poste pour quelques heures jusqu'à ce que son père, Rafael, l'un des juristes les plus fameux du pays, fondateur du droit administratif argentin, vienne le récupérer. Pas plus haut que trois pommes, Marcelo refuse de quitter les lieux tant que le policier ne lui a pas rendu son bien, le précieux ballon... Il obtiendra gain de cause. Déjà le caractère de celui qui deviendra le sélectionneur de l'Albiceleste transparaît. Marcelo Bielsa est ainsi. Il ne transige pas.

Un footeux chez les intellos

Né en 1955, Marcelo Bielsa est issu d'une famille bourgeoise. Grand-père et père juristes, mère professeur de mathématiques, il a un frère, avocat, qui fut ministre des affaires étrangères du président Nestor Kirchner et une soeur qui fut vice-gouverneur de la Province de Santa Fé. Dans cet environnement intellectuel, dès son enfance, Marcelo Bielsa n'avait qu'une passion : le football. A ses parents, l'adolescent impose son choix en quittant le domicile familial pour intégrer les jeunes de Newell's Old Boys. Défenseur limité mais au fort tempérament, il atteint le niveau professionnel. Mais après trois bouts de matchs en première division, Bielsa se rend vite compte qu'il ne fera pas carrière. Ou tout du moins pas comme il l'entend. Déjà très exigeant envers lui-même, il ne supporte pas d'être un joueur moyen et décide de mettre un terme à sa carrière pour devenir entraîneur. Une vocation décelée rapidement pour ce joueur qui décortiquait le jeu des adversaires bien avant que cette pratique devienne courante.

Les origines d'un surnom

Après un passage à la tête d'une équipe universitaire où sa rigueur ne fait pas bon ménage avec l'amateurisme ambiant, il retourne à Newell's Old Boys pour seconder Jorge Griffa son mentor en charge des catégories de jeunes. Pour lui, il sillonne l'Argentine au volant d'une Fiat 147 à la recherche de jeunes talents. Il prend en main une équipe et remporte tous les titres possibles. C'est à cette époque qu'il hérite de son surnom : El Loco. Le jeune coach dirigeait ses ouailles avec une telle fermeté qu'il traumatisait certains apprentis. Un jour, alors que des trombes d'eau s'abattent sur le centre d'entraînement de NOB, tous les éducateurs sont à l'abri à siroter un maté pendant qu'un groupe de gamins détrempés enchaînent les ateliers. "Qui est-ce là-bas ?", interroge l'un des coachs. "L'autre fou de Bielsa !", rétorque un autre. Voilà comment la légende est née. Des années plus tard, Bielsa avouera à l'un de ses joueurs devenu professionnel : "Vous aviez quinze ans mais moi je formais des joueurs pour la première division !"

Adulé partout où il passe

Fort de ses succès, Bielsa se voit offrir l'opportunité de diriger l'équipe première. Il intègre au groupe pro une dizaine de jeunes qu'il avait sous ses ordres parmi lesquels Mauricio Pochettino qui formera avec Eduardo Berizzo la charnière centrale. Bielsa devient champion dès sa première saison. Avec un jeu spectaculaire, NOB décroche trois titres nationaux et s'incline en finale de la copa libertadores aux tirs au but. Après deux ans, Bielsa quitte son club de coeur. Mais son empreinte est tellement forte qu'en 2009, le club de Rosario décide de renommer son stade "El Coloso del Parque" en lui attribuant le patronyme de Marcelo Bielsa. C'est sans doute ce qui caractérise le mieux celui qui devrait devenir l'entraîneur de l'OM. Partout où il est passé, il a laissé sa marque de fabrique le plus souvent à tout jamais. Le Chili où il fait l'objet d'un culte en est l'illustration.

Bielsa se définit comme "un spécialiste de l'échec" le plus cuisant étant évidemment l'élimination de l'Argentine au premier tour de la coupe du monde 2002. Sa plus grande réussite est d'être devenu un modèle pour de nombreux entraîneurs de Pep Guardiola à Diego Simeone en passant par Tata Martino. Le foot est une obsession pour lui. Hormis sa famille (il a deux filles Ines 24 ans et Mercedes 22 ans), le cinema est la seule passion qui peut concurrencer le ballon. Personnage atypique, Bielsa a été une idole au Chili puis à Bilbao où il n'avait quasiment aucune vie sociale. Dans la cité basque, l'Argentin s'était installé dans un hôtel près de la mer et s'autorisait parfois une promenade où son regard croisait rarement ceux des passants.

