[LdC] Atletico/OM {2-1} Liberté pour Santos !

le17marseillais a écrit:

C'est pas 12 000€, c'est 6 000€

Ouais possible que José ne soit pas au courant de l'affaire.

Beye13 a écrit:

le17marseillais a écrit:

C'est pas 12 000€, c'est 6 000€

Ouais possible que José ne soit pas au courant de l'affaire.

Oui c'est 6 000 euros normalement.

Santos libérer juste avant le match quel heureux hasards.
Espérons que c'est pas pour nous encul** plus tards, l'affaire et pas encore fini...

rato12 a écrit:

Santos libérer juste avant le match quel heureux hasards.
Espérons que c'est pas pour nous encul** plus tards, l'affaire et pas encore fini...

Oui l'appel est comme par hasard après le match.

Si ça se trouve la semaine prochaine il retourne en taule, mais bon j'ai rien dis.

Beye13 a écrit:

rato12 a écrit:

Santos libérer juste avant le match quel heureux hasards.
Espérons que c'est pas pour nous encul** plus tards, l'affaire et pas encore fini...

Oui l'appel est comme par hasard après le match.

Si ça se trouve la semaine prochaine il retourne en taule, mais bon j'ai rien dis.

Voila le ticket d'avion est réservée pour santos apparemment il sera lâchée mercredi apres avoir payer la caution.

Quelle bonne nouvelle

Santos sortira en fin d’après-midi



La famille est arrivée à la prison en début d’après-midi. Elle a alors appris que Santos ne sortirait qu’en fin d’après-midi. La caution a été versée. Il ne reste plus qu’à recevoir un dernier document pour que sa libération soit effective. Sur place, plus d’une quinzaine de journalistes font le pied de grue.

OM.net

Foot - Justice - Santos, libération retardée

Un problème administratif de dernière minute a retardé mercredi la libération de Santos Mirasierra, le supporter de l'Olympique de Marseille libéré mardi sous caution, rapportent les sites Internet du club et du quotidien La Provence. La caution de 6000 euros décidée par la juge de Madrid a été réglée dans la matinée. Mais les papiers nécessaires à la levée d'écrou n'étaient pas arrivés à la prison d'Estremera en début d'après-midi. La famille est donc ressortie du bâtiment sans le membre des Ultras. Elle devait se présenter à nouveau à 17h30.

Un avion affrété par l'OM s'est posé à 12h20 en Espagne. Se trouvaient à bord Guy Cazadamont, le directeur de la sécurité et de l'organisation de l'OM, deux neveus de Santos ainsi que Sévérine, sa compagne. Depuis leur arrivée, les proches du supporter sont assistés par son avocat espagnol, Me Erlantz Ibarrondo-Merino. La consul de France Martine Gambard-Trebucien est également présente devant le centre pénitencier ainsi que de nombreux journalistes français et espagnols.

Info:L'equipe.fr

Toujours l'attente à la prison de Madrid

C'est toujours l'attente au centre pénitencier d'Estremera. Le document manquant est arrivé à 18h00, mais depuis on attend toujours la libération du supporter olympien. Les démarches administratives sont en cours. Sa sortie ne devrait plus tarder.

info:site off

Son arrivé est prévu à 23h à l'aéroport de Marignane

L'OM a fait un match sérieux et solide mais ce niveau nécessite un attaquant de gros calibre !!!

Très grosse ambiance suite à la libération de Santos, pas de débordement et un accueil chaleureux pour les madrilènes !!!

En route pour la coupe de l'UEFA!!!

Pas de pub dans les messages, la prochaine rouge direct.

Santos est sorti de prison

Ca y est ! Le moment tant attendu est arrivé. Santos a été libéré, après le versement de sa caution et la prise en compte de tous les documents administratifs. Le supporter marseillais est sorti de prison à 19h09, a constaté notre envoyé spécial à Madrid. Sa famille est avec lui. Alors qu’une nuée de journalistes a tenté de fondre sur eux pour recueillir ses premiers mots.
Il a ensuite levé les poings au ciel, avant d’aller en direction des supporters du Rayo Vallecano venus l’accueillir aux cris de « Santi Libertad ». « Gracias a todos », leur a-t-il répondu, visiblement très ému.
Plus qu’un clin d’œil, Santos porte un t-shirt bleu frappé de l’inscription « Liberté pour les Ultras ». Il a également une écharpe de l’OM autour du cou.
Il est ensuite rapidement entré dans un véhicule pour prendre la direction de l’aéroport. Il s’est également entretenu par téléphone avec Pape Diouf, qu’il a remercié pour son soutien.

info:Om.net

Santos : "Le cauchemar est terminé"

A sa sortie de prison, à 19h10, Santos Mirasierra, a levé les bras au ciel et n'a fait qu'une déclaration : "Le cauchemar est terminé".
La situation a ensuite dégénérée avec l'agitation des médias espagnols, qui a provoqué la chute d'une reporter d'images de France 3 Méditerranée, blessée à la tête et à la jambe.

