[Guy Stephan] adjoint de Deschamps

Le parcours de Guy Stephan

Didier Deschamps ne sera pas le seul nouveau le 1er juin puisqu'il sera accompagné de Guy Stephan qui sera son adjoint. Poste qu'il a occupé aux coté de Raymond Domenech puis de Jean Tigana à Lyon entre 1992 et 1995, il devient entraîneur de l'OL entre 1995 et 1997 avant de prendre les commandes des Girondins de Bordeaux l'espace d'une saison.

Entre 1998 et 2002, Guy Stephan s'engage au sein de l'équipe de France où il fut tour à tour l'entraîneur des moins de 18 ans, de l'équipe A', adjoint de Roger Lemerre, il fini par rejoindre la DTN dirigé par Aimé Jacquet. En janvier 2003, il prend les rênes de la sélection Sénégalaise où il ne perd que 2 matchs sur les 30 officiels passé sur le banc des lions de la Teranga. En juin il arrête la sélection l'espace de 5 mois avant de rejoindre Jean Tigana à Besiktas où il y reste jusqu'en 2007.

Son palmarès en tant qu'entraîneur se résume à une finale de la Coupe de la Ligue en 1996 avec Lyon et un quart de finale de la CAN avec le Sénégal. Mais c'est en position d'adjoint qu'il a brillé puisqu'il a fini second de L1 avec Lyon en 1995, vainqueur de la Coupe de Turquie en 2006 puis en 2007 ainsi que vice champion toujours en 2007 en étant l'adjoint de Tigana au Besiktas. Mais il est surtout champion d'Europe 2000 et vainqueur de la Coupe des Confédération en 2001 lors de sa collaboration avec Roger Lemerrre en équipe de France.

C'est donc un adjoint très expérimenté qui vient épauler Didier Deschamps et nul doute que son passé dans différentes compétitions tel que le championnat d'Europe en 2000 ou bien encore la CAN en 2004 va lui servir dans les différentes taches qui l'attendent.

omplanete

"Guy Stephan est la première bonne recrue de l'OM"

"Marseille est une expérience unique et avec Didier Deschamps, que je n'ai pas eu la chance de connaître en tant qu'entraîneur, ça me paraît un très bon attelage." En lui apprenant, hier après- midi, la signature de Guy Stephan à l'OM comme adjoint de Didier Deschamps, Éric Roy était particulièrement heureux. Pour le club olympien, dont il a porté les couleurs de 1996 à 1999, et également pour le technicien breton, qu'il a côtoyé à Lyon, pendant trois saisons.

"Ce n'est pas une grande gueule, mais il sait se faire entendre. Guy est cultivé, intelligent, très précis dans ses séances à l'entraînement, indique le directeur du développement de l'OGC Nice. Il avait été d'une grande aide à Jean Tigana qui, en participant aux toros, aux footings, était encore joueur dans l'âme. Guy et Didier, ça me fait penser au duo Blanc-Gasset à Bordeaux. J'ai aussi connu Guy comme numéro un; le plus grand souvenir reste la victoire à la Lazio (Signori, Boksic...) qui venait juste de battre la Juve 4-0."

À Lyon, François Bracci était également l'adjoint de Tigana, plus spécifiquement en charge des gardiens. "Jeannot s'était appuyé sur Guy dans l'organisation du travail et le contenu des entraînements. Je n'en garde que de bons souvenirs en un an et demi. C'est un superbe second, comme l'est Dominique Cuperly, et cela n'a vraiment rien de péjoratif, estime le Marseillais, à la recherche d'un club. C'était un garçon très timide, discret, par rapport à Jean et moi, deux Méridionaux exubérants ! (rires) En fait, Guy se livre peu, sauf quand il connaît bien; car c'est un rigolo. Un jour, à Jeannot et moi, il a dit : 'J'aimerai être comme vous, avoir le contact facile avec les gens où que vous soyez !'" À Marseille, dès cet été, Stephan sera à bonne école.

laprovence

Meilleur que Cup' ??

Bonne chance à lui.

