[Tour préliminaire match Aller] SK/Brann - OM {0-1}

[SK Brann/OM] Encore un effort !


C’est au prise d’une fin de saison presque sans faute, et avec beaucoup de réussite, que l’OM a pu une nouvelle fois prétendre à la Champion’s League. En effet après être très mal parti, le limogeage d’Emon et l’arrivée de Gerets a sonné comme le réveil de l’OM qui a petit à petit grignoté les vingt points qui le séparait d’une vaillante équipe Nancéenne. Et au soir de la 38ème journée, après un ultime match de folie au Vélodrome face aux Strasbourgeois l’OM finissait sur le podium et validait son billet pour le tour préliminaire.


Pour cette nouvelle saison, l’OM a encore une fois excellemment bien géré son inter saison en gardant ses cadres (Mandanda, Niang, Valbuena, Cissé, Taiwo etc….) et en enrôlant le jeune Lyonnais Ben Arfa après un long bras de fer avec Lyon et Koné la pépite Ivoirienne après la aussi un très long bras de fer avec Nice. En plus à coté de cela, l’OM a su cibler ses défauts. En défense : l’an passé l’OM n’y arrivait pas, c’est donc logiquement que l’OM s’est positionné sur le libéro Brésilien de Lens Hilton, et sur le Marocain Elamine Erbate. Cependant cette défense reste incomplète, et Bonnart n’a toujours pas de remplacent souhaitons lui que ses soucis de dos ne l’ennui pas plus sinon l’OM sera très amoindri.

C’est donc avec ce groupe que Gerets est parti en stage à Evian pour préparer cette saison, et préparer ce fameux tour préliminaire. Pendant l’inter saison, l’OM a eu droit à 9 matchs amicaux qui ont démontré beaucoup de choses. La première c’est que lors des trois premiers matchs la défense est toujours aussi bonne avec 8 buts pris en trois matchs…. Gerets avait beau invoquer le travail foncier énorme effectué, les lacunes étaient toujours là. Néanmoins, petit à petit l’OM montait en régime et commençait à mieux jouer à mieux se trouver et à prendre moins de buts en tous cas c’est ce que le tableau d’affichage disait car si on regarde de plus près le bilan défensif de ces amicaux n’est pas reluisant : 10 buts pris en tout, soit une moyenne d’un peu plus d’un but par match. Pour l’attaque, comme l’an passé, l’OM possède un potentiel fort intéressant et capable de mettre buts sur buts (12 en tout, la aussi un petit plus d’un par match.). Et comme s il fallait une preuve encore plus flagrante de ce potentiel offensif, et de cette fragilité défensive, l’OM en se déplaçant à Rennes a montré les deux choses. Capable de marquer trois buts en première mi-temps, et un dans les arrêts de jeu, et en encaissant autant (sic)…..


Pour ce tour préliminaire, il ne faudra pas oublier la phrase que je n’arrête pas de répéter qui est : La base d’une bonne équipe est avant tout une bonne défense et l’appliquer. Car si on veut pouvoir encore retoucher les étoile de l’Europe, prendre un minimum de but et en marquer un maximum sera la condition sine qua non pour ne pas revivre les mêmes mésaventures que par le passé avec notamment le Mlada Boleslav. Donc si Gerets est bel et bien un sorcier, à lui de trouver la bonne formule pour régler tous les problèmes !

Rock1

il faut marquer a tout prix et ne pas encaissès si on gagne chez eux ,on a une chance de se qualifiè ,en tout cas la defense me fait peur

Bon édito Mister Rock.

Une défense Hilton - Civelli, et rien ne passe.

Très bon édito ! J'aimerais bien voir ce 11 :

Niang et Koné incertains pour Bergen

Selon La Provence, les deux attaquants africains de l'OM ne s'entraineront pas aujourd'hui et demain à cause d'une contracture à un mollet pour Niang et d'une entorse au genou pour Koné.
Le staff prendra une décision quant à leur participation au match de Ligue des Champions juste avant le départ pour la Norvège. Néanmoins, étant donné l'importance de cette rencontre et la nature des blessures, il y a de fortes chances que le Sénégalais et l'Ivoirien aillent à Bergen.

OMplanete.

Déconnons pas, si c'est vraiment grave pas de risques.

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L'OM à deux matches du bonheur
Publié le lundi 11 août 2008 à 07H16

Match aller du tour préliminaire de la C1, mercredi à Bergen, chez les champions de Norvège

L'équipe olympienne dans son joli maillot lavande, le 28 août 2003, au Vélodrome, avant d'obtenir sa qualification pour la Ligue des champions, alignée derrière le capitaine Fabio Celestini.