Info: La provence

Citation :

Les Ultras Marseille saluent l'ensemble des personnes qui se sont mobilisées pour Santos : Ultras, sections, groupes, supporters, anonymes, médias.
C'est ensemble que nous avons réussi.
Le Commando remercie tout particulièrement Erlantz Ibarrondo-Merino, l'avocat de Santos, les Bukaneros, mais également l'Olympique de Marseille, joueurs, staff et dirigeants, pour leur pugnacité, leur engagement
et leur acharnement.
L'association félicite Lucile, Séverine et toute la famille de Santos pour ne jamais avoir baisse les bras.
Santos est désormais libre, notre famille sera prochainement au complet !
Et c'est avec sérénité désormais que... l'histoire continue.
Merci à tous ! Allez l'OM !
Ultras Marseille

Santos : "L'attente a été interminable"

Santos Mirasierra a accordé son premier entretien d'homme libre à La Provence dans l'avion qui le ramenait ce soir de Madrid à Marignane. "L'attente a été interminable, a-t-il déclaré. A l'intérieur de la prison, rien n'était vraiment carré dans l'organisation. J'ai eu peur d'un nouveau coup de Trafalgar".

Citation :

Rib€ry et Van Buyten "soulagés" après la libération de Santos

Les deux anciens Olympiens, Franck Rib€ry et Daniel Van Buyten, qui évoluent aujourd'hui au Bayern Munich, se sont dit "soulagés" par la libération de Santos. Interrogés à ce sujet hier soir après la victoire du club bavarois à Lyon (3-2) en Ligue des champions, les deux joueurs ne cachaient pas leur satisfaction.

"J'ai appris la nouvelle de la libération de Santos avec une profonde joie, a déclaré Rib€ry. Je suis très heureux pour lui mais aussi pour toute sa famille. Ils vont pouvoir se retrouver maintenant. J’ai toujours été attaché aux supporters de l’OM. Du coup, j’ai suivi cette histoire avec beaucoup d’intérêt. Aujourd’hui c’est fini. Tout rentre dans l’ordre pour eux."

"Lorsque j’ai vu les images vidéo des incidents, je n’ai pas vu à un seul moment que ce supporter ait frappé violemment un policier, a ensuite rajouté Van Buyten. Il était plutôt là pour séparer les gens. J’ai l’impression qu’on a pris ce supporter pour cible. La condamnation dont il a été l’objet est pour moi vraiment très lourde parce qu’il ne faut pas oublier que derrière, il y a une famille et beaucoup de gens qui l’aiment. C’était une situation pas évidente. J’ai vraiment apprécié que l’OM, les médias, et tous les gens se soient mobilisés dans cette affaire. Aujourd’hui c’est une sorte de happy end et on est vraiment contents!"

La Provence

Vidéo : l'arrivée de Santos à l'aéroport

Santos Mirasierra a atterri ce jeudi matin peu après minuit à l'aéroport de Marignane. Une centaine de personnes, des supporters et des membres de sa famille, sont venus l'accueillir et écouter ses premières réactions, après 70 jours passés en prison à Madrid.

http://www.laprovence.com/articles/2008/12/11/655353-Region-en-direct-Video-l-arrivee-de-Santos-a-l-aeroport.php

Bonne nouvelle,maintenant il a encore un procés !

Sa soulage de le voir revenir à Marseille

Santos : "Que mon histoire serve de leçon"

Exclusif : dans l’avion qui le ramenait à Marseille, Santos Mirasierra a accordé son premier entretien à La Provence

À l’heure de décoller de la base militaire de Torrejon, Santos Mirasierra découvre la musique de L’Antidote : "Libérez Santos". L’émotion sur son visage est saisissante. L’accélération du pilote est synonyme de liberté. D’un geste généreux, il nous tape dans la main. Santos a revêtu un T-shirt réclamant la liberté pour les Ultras. Sur son cou, l’écharpe des Ultras : "Lors de mon arrestation, la seule chose que j’ai demandé à garder, c’est elle. Elle me rattachait à mon histoire."

Le commandant annonce l’heure d’arrivée à Marseille pour minuit. À 600 km/h au-dessus de Barcelone, à mi-chemin entre la prison de sa souffrance et la ville de sa passion, Santos Mirasierra a sabré le champagne. Dans l’avion, un chant fuse : "On a libéré, on a libéré, on a libéré, Santi".

Aux côtés de Séverine, sa compagne, Santos a accordé sa première interview d’homme libre à La Provence. La voici en exclusivité :

- Comment avez-vous vécu cette dernière journée en prison ?

Santos Mirasierra : Avec le stress. L’attente a été interminable. On voit le bout de tunnel, mais il manque toujours une heure, une lumière. Sur ma télé, je voyais défiler les images des médias présents à l’extérieur. Il y avait du mouvement...

- Quand avez-vous appris que vous sortiez ?

S.M. : A 17h. En sortant de la cellule pour me rendre au quartier libre, un membre du personnel m’a dit : "Mirasierra, tu descends avec tes affaires."

- La sortie de la prison vous a-t-elle impressionné ?