Bonne chance

Guy Stephan : «Bien dans ma peau»



Guy Stephan est à l’aise sur la côte Basque. Elle lui rappelle sa Bretagne natale «avec les côtes découpées et un beau soleil, car on l’oublie, il y en a aussi en Bretagne même s’il pleut souvent» nous précise-t-il, souriant, au moment de nous accorder une interview à Saint-Jean-de-Luz afin de mieux connaître l’adjoint de Didier Deschamps. Car s’il a peu parlé depuis près d’un mois, il avoue que cette discrétion dans les médias est volontaire. «Ca fait peut-être partie de ma nature mais un entraîneur-adjoint se doit travailler dans l’ombre et surtout d’être très présent sur le terrain en apportant un maximum de messages au coach afin qu’il ait tous les éléments pour prendre la ou les bonnes décisions» prévient-il avec un phrasé non sans rappeler celui de son prédécesseur Dominique Cuperly.

Tel est Guy Stephan : mesuré, sérieux, professionnel mais avenant quand on vient à sa rencontre. Entraîneur de Lyon ou Bordeaux, sélectionneur du Sénégal, formateur d’entraîneur à la DTN, un CV qui ferait des envieux en ajoutant à cela de nombreux rôles de seconds à travers la France et le Monde. Un touche à tout ? «Je ne sais pas si c’est le bon mot, répond-t-il, au départ, j’ai une formation de prof de gym, j’ai été footballeur professionnel puis je suis devenu entraîneur tout naturellement. Je prends tout ça comme un ensemble d’expérience très enrichissante et formatrice.»



Il n’a donc pas hésité quand Didier Deschamps lui a proposé le challenge OM en tant qu’adjoint : «On se connaît depuis neuf ans, à l’Euro 2000 quand j’étais adjoint de Roger Lemerre et lui capitaine de l’équipe de France. Il m’a demandé si ça m’intéressait de venir avec lui et j’ai accepté tout de suite.» Pour avoir bien connu le Deschamps joueur, il n’est pas étonné de le voir sur les bancs de touche désormais : «On sentait déjà qu’il allait probablement le devenir. En tant que joueur, il était très professionnel, consciencieux et rigoureux dans sa préparation, et il essaye d’inculquer la même chose en tant qu’entraîneur avec une présence très active sur le terrain. Et notamment sur le plan tactique, il sait exactement ce qu’il veut et il est surtout très cohérent entre ce qu’il dit et ce qu’il fait.»

"Je préfère être dans un club qui vit intensément"

Son passé, son expérience ne lui font toutefois pas rechigner le rôle d’adjoint. Il coupe tout de suite : «Je suis bien dans ma peau et heureux de faire ce que je fais. J’étais aussi heureux quand j’étais en Afrique ou dans d’autres clubs. Je vis bien le moment présent et je sais qu’on a des défis devant nous.» Et de définir les fonctions de chacun dans son travail avec le coach. «Les rôles sont bien définis. Il y a un préparateur physique avec qui je discute très fréquemment sur le contenu des séances qui suscite beaucoup d'échanges avec Didier Deschamps. Je dirige sur le terrain tout ce qui est séance technique et Didier s’occupe plutôt de ce qui concerne l’aspect tactique. Il faut ensuite qu’il y ait une grande complicité entre l’entraîneur, l’entraîneur-adjoint et le staff de pour que les joueurs sentent qu’il y a un staff très uni et soudé devant eux. Et la complicité est là.»



Appréciant «l’adhésion, la bonne dynamique et l’état d’esprit» du groupe olympien, le Breton a foi en l’avenir tout en gardant sa naturelle retenue. «Lorsqu’il y a eu tous les soucis extra-sportifs avant la préparation, il ne fallait pas tomber dans un pessimisme trop important et aujourd’hui, je pense qu’il ne faut pas tomber non plus dans un optimisme trop grand en voyant les recrues, remarque-t-il, c’est vrai qu’il y a de la qualité, que le recrutement n’est pas terminé. Je ressens beaucoup d’indicateurs positifs mais nous sommes encore à trois semaines du début du championnat.»