Le tour préliminaire, c'est un vrai piège. D'abord, parce que beaucoup de gens ne retiennent que la seconde partie de l'énoncé: Ligue des champions. Or, ça, c'est le but, l'objectif à atteindre. Mais d'abord, le passage obligé, c'est ce tour préliminaire, ces deux matches de barrages, qui ne sont pas gagnés d'avance.

Surtout si l'adversaire a l'apparence modeste, comme Brann Bergen. Croire que c'est arrivé, c'est très dangereux. Même si, se frotter à Liverpool, comme Toulouse l'an passé, est encore plus compliqué. Fabio Celestini, qui était capitaine de l'OM en août 2003, quand l'OM a disputé le tour préliminaire face à l'Austria de Vienne, se souvient du danger que courait son équipe.

"Quand notre qualification pour l'Europe avait été définitivement obtenue au Vélodrome en mai, elle avait été saluée par un feu d'artifice. On s'imaginait en Ligue des champions. Trois mois plus tard, on s'est réveillé en comprenant que ce n'était pas encore acquis."

"Nous aurions pu nous qualifier directement, si nous n'avions pas perdu lors de la dernière journée à Nantes", ajoute Johnny Ecker, qui était de l'aventure. "Le problème, c'est qu'il fallait battre l'Austria. À Marseille, personne n'aurait accepté que l'OM ne passe pas.""La pression était terrible, ajoute Celestini.C'est la seule et unique fois où Robert Louis-Dreyfus est venu me voir avant le match en me disant quelque chose comme : "Ne déconnez pas!"

Il avait dit aux dirigeants de tabler sur la Ligue des champions dans leur budget et qu'il comblerait le trou si on ne passait pas. Le recrutement, avec Drogba, Mido, Christanval, avait été onéreux. Alors, à titre personnel, il jouait gros..." "J'avais déjà joué ce tour préliminaire avec Lille, deux ans avant, rappelle Sylvain N'Diaye, et c'était tout à fait différent car nous n'étions pas du tout favoris face au Parme de Lamouchi, Boghossian, Micoud. le Losc était le petit Poucet, Benoît Cheyrou doit encore s'en souvenir.

"En 2003, l'OM ne pouvait pas se permettre de perdre, sachant tout ce qu'il y avait derrière. Joueur ou spectateur, tu sais quel bonheur peut en découler, alors, ça augmente la difficulté." "En plus, avec Lille, ajoute Ecker, qui avait marqué pour le Losc à Parme,nous avions bénéficié du fait que les Italiens ne soient pas totalement prêts." "Le niveau de préparation évolue d'est en ouest", nous avait dit alors Guy Roux, qui avait connu cet exercice avec Auxerre, un an avant l'OM.

"Les équipes qui ont commencé leur championnat sont avantagées." Ce sera précisément le cas de Brann Bergen, qui peut réduire son écart théorique avec l'OM, grâce à son état de forme plus avancé.C'est d'ailleurs à cela qu'Éric Gerets attribue la domination de l'OM sur le Zénit Saint-Petersbourg, au match aller à Marseille, en mars dernier. Justement, Alain Perrin,entraîneur de l'OM en 2003, avait expliqué lors de sa conférence de presse au stade Ernst-Happel, la veille du match, qu'il avait remarqué en lisant "La Provence", que le match aller était essentiel.

"De fait, il nous avait remonté les bretelles à la mi-temps, parce que nous avions raté trop d'occasions, rapelle Fabio Celestini.Quelques nouveaux joueurs, comme Didier Drogba avaient été un peu décontenancés par cette manière de vouloir nous maintenir sous pression." Alain Perrin n'avait pourtant pas tort. La victoire à l'aller (1-0 à Vienne, but de Sytchev, sur une passe de Fernandao, alors que Drogba était remplaçant !), avait failli ne pas être suffisante.

"Steve Marlet avait été présenté juste avant le match retour, comme un acteur hollywoodien"[/color=blue], sourit encore N'Diaye. [color=blue]"Mais heureusement que Vedran Runje nous avait sorti deux ballons chauds", soupire Johnny Ecker.L'OM était passé par un trou de souris (0-0), avant de retrouver le Real, Porto, le Partizan, puis atteindre la finale de l'UEFA. Une saison tient à si peu de choses...

La Provence

Ils veulent prêter Ayew et ils vont jouer comment si Baky et Mamad' sont blessés ?? Djibril tous seul comme attaquant. Il aura trop de pression sur lui.

Très bon edito

Le groupe pour la Norvège

Voici le groupe de 19 joueurs qui part ce lundi pour la Norvège, en vue du 3e tour préliminaire de la Ligue des Champions.