S.M. : Il y a une vague humaine, des micros, des caméras qui s’agitaient, des gens qui couraient dans tous les sens. Pendant deux mois, j’ai bénéficié d’un peu d’espace, et là, d’un coup j’étais étouffé. L’agent judiciaire qui m’a remis le papier m’avait prévenu un peu plus tôt. Je l’entends encore "Quand je suis arrivé, la presse a encerclé ma voiture."

- Avez-vous craint un instant de ne pas sortir ?

S.M. : À l’intérieur de la prison, personne ne savait comment se passerait la journée. Rien n’était vraiment carré dans l’organisation. J’ai eu peur d’un nouveau coup de Trafalgar.

- Quelle a été votre première pensée ?

S.M. : Ça y est, j’y suis. Avec tous les miens autour de moi, je me suis senti rassuré.

- Avez-vous appris votre libération sur le télétexte ?

S.M. : Oui, c’est vrai. On m’avait remis en main propre la décision du juge me condamnant à trois ans et demi, quelques minutes auparavant. Avant de quitter la cellule, j’ai rallumé la télé et j’ai zappé. Je suis tombé sur l’annonce de ma libération sous caution. J’ai toujours appris les décisions me touchant par la télé.

- Comment vivez-vous ces premières heures de liberté ?

S.M. : Je profite de mes proches, je parle de la vie dehors.

- Quand comptez-vous reprendre le cours normal de votre vie ?

S.M. : Ça ne dépend pas que de moi. J’aimerais le plus rapidement possible et reprendre mon petit train-train peinard et sans histoire.

- Et votre boulot ?

S.M. : J’aimerais disposer d’une semaine ou deux pour souffler, prendre du temps avec les miens.

- Avez-vous eu peur de le perdre ?

S.M. : Les premiers temps, quand on parlait seulement de mon interpellation, de mon incarcération, oui, j’ai craint de tout perdre. Mais, j’ai vite été rassuré. [

- En décollant, vous écoutiez la chanson de L’Antidote...

S.M. : Au fil des rimes, je revoyais les images de cette terrible soirée. En l’écoutant, j’ai l’impression qu’il était là, qu’il a assisté à tout ce qui s’est passé.

- Serez-vous à Lyon dimanche ?

S.M. : Je vais y réfléchir. Je suis dans le même état d’esprit qu’un cycliste qui chute lourdement de vélo, il y a tout un processus à se réapproprier. Parfois, cela prend du temps. Aller au stade, c’est retrouver un environnement, un contact avec la police et j’en aurai peut-être peur après ce que j’ai traversé.

- Revenons à ce qui s’est passé devant la prison au moment de votre sortie. Cela vous a-t-il paru démesuré ?

S.M. : J’ai trouvé cela complètement fou. Les journalistes se battaient pour être au premier rang. Et il y a eu la chute de Valérie, de France 3. Elle est tombée et personne ne s’est retourné pour l’aider ou prendre de ses nouvelles. C’est inouï.

- Que vous a dit Pape Diouf, que vous avez eu rapidement au téléphone ?

S.M. : De profiter de ma famille, de m’occuper d’eux, de rattraper les moments perdus. J’aurai bien le temps de penser à autre chose.

- À chaud, que vous reste-t-il de cette histoire ?

S.M. : La violence des charges policières. Cette image est restée gravée et elle est lourde. Je retiens aussi le comportement des journalistes espagnols. J’avais une vision de la presse française, que je trouvais, pardonnez-moi, un peu charognarde. Mais eux, c’est pire. J’étais l’Ultra recherché par toutes les polices d’Europe. Aucun n’a essayé de savoir qui j’étais, aucun ne s’est inquiété de me demander ce que je pensais.

- Une histoire particulière comme la vôtre appelle forcément un livre. Y pensez-vous ?

S.M. : Non, je n’ai pas la tête à écrire. J’espère simplement que cette affaire servira de leçon. Quelque part, c’est la victoire des Ultras sur la répression.

La Provence

Bonne interview, sa fait plaisir de savoir que c'est la fin qui aurait jamais du avoir de commencement.

Le cauchemard est fini pour lui reste a savoir ce que va donner le procés mais je pense qu'il y a pas lieu de s'inquiéter, il etait tant, franchement il à beaucoup subis pour rien c'est ça le pire.

Quand est ce qu'il aura lieu le procés? désolée si jamais vous l'avez déjà dit.

Une lettre de menaces reçue par la famille Mirasierra

Hier, la famille Mirasierra a reçu une lettre de menaces, postée le 9 décembre, soit le jour de l'annonce de la libération sous caution de Santos Mirasierra. Rédigée en espagnol, elle est un mélange d'insultes et de menaces à destination de plusieurs membres de la famille.

"Quand tu passeras par les rues de Miramas ou de Marseille, regarde toujours devant et derrière toi, surtout derrière, parce que nous te donnerons un coup de couteau dans les reins." Plus loin, il est question de vengeance "contre toute la famille".

La famille Mirasierra, recomposée depuis le retour de Santos à Miramas, dans la nuit de mercredi à jeudi, portera plainte, vraisemblablement aujourd'hui.

info:la provence.

Faut qu'ils arrêtent leurs délires il est innocent ils sont malades, p**ain c'est quand qu'il vont le laisser tranquille, et le cauchemard continu