La «passion», la «folie», l’«excès parfois», autant d’éléments qui ont amené ce voyageur du foot vers Marseille. Il conclut avec le sourire : «Ca fait aussi partie de l’expérience et je préfère être dans un club qui vit intensément plutôt que dans un club aux ambitions limitées.» Pas étonnant pour celui qui a connu la folie du stade de Besiktas aux côtés de Jean Tigana.

OM.net

Le match à Nîmes comptera pour Stéphan

La rencontre de ce vendredi soir face à Nîmes ne sera pas secondaire pour plusieurs joueurs marseillais, notamment parmi les jeunes ou les joueurs moins utilisés depuis le début de saison. Guy Stéphan a aussi annoncé que ce match amical était également capital pour garder le rythme. « Laisser les joueurs ne rien faire pendant quinze jours, c’est trop en plein milieu de la saison, c’est important s’il y a un bon équilibre et si c’est bien arbitré. On est dans une passe difficile mais il est important de garder le contact avec la compétition. Ceux qui jouent moins auront l’occasion de se relancer et les jeunes peuvent jouer. Pour nous, ce sera le moyen de les voir en situation de match », a expliqué l’entraineur-adjoint de Didier Deschamps.

foot01

Guy Stéphan mêle intensité et plaisir

Dès leur arrivée à l’OM, Didier Deschamps et Guy Stephan ont mis en place dans leur programme d’entraînement des exercices faisant une grande place au plaisir. «C’est important pour les joueurs car c’est ce qu’ils font tous les jours. Il faut trouver le juste milieu entre les exigences du haut niveau et le plaisir dans le jeu. Tous les exercices d’entraînement sont faits autour de cela mais l’intensité reste la priorité» prévient Guy Stéphan, entraîneur adjoint de l’OM.

OM.net

G. Stephan : «La récompense d’un groupe»

L’entraîneur adjoint Guy Stephan a évoqué au micro d’OMtv «la récompense d’un groupe» après la victoire face au TFC : «Les joueurs qui ont participé à la rencontre ont vraiment été excellents même si on a reculé en seconde mi-temps. Mais on a eu encore là, une grosse force mentale pour revenir au score et prendre le dessus.»
Malgré les blessures et les absences dues à la CAN, «le groupe a tenu bon» estime-t-il. «Malheureusement il y a eu ce match à Montpellier qui a été mal négocié mais le groupe a su revenir dans le coup quatre jours après. Il y a eu beaucoup de courage pour revenir au score et faire la différence dans la prolongation. C’est la récompense d’un groupe pour aller au Stade de France. C’est vraiment une bonne chose pour tout le monde. Cela va faire du bien au groupe mais aussi aux supporters. Il faut profiter» a-t-il ajouté.

Site Off

Il faut surtout là gagner cette finale ...

« Je prends la place qu’on me donne. Avec Didier, on se connaît depuis l’Euro 2000, quand j’étais l’adjoint de Roger Lemerre. Fin 2008, alors qu’on était consultants à Canal +, il m’a demandé de collaborer avec lui. On ne savait pas encore que ce serait à l’OM. Il y a énormément de discussion entre nous, sur la construction des entraînements, l’élaboration des options de jeu, les choix d’équipe, le relationnel avec les joueurs. Il a la décision finale. Mais contrairement à ce qu’on pense, il écoute beaucoup » @ Guy Stephan dans Aujourd’hui en France.

Massilia57 a écrit:

« Je prends la place qu’on me donne. Avec Didier, on se connaît depuis l’Euro 2000, quand j’étais l’adjoint de Roger Lemerre. Fin 2008, alors qu’on était consultants à Canal , il m’a demandé de collaborer avec lui. On ne savait pas encore que ce serait à l’OM. Il y a énormément de discussion entre nous, sur la construction des entraînements, l’élaboration des options de jeu, les choix d’équipe, le relationnel avec les joueurs. Il a la décision finale. Mais contrairement à ce qu’on pense, il écoute beaucoup » @ Guy Stephan dans Aujourd’hui en France.

Un type discret, compétent. Le parfait remplacent de Cup'.

