[Gennaro Bracigliano] Nouvelle doublure de Mandanda

Il y a un problème, tu as mis le nom et la fiche de N' Koulou

Rectifié

Goub a écrit:

Il y a un problème, tu as mis le nom et la fiche de N' Koulou

Un multi épuisant, un devoir sur cacharel éreintant, une news à l'arrache. jamais bon.

le_marseillais a écrit:

Pourquoi on parle d'un accord Nancy - OM ? on le prend gratuitement non ?

Nancy l'a libéré pour qu'il puisse signer à l'OM. Service rendu si tu préfères.

Rσck1 a écrit:

Goub a écrit:

Il y a un problème, tu as mis le nom et la fiche de N' Koulou

Un multi épuisant, un devoir sur cacharel éreintant, une news à l'arrache. jamais bon.

T'es pardonné mon pti Rock

Il était pas blessé la saison passée ? Ou c'est Gregorini qui était meilleur... mais ça me parait farfelu

Oui il était blessé.

Bonne nouvelle, gardien bien meilleur que Andrade, enfin c'est pas difficile.
En fait, Nancy nous fait cadeau de son joueur ?

Non quand même pas. Ils ont facilité son départ, en mettant fin à son contrat. Comme on l'avait fait avec Battles à une époque.

Petite élongation pour Bracigliano

Arrivé à Port-du-Crouesty ce mardi dans l'après-midi, la nouvelle recrue Gennaro Bracigliano n'a pas participé à l'entraînement et s'est contenté de soins. Strappé à la cuisse, le gardien souffre d'une petite élongation aux ischios-jambiers droit, il sera aux soins pendant encore deux jours.

OM.net

Put*in il commence bien.

Je crois bien qu'il l'avait déjà avant d'arrivée.

"Cela n'a rien à voir avec l'ASNL, je change de planète. J'ai longtemps hésité mais le discours du coach a fait la différence. Les choses sont claires : j'arrive en numéro 2. C'est une grande fierté de rejoindre l'OM et d'évoluer derrière Steve, mais je suis aussi terriblement excité. En ce qui concerne ma blessure (élongation aux ischios droit, ndlr), je poursuis les soins." @ Bracigliano

Parcontre le mec à Nancy t'a l'impression il à 40 balais il arrive à l'OM, crané rasé petit bouc bogoss ta l'impression il en a 20

Bracigliano à la maison

A quelques heures de disputer le premier match amical de la préparation, ce vendredi contre Vannes, un Olympien a regagné ses pénates. Gêné par une élongation aux ischios et toujours en soins, Gennaro Bracigliano a quitté le groupe marseillais ce matin. Il retrouvera le chemin du centre Robert Louis-Dreyfus ce lundi avec le reste de l'effectif.

laprovence

Et un Mosellan en plus à l'OM

J'espère que je vais avoir un de ses maillots

Le type il est pro-nancéin c'est énorme

Perso' je kiffe. Je veux des commentateurs comme ça à OMTV.

Sinon on a quand même "le gardien du siècle" en doublure, c'est énorme.

Racolar a écrit:

Le type il est pro-nancéin c'est énorme

Bah c'est un peu normal sachant que c'est Radio France Bleu Lorraine

Vasi manuuuuuuuu il va marquer ouaiiiiiiiiiiii

«Humainement, c’est quelqu’un de bien. Après, le gardien, je le connais mieux parce que je l’ai vu à la télé et que j’ai joué contre lui plusieurs fois. Il a beaucoup d’expérience avec pas mal de matches de Ligue 1 derrière lui. Il peut m’apporter cette expérience car il en a plus que moi. C’est toujours bien de pouvoir compter sur des mecs comme ça ». @ Mandanda

A la rencontre de Gennaro (1/2)



Le gardien remplaçant a accordé une longue interview aux médias OM afin de mieux connaitre ce sympathique olympien. Dans cette première partie, il évoque son enfance et son début de carrière.

Racontes-nous un peu ton enfance…
C’était en Moselle à côté de Forbach où je suis né en 1980. J’ai deux sœurs et on est très proche. Je viens d’une grande famille. Ma mère fait partie d’une famille qui comptait onze enfants. Mon père, sept. Je suis très attaché à ma famille et j’ai aussi une petite fille. Je suis marié et originaire de la cité de Farébersviller qui a été construite dans les années 50 avec l’émergence des mines et l’arrivée des immigrés. A l’époque, la France avait besoin de main d’œuvre. Et mon grand-père, au même titre que les immigrés italiens, polonais, nord africains sont arrivés dans cette cité. Donc c’était très mixé au niveau nationalité et où j’ai grandi avec beaucoup de bonheur. C’est là aussi où j’ai appris à jouer au foot, en bas des blocs.