Gardiens : Mandanda, Riou
Défenseurs : Taiwo, Hilton, Erbate, Bonnart, Civelli, Zubar
Milieux : Cheyrou, Cana, Zenden, Kaboré, M'Bami, Ziani, Ben Arfa
Attaquants : Niang, Cissé, Grandin, Koné

Site off

Tous dans le groupe, donc tous opérationnel.

Pas forcément.



Les Olympiens sont en Norvège



Partis en milieu d’après-midi, après un dernier entraînement dans la matinée à la Commanderie, les Olympiens sont arrivés en Norvège à 19h00. Après trois heures de vol, et un magnifique survol des fjords. Ils ont été accueillis à Bergen par une fraîche température et un ciel couvert. La pluie, en revanche, avait cessé.







OM.net

Brann Bergen-OM : Niang a 80% des chances de jouer

Laissés aux soins la veille, Niang et Koné se sont cependant entraînés, hier matin à La Commanderie, avant le départ pour Bergen. Une séance classique pour Koné qui a pu travailler avec le groupe et même prendre part aux ateliers avec ballon. Du coup, sa participation au match de demain n'est pas remise en cause.

Un doute subsiste, en revanche, pour Niang. L'international sénégalais s'est contenté de trottiner, hier, et il effectuera un dernier test ce soir, lors du dernier entraînement d'avant-match. Compte tenu de la nature de la blessure, le staff médical a décidé de procéder avec la plus grande précaution. Les chances de voir Niang évoluer face à Bergen, demain, sont tout de même estimées à 80 %.

Souffrant d'une cheville après le match de Rennes, Vitorino Hilton, lui, est tout à fait rétabli. Il est partant certain pour le premier rendez-vous européen de l'OM cette saison.

laprovence

Une question d'équilibre ?

D'entrée, l'OM a joué avec nos nerfs avec ce match fou à Rennes. Un score 4-4 qui s'explique. La défense n'était pas en place, mais l'équipe aurait pu être mieux équilibrée. Peut-on s'attendre à des changements ?

Du stade de la route de Lorient, au canapé des salons, en passant par l’écran géant du Prado sans oublier les bars qui avaient la chance de pouvoir diffuser le match, tous les supporters de l’OM ont vécu avec fièvre la soirée de samedi. Et une certitude, un poil amère : leur OM n’a pas changé. Toujours capable du meilleur comme du pire. Ils l’avaient laissé un soir de mai après un match fou contre Strasbourg au Vélodrome, ils le retrouvent deux mois plus tard à Rennes pour un match encore plus fou… mais à l’épilogue plus navrant.

Car aussi bien du côté des supporters que des joueurs, il va falloir digérer cette impensable égalisation rennaise à 4-4. On avait sauté tellement haut après le but de Grandin que la chute en fut encore plus douloureuse, lorsque Cheyrou sauta plus haut que Cana pour catapulter le ballon au fond des filets de Mandanda. Oui, on est tombé de haut. Oui, il faut redescendre sur terre : l’OM doit faire encore de gros réglages…

Tout le monde s’accorde ainsi à dire que la défense, et en particulier le duo Hilton-Erbate, est le principal accusé de cette journée porte ouverte en Bretagne. Sur le sondage en ligne sur Le Phocéen, il est posé la question de savoir si l’OM n’a pas plutôt joué trop offensif samedi soir : les internautes ont répondu en majorité (plus de 60%) que non, la défense est elle-même seule en cause, contre plus de 30% qui ont répondu que oui, il fallait équilibrer l’équipe, surtout à 1-3.

Sans maîtrise la puissance n'est rien

De notre côté, on pense qu’Eric Gerets aurait pu dès la mi-temps faire rentrer Benoît Cheyrou, à la place de Baky Koné, diminué depuis le quart d’heure de jeu. Un changement qui n’est intervenu qu’après la réduction du score rennaise. On a vu alors que dès l’entrée en jeu de Cheyrou, l’OM a repris le contrôle du jeu, chose qu’il n’avait pu faire au retour des vestiaires et qui s’est avéré préjudiciable. "Nous avons perdu notre équilibre en deuxième période. J’ai du faire entrer Benoît et nous étions alors mieux, je trouve" reconnaît d’ailleurs Gerets, sur le site officiel du club (www.om.net). Et ne dit-il pas aussi : "Le fait que tu ne maîtrises pas le jeu pendant un certain temps, et qu’il y ait la panique, c’est ça qui m’a tracassé le plus".