Des conférences de presse à rallonge

Lors de ses conférences de presse, qui peuvent parfois durer plus d'une heure (pour son départ du poste de sélectionneur du Chili il était resté 2h30 devant les micros !), Bielsa évite de fixer son interlocuteur. Le regard fuyant, tête inclinée vers le bas, il reste concentré sur son propos. Mais il n'élude jamais un sujet. Il se fait un devoir de rester sur sa chaise tant que la dernière question n'a pas reçu une réponse. Il n'a plus accordé une interview individuelle depuis plus d'une décennie (il impose ce mutisme à ses proches collaborateurs) car il ne veut faire aucune différence entre les médias puissants et modestes. Perfectionniste, érigeant l'éthique et la franchise en valeurs suprêmes, Bielsa ne négocie pas avec ses principes.

En 2012, c'est parce qu'il estimait l'Athletic Bilbao trahi par l'entreprise en charge des travaux de Lezema, le centre d'entraînement du club, qu'il avait éjecté manu militari le chef de chantier coupable du retard selon lui. Il avait regretté publiquement cette attitude, prémices de la rupture avec ses dirigeants qui surviendra un an plus tard avec la non-reconduction de son contrat. Tel est Marcelo Bielsa, intransigeant et pointilleux mais pas inflexible.

"Si lui est fou, alors moi, j'aimerais être fou !"

Sur un banc, l'Argentin est une tornade qui vit à fond les matchs. Il hurle ses consignes, râle, semble se consumer de l'intérieur au point de finir épuisé. "Après une défaite je meurs, la semaine suivante est un enfer, expliquait Bielsa voilà quelques années. Je ne joue pas avec ma fille, je ne sors pas diner avec mes amis, c'est comme si je ne méritais pas ces plaisirs quotidiens."

Pour Marcelo Bielsa, le travail est une vertu essentielle. "Je vivais dans un quartier où la preuve de la réussite était la voiture, affirmait-il un jour. On voyait des pères et fils qui travaillaient dur pour s'acheter une Seat. D'autres gagnaient au loto et s'offraient une Mercedes. On a toujours estimé que ceux qui avaient une Seat avaient plus de mérite… Pour moi, on ne doit pas juger son travail sur ce qu'on a obtenu mais par rapport à ce qu'on méritait." Lors de son passage à Bilbao, Eduardo Rodrigalvarez, historique chroniqueur pour le quotidien "El Pais" et grand spécialiste de l'Athletic, écrivait ceci : "Bielsa est indescriptible. Un type si singulier qu'il est impossible de le comprendre totalement. Si lui est fou, alors moi j'aimerais être fou !"

 :MediafootOM:

J'aime ce mec !!! Incroyable, moi qui était déçu que Gerets ne revienne pas je ne suis pas déçu.

Bielsa, ça discute encore

Les pourparlers continuent ce mercredi entre les avocats de l'OM et ceux de Marcelo Bielsa. Les discussions se passeront par email. Le contrat entre l'Argentin et le club semble établi, mais il reste à régler les détails sur le staff élargi que réclame le technicien argentin. D'où une certaine prudence à l'heure actuelle côté marseillais, où on connaît le côté pointilleux de l'ancien coach de l'Athletic Bilbao.

 :Lequipe: 

"Des joueurs voudront venir à l'OM grâce à l'arrivée de Bielsa mais ça pourrait en faire fuir d'autres." @ Thauvin

Énorme celle là !!!!   

Comme quoi en interne il se passe vraiment des choses.

Ceux qui auront peur de l'autorité oui ça les fera fuir, idem pour ceux qui auront peur de bosser 2 ou 3 fois plus.

Lucho qui relance la piste Heinze   

Pour El Commandante, Bielsa était son meilleur entraineur

"J'ai parlé avec lui, il ne savait pas encore. Il n'est pas décidé. Ce serait mieux que Gaby soit là, car il connait le club et certains joueurs" @ Lucho sur Heinze

Si Lucho veut revenir aussi, on prends !

Dans les Specimens sur Canal + Sport, Villeneuve donne l'infos suivante : Bielsa ok pour vendre Valbuena et Mandanda. Mais il veut garder Gignac.

Vendre les 3 me dérangerait pas.

Moi je suis pour garder Gignac qui boss , qui fait sont job , qui marque , qui mouille le maillot et qui aime vraiment ce club tout comme A.Ayew !! 

Pour Mandanda c'est différent si on me trouve un bon remplaçant pas de souci il peur partir pour service rendu ( mais va falloir bien le remplacer ) mais le garder me donnerai entière satisfaction.

Et pour Valbuena j'ai juste envie de lui dire bon vent !! il a pris trop la grosse tête et la confiance a part foutre la merde dans le vestiaire il a pas fait grand chose cette saison il est temps de partir pour lui !