Tu es d’origine italienne ?
Des deux côtés. Mes parents viennent de même village, dans la région de la Province de Salerne, à côté de Naples.

Atterrir en Moselle pour des Italiens, ça doit être délicat, non ?
J’en parlais souvent à mon grand-père et à mon père et je leur disais «comment avez-vous atterri ici alors que vous venez d’une aussi belle région que la baie de Naples?» C’est vrai qu’il y a une chaleur humaine mais ce n’était quand même pas facile, ils venaient travailler dans les mines. Et il m’expliquait qu’à l’époque, en Italie, il y avait beaucoup de pauvreté. Pour les immigrés qu’ils étaient, avoir un appartement avec le chauffage, c’était un peu l’Amérique. Pour la petite anecdote, mon grand-père maternel est arrivé à Marseille, comme beaucoup de Napolitains, et il n’a pas trouvé de boulot. Il a donc continué sa route et savait qu’en Moselle, on embauchait pas mal.

Naples, ça ressemble à l’OM. As-tu déjà assisté à un match là-bas ?
Non amis j’ai déjà assisté à un match à Salerne. Mais je vous avoue que Naples est mon club de cœur depuis que je suis petit. En plus, c’était l’époque de Maradona. Mes cousins et mes oncles étaient fans de ce club. Ils avaient toujours une petite radio pour suivre Naples. Au moment du tirage de la Ligue des Champions, j’entendais parler de Barcelone, Manchester, le Real… Mais si j’avais pu tirer Naples, cela aurait été une vraie joie. D’ailleurs on les a loupés avec Nancy en coupe de l’UEFA…

Comme beaucoup, tu as débuté dans les quartiers. Ensuite, tu as intégré un centre de formation ?
Aujourd’hui, les jeunes arrivent en préformation à l’âge de 12 ou 13 ans. Moi, je suis arrivé à 16 ans, ce qui n’est pas si tôt que ça. J’ai donc eu une enfance et une scolarité assez normale. C’est vrai que c’est une vraie coupure. Je débarquais dans quelque chose de nouveau mais je savais aussi pourquoi j’étais là. J’étais prêt à tous les sacrifices pour atteindre mon objectif qui était de passer pro.

Après les années de formation, il y a eu le moment où tu es passé pro… Grand moment ?
Bien sûr, c’était en 1999. Mais je n’avais pas atteint l’objectif final. Ok, j’étais passé pro mais je n’avais pas encore joué en pro. Et l’objectif d’après était de m’intégrer le plus rapidement et de m’imposer dans cette équipe de Nancy.

Pour quelles raisons ?
A l’époque, j’étais doublure de Bertrand Laquait (1999-2001) et lors de ma troisième saison, je n’ai pas eu la chance de jouer. J’ai donc demandé à être prêté et je suis arrivé en National, à Louhans-Cuiseaux puis à Angers où l’on a eu la chance de connaître une montée pour revenir à Nancy en 2003. Mon premier match avec Nancy date de 2004. J’ai également eu la chance de faire partie d’un groupe qui est monté en Ligue 1 lors de ma première saison pleine à Nancy et on s’est maintenu régulièrement jusqu’à aujourd’hui. On a réussi à gagner la coupe de la Ligue, on a joué deux coupes d’Europe. Pour Nancy, qui végétait en Ligue 2 depuis quelques temps, c’était extraordinaire. Je suis content d’avoir participé à tout ça.

Que peux-tu nous dire sur Pablo Correa ?
C’est quelqu’un qui a beaucoup compté dans le club. Il a participé, au même titre que les joueurs, à la progression de l’équipe. Puis il est arrivé à la fin d’un cycle, comme d’autres joueurs. C’est pourquoi il a choisi, avec beaucoup de lucidité, de tourner la page la saison dernière. Mais c’est quelqu’un qui a beaucoup compté pour l’ASNL et ça restera le coach avec qui j’aurai fait le plus de saisons en pro.

Et tes rapports avec lui ?
Humainement, ç’a été quelqu’un de très bien. Il nous a vraiment accompagnés mais il y a eu une cassure il y a trois ans. On jouait le maintien et il me retire de l’équipe alors que j’étais capitaine depuis cinq ans. A la fin de la saison, il m’a dit qu’il avait essayé de tenter un coup, de toucher l’équipe. On s’est maintenu mais ça a cassé quelque chose dans notre relation, qui était devenue forte, surtout que j’étais son capitaine. A partir de ce moment-là, plus rien n’a été pareil à Nancy.