Tout ce qu'il dit est très juste, notamment c'est analyse de match au micro de paga

« Mamadou Niang et Souleymane Diawara, ce sont des titulaires à part entière. Ce sont deux joueurs importants qui apportent beaucoup à l’équipe. «Souley», c’est un roc derrière, c’est une masse athlétique, un vrai leader de défense. En plus Il est très régulier. Quant à «Mamad», c’est le véritable buteur. Malheureusement lors de la finale de la Coupe de la Ligue, il n’avait pas toute son énergie puisqu’il était blessé. Mais il faut dire qu’il nous a beaucoup apporté depuis le début de la saison. Il a de la vitesse, il est capable de marquer du pied droit, du pied gauche. Et ce n’est pas un hasard s’il est actuellement le meilleur buteur de la Ligue 1 », constate Guy Stéphane.

« On est sur le bon chemin mais il reste 15 points en jeu, on a 5 points d’avance sur Auxerre où nous devons aller. Ce sera un adversaire coriace. Cela dit, on vient de faire douze matches sans défaite avec dix succès et deux nuls. C’est assez exceptionnel. On a pris 32 points sur 36 et c’est le 20e match où on marque au moins un but, chose qu’aucune équipe de L1 n’a réussi à faire. Tous les voyants sont au vert. Mais il faut avoir beaucoup d’humilité dans la victoire » @ Guy Stéphan

Cuperly, Stephan, on a vraiment des bons adjoints chaque fois. Là encore des paroles très sages et justes, et pleine de bon sens.

On l'a très peu vu cette saison n'empêche. Il travail dans l'ombre.

Un grand Bravo a lui aussi, discret mais important !

2010, vue par Guy Stephan

Homme de l'ombre, l'adjoint de Didier Deschamps a toutefois une part importante dans la saison exceptionnelle accomplie par les Olympiens.

L’Olympique de Marseille a réalisé une seconde partie de saison exceptionnelle avec à partir du mois de février une série de rencontres sans défaite au plan national. Pourtant en janvier, la phase retour n’avait pas débuté sous les meilleurs auspices. Guy Stephan, adjoint de Didier Deschamps, nous a livré ses événements charnières de l’année 2010.

Le stage en Espagne
Juste avant Noël, les Olympiens perdent sèchement au stade Vélodrome face à l’AJ Auxerre. Une défaite qui a fait mal à tout le groupe et que le coach a eu du mal à digérer. Elle a même gâché ses fêtes d’année, reconnaîtra-t-il à la reprise. Justement, pour bien débuter 2010, l’OM part en stage à Peralada au nord-est de l’Espagne, non loin de la frontière française. «Comme pour tous les stages, c’était l’occasion d’être ensemble de discuter, de travailler et Didier a fait le point. On a surtout beaucoup parlé loin de Marseille. Ce stage a eu des effets bénéfiques et cela a servi par la suite. Il y a un ensemble de détails qui a fait que l’équipe a été beaucoup plus performante après : une adhésion à des principes de jeu, une exigence beaucoup plus acceptée par le groupe, des automatismes qui ont commencé à naître sur le terrain. C’est une succession de choses qui a fait que l’équipe a été plus performante. On a retrouvé tous les joueurs à un très bon niveau».

Dans la foulée de ce stage, l’OM se qualifie dans les deux coupes nationales à l’extérieur : à Périgueux contre Trélissac dans un match piège face à des amateurs gonflés à bloc et à Saint-Etienne grâce à un but de Mamadou Niang dans le temps additionnel.

Le match nul à Bordeaux
Surnommé « la finale avant l’heure » par les observateurs en raison de son arrivée précoce dans le calendrier, le match aux Girondins revêtait une importance particulière pour l’OM. A l’époque, Bordeaux avait fait le trou au classement et l’OM (avec un match en moins) ne voulait pas voir le champion en titre s’envoler. «On prend un but de Chamakh contre le cours du jeu et avec une faute sur Steve Mandanda, se souvient Guy Stephan. On fait une bonne fin de match avec une égalisation logique. C’est un match qui a compté au niveau de l’écart entre les deux équipes. Avec une défaite, l’écart aurait été trop important. On a réussi à le réduire par la suite, en faisant une formidable série et aussi parce que Bordeaux a craqué».