On n’a par conséquent pas assez insisté sur l’importance de ce 2e but rennais qui a permis aux les joueurs de Guy Lacombe de se relancer rapidement et d’y croire jusqu’au bout. Et on est d’autant plus amer que ce but est entaché d’un grossier hors-jeu non sanctionné (sur le décalage de Marveaux vers Fanni). Un but évitable et non valable, ça fait beaucoup.

Après, on peut toujours revenir sur l’incroyable malchance des Olympiens sur le 3e but rennais avec le dégagement d’Erbate en plein sur la tête de Mandanda, ou encore sur la très malvenue tentative de roulette de M’Bami entraînant le 4e but des Bretons. Mais le constat est là : l’OM n’a offert aucune assurance défensive. "C'est tout le bloc défensif qui n'a pas été à la hauteur" précise Gerets, sur Eurosport.fr. "Ça va même au-delà car pratiquement tous les joueurs sont concernés lorsque l'on encaisse un but. Car l'action part souvent de la moitié de terrain adverse. Il y a eu des fautes. Elles n'ont pas été commises par maladresse, mais parce que nous avons trop joué avec le coeur et pas assez avec la tête" estime-t-il. Les Olympiens ont ainsi eu droit à une séance vidéo très détaillée dimanche à la Commanderie. Les erreurs ont été pointées, les joueurs mis face à leurs responsabilités.

Des changements mercredi ?

Tout cela va-t-il amener un changement pour le match de mercredi à Bergen face à Brann ? "Je ne peux pas rester les bras croisés. Nous devons changer quelque chose dans notre secteur défensif. C'est une évidence" répond Gerets. Cela ne passera pas par des changements individuels en défense mais par une modification du milieu de terrain et de l’attaque. "Comme c’est un match pour la Champions League, à l’extérieur, tu peux donner un peu plus de sécurité à ta défense en commençant avec un bloc de trois milieux défensifs" confirme Gerets. Cheyrou, voire Kaboré pourraient donc faire leur apparition dans le onze de départ. Même si cette solution enlèverait la position de meneur de jeu, occupée avec grand succès par Ben Arfa samedi.

Gerets pourrait alors trouver la parade en jouant en 4-3-1-2, l’ancien Lyonnais restant en 10 derrière une attaque à deux pointes. Tout dépendra aussi de la forme de Niang et Koné, tous deux ménagés depuis dimanche. Soit Gerets joue la sécurité après ces quatre buts encaissés à Rennes mais se prive un peu de son potentiel offensif, remarquable samedi, soit il laisse en place le même système en espérant que la défense se ressaisisse face à un adversaire quand même bien limité sur le plan offensif. Des interrogations qui doivent trotter dans la tête de Gerets, à la recherche de l’équilibre de son équipe en ce début de saison.

Lephoceen

Bon édito
Malheuresement je ne pourrais pas voir le match
Une victoire ferais du bien

Beau stade

C'est un beau petit stade

L'OM va affronter un club en crise demain @ RMC

Pour une fois que c'est pas l'inverse.
On a eu un des plus facile tirage, on sait qu'il faut être méfiant mais faut dire ce qui est : on joue notre saison donc il va falloir sortir tout ce que on a fait en préparation pour la mettre en valeur pour la suite.

Vidéo de la balade des olympiens à Bergen:

Balade à Bergen des joueurs de l'OM

Foot - C1 - «Battre Marseille serait historique»

Mons Ivar Mjelde, l'entraîneur de Brann Bergen, qui affronte Marseille mercredi en match aller du 3e tour préliminaire de la Ligue des champions, a déclaré qu'une victoire de son équipe contre l'OM «serait historique» et ouvrirait «une des plus grandes pages de l'histoire de son club». «J'ai vu leur match à Rennes, at-il ajouté. Il s'agit bien sûr d'une bonne équipe, bien organisée, d'un plus grand club que Bergen. Nous avons donc du respect, mais pas trop non plus...»

S'il assure redouter la vitesse des attaquants olympiens, il pense aussi que le jeu offensif prôné par l'OM puet faire ses affaires. «Les attaquants courent vite, sont vraiment en mouvement, Cissé et Ben Arfa, notamment... Si tu leur laisses trop d'espaces, cela devient évidemment vite dangereux. Il faut les maintenir loin de notre but. Mais la manière dont Marseille attaque peut précisément nous donner des chances...»

L'équipe

En tous cas j'espère qu'ils ne marqueront pas l'histoire du club demain

moi je crains pour notre défense avec ce que j'ai vu a rennes.
Par contre notre attaque

Quelqu'un saurait il sur quelle chaine est retransmis le match svp?

direct 8.

Dans le sillage de Ben Arfa @ La Provence.