Mais tu as rejoué après ?
Oui, j’ai rejoué, mais c’était différent… J’ai joué, j’ai reporté le brassard mais je savais que plus rien ne se passerait comme avant. Mais c’est une personne que j’apprécie beaucoup, que je retrouverai avec plaisir en dehors du foot. J’ai d’ailleurs ressenti qu’en arrivant à Marseille, ma relation est redevenue normale avec lui. Il m’a d’ailleurs envoyé un message de félicitations quand je suis arrivé ici.

OM.net

A la rencontre de Gennaro (2/2)



Le gardien remplaçant a accordé une longue interview aux médias OM afin de mieux connaitre ce sympathique olympien. Dans cette deuxième partie, il nous parle de l'OM et de Mandanda.

A quand remontent les premiers contacts avec l’OM ?
Il y a deux ans, à la suite de cet évènement, José (Anigo) m’avait appelé et m’avait proposé le challenge de doublure. Mais j’ai toujours été titulaire et j’avais décliné en le remerciant de cet intérêt. Deux ans ont passé durant lesquels j’ai compris que plus rien ne serait pareil même si je garderai toujours des attaches extraordinaires dans ce club. Il me fallait quelque chose de nouveau sportivement. J’ai donc eu l’opportunité Marseille, j’ai eu le coach Deschamps au téléphone et j’ai senti qu’il me fallait tenter cette aventure.

Tu as parlé avec Didier Deschamps avant de signer ?
Il avait besoin d’un gardien expérimenté et m’a dit que j’avais le profil. Et même en étant deuxième gardien, il m’a bien fait comprendre que chaque pion serait essentiel à l’obtention des trophées. Les choses étaient très claires. Le coach m’a dit que j’étais doublure et a été très franc avec moi. Après, c’était ma réflexion. J’ai pesé le pour et le contre. Je me suis dit que même en tant que doublure, à Marseille, il y a Nicolas Dehon, qui est une référence, et je côtoierai l’un des meilleurs gardiens du monde…

Par rapport au début de saison, as-tu eu des certitudes de jouer sur certaines compétitions ?
J’en ai parlé avec le coach maintenant je ne vais pas en parler ici.

Penses-tu pouvoir aider Steve à gagner sa place chez les Bleus ?
Steve a été titulaire et les choses n’ont pas basculé en sa faveur. Mais il doit absolument se mettre dans la tête que les choses ne sont pas figées parce qu’il a toutes les qualités pour s’imposer. Après, Hugo Lloris n’est pas n’importe qui non plus. Au même titre que Steve, c’est une référence mondiale. Aujourd’hui, il est devant mais on sait tous que ça va très vite. Et la France a beaucoup de chance d’avoir ces deux gardiens dans ses rangs.



Steve nous a dit qu’il attendait beaucoup de toi surtout parce que tu as plus d’expérience que lui…
Pas beaucoup plus. C’est différent. Il a quand même connu beaucoup de choses aussi, l’équipe de France, … Mais c’est vrai que quand on parle entre gardien, on a un langage, des sensations que les gens ne comprennent pas toujours. Il va voir des choses différentes de ce que les gens dans les tribunes vont voir.

Tu as des modèles comme gardien ?
Plein ! Bernard Lama et Fabien Barthez, pour tous les mecs de notre génération, étaient des références. Ils faisaient des trucs qu’on n’avait jamais vus. Ils allaient chercher les ballons aériens dans les 16 mètres. Même Joseph-Antoine Bell faisait des choses folles. C’est eux qui m’ont donné le goût d’aller chercher des ballons aériens. Sinon, toute l’école italienne : Buffon, Peruzzi, Zenga…

Que penses-tu du début de saison ?
On a vraiment un groupe sérieux et, sur le long terme, ça finit toujours par payer. Les mecs se défoncent depuis la préparation, personne ne tire la tronche. Maintenant, c’est vrai que l’on manque un peu de rigueur dans le jeu. Il faut bosser encore plus. On manque également d’un peu de réussite mais ça reviendra avec le travail. Ce qui est important, c’est de ne pas noircir le tableau, beaucoup bosser, et garder confiance en nous en restant uni. Et c’est le cas cette saison. J’espère que les résultats me donneront raison mais c’est vrai que pour l’instant au niveau comptable, on n’est pas dans les clous. On va tout faire la semaine prochaine pour vite revenir et atteindre nos objectifs qui sont assez élevés.

OM.net

Gennaro

Pas plus rassurant que Andrade, espérons qu'il n'arrive rien à Mandanda cette saison.