La défaite à Montpellier
Ce match restera comme la dernière défaite de l’OM jusqu’à l’obtention du titre et de fait il est devenu le point de départ du renouveau et de la reconquête. Sur la pelouse de La Mosson, les hommes de Didier Girard en veulent plus que l’OM. «C’est une période où nous n’étions pas très bien, Montpellier était en pleine forme, en pleine confiance, ils réussissaient tout ce qu’ils tentaient sur le terrain. Nous étions dans l’interrogation, nous n’avions pas encore trouvé l’équipe qui allait faire plus tard cette formidable série».
Au classement, l’OM (avec un match en moins) est à douze points de Bordeaux mais personne à Marseille n’a baissé les bars. Au contraire… «On n’a pas douté mais on a eu des réflexions. Didier a toujours cru au potentiel de l’équipe. Il y avait beaucoup de qualité, de la chaleur aussi entre les joueurs, on le sentait à l’entraînement mais cela ne se répercutait pas en match. C’est venu avec le temps».

Une charnière Mbia-Diawara
Formée pour la première fois lors de la seconde période contre Monaco (8e journée, le 4 octobre 2009) après la sortie de Gabriel Heinze, la charnière centrale Stéphane Mbia-Souleymane Diawara sera systématiquement alignée à partir du match de Coupe de la Ligue face à Toulouse, soit juste après la gifle de Montpellier. «C’est un souhait de Didier qui voulait mettre de l’impact physique derrière. A la 86e minute de ce match, nous étions éliminés. Il y a ensuite l’égalisation de Brandao et encore un but de Brandao pendant la prolongation. Cette victoire nous ouvre les portes de la finale de la Coupe de la Ligue. Que ce serait-il passer si nous n’avions pas gagné à Toulouse ? Personne ne peut le dire mais il y aurait probablement eu une cassure. C’est un match référence, il compte énormément dans la saison de l’OM».
Pourtant le milieu de terrain camerounais revendique dès qu’il le peut son désir de jouer plus haut. Mais le coach olympien a fait comprendre au joueur qu’il fallait faire passer les intérêts de l’équipe avant les intérêts individuels. «C’est la force de persuasion de Didier avec les joueurs par son CV, sa carrière. Il a pu indiquer les indications à Stéphane pour qu’il accepte ce poste. C’était un peu compliqué, ce ne devait être qu’un intérim et aujourd’hui tout le monde reconnaît que c’est son meilleur poste. Désormais, il l’accepte beaucoup plus. Les cadres autour de lui ont eu un discours très positif».

L’essor de Ben Arfa
Début février, l’OM affronte Valenciennes. Les Olympiens marquent cinq buts dans une rencontre menée tambour battant. A la 33ème minute, Hatem Ben Arfa délivre une passe décisive pour Lucho Gaonzalez, un geste d’inspiration de grande classe. «C’est un joueur de génie capable de gestes comme cette talonnade contre Valenciennes. Il fait des passes que peu de joueurs sont capables de faire et cela ouvre des brèches. Il a encore des difficultés dans la régularité mais c’est un joueur hors-norme».
Dans cette seconde partie de saison, l’international français a marqué des buts importants notamment face à Paris ou Sochaux.

Une série pour finir
Pour conquérir son titre l’Olympique de Marseille s’est appuyé sur une série de matches sans défaite. Depuis le fameux match à Montpellier où l’OM s’est incliné 2-0, les hommes de Didier Deschamps ont aligné une série digne de celle de Bordeaux l’an passé (11 victoires lors des 11 dernières journées). L’OM a pris 39 points sur 45 possibles. «Notre gros souci dans la première partie de saison a été de ne pas avoir fait de série. Là, avant Lille, nous restions sur une série de quinze matches sans défaites avec douze victoires et trois nuls. C’est exceptionnel. On l’a fait avec un peu de chance, il faut le reconnaître mais avec, souvent, beaucoup de talents».

OM.net

Sur la pelouse de La Mosson, les hommes de Didier Girard en veulent plus que l’OM.

Et non, c'est les hommes de René Girard.

Oui, j'avais pas fait gaffe, on a aussi : '' Lucho Gaonzalez''