[News en vrac]

Foot - URU : Dario Silva dans un état critique

L'attaquant uruguayen Dario Silva se trouve entre la vie et la mort après avoir été hospitalisé dimanche à Montevideo suite à un accident de la circulation. «Il a subi une intervention chirurgicale et a été placé en état de coma artificiel en raison de son état grave», a indiqué une source de l'hôpital. Âgé de 33 ans, le joueur, qui évoluait à Portsmouth la saison dernière, conduisait sa camionnette en compagnie d'Elbio Pappa et Dard Pereira, deux anciens joueurs, légèrement touchés.

Dario Silva passait ses vacances en Uruguay en attendant de retrouver un club après dix années passées en Europe à Cagliari, l'Espanyol Barcelone, Malaga et au FC Séville notamment. Dario Silva compte 49 sélections avec l'équipe d'Uruguay, dont 15 buts marqués. Il était titulaire à la Coupe du monde 2002 et avait notamment été aligné d'entrée contre l'équipe de France, le 6 juin à Busan (0-0). (Avec AFP)

Lequipe

Bon, et prompt, retablissement.

Foot - URU : Dario Silva vivra

L'hôpital de Montevideo qui a pris en charge l'international uruguayen Dario Silva a annoncé que la vie du joueur n'était plus en danger après le très grave accident de la route dont il a été victime dimanche. Dario Silva, 33 ans, n'est plus sous assistance respiratoire et a pu profiter de ses proches, mais il n'est pas encore au courant de son amputation de la jambe droite.

Lequipe

La soeur de Ricardo Oliveira (AC Milan) enlevée à Sao Paulo

SAO PAULO (AFP) - La soeur de l'attaquant brésilien de l'AC Milan (1re div. italienne de football) Ricardo Oliveira, Maria Lourdes da Silva Oliveira, 35 ans, a été enlevée mercredi à Sao Paulo par deux individus cagoulés, a annoncé le mari de la victime.

Aucune demande de rançon n'a été formulée pour l'instant, selon la même source.

Cet enlèvement est le huitième en quelques mois pour un proche de joueur professionnel brésilien.

Le dernier date de début septembre, quand la soeur de Michael, arrière gauche de Palmeiras, avait été enlevée. Auparavant, les mères de Robinho (Real Madrid), Grafite (ex-Sao Paulo, aujourd'hui au Mans), Kleber (Santos), Rogerio (Fluminense), Marinho (Corinthians) et Luis Fabiano (Séville/ESP) avaient connu pareille mésaventure.

Toutes ces affaires se sont terminées par la libération des personnes séquestrées, quelquefois contre versement d'une rançon.

Yahoo

c'est la mode là bas [News en vrac] Hein22

Djorkaeff va arrêter sa carrière

Youri Djorkaeff arrêtera sa carrière américaine à la fin de la saison, un événement qui devrait coïncider avec la fin de sa carrière tout court, à 38 ans. Le champion du monde 1998 et d'Europe 2000 en a fait l'annonce mercredi sur le site officiel de son club, les New York Red Bulls. C'est donc samedi sur la pelouse de Kansas City que Djorkaeff pourrait définitivement raccrocher. Il n'a jamais déclaré vouloir enchaîner par une autre expérience après son séjour en MLS, mais ses déclarations sont assez explicites.

«Je rêvais de jouer au football, de gagner la Coupe du monde, d'être simplement un bon joueur, et je pense avoir réussi tout ça, dit le fils de Jean Djorkaeff. Je ne peux pas être triste après tout ce que j'ai fait dans ma carrière. Je peux me retourner et me dire que je n'ai aucun regret. C'est pour moi la chose la plus importante dans la vie.» Djorkaeff a inscrit deux buts et donné quatre passes décisives cette saison, jugée moins convaincante à New York que la première. Il avait signé son dernier contrat en février 2005. La carrière de Djorkaeff aura duré 22 ans.

Lequipe

[News en vrac] Hi

le Snake

Je savais même pas qu'il jouait encore

22 ans de carriere, pas mal sa, merci pour le service que tu nous a rendu en 1998. [News en vrac] Yep9

Légende Inscription : 17/07/2006 Lieu : Chez Wam Niveau d'alerte :

oui, une belle carrière aussi.

C'est la mise à la retraite de tous les champions du monde 98 cette saison !!! [News en vrac] Hein22

Foot - ITA : Lippi veut reprendre du service

Actuellement en congé sabbatique, Marcello Lippi devrait reprendre du service la saison prochaine. L'ancien sélectionneur italien, sacré champion du monde en juillet dernier en Allemagne avec la Squadra Azzurra, a avoué sur le site web du quotidien italien La Gazzetta dello Sport son envie d'entraîner à nouveau.

«A partir de février ou mars, j'envisagerai toutes les options qui se présenteront à moi, afin de me lancer dans une nouvelle aventure avec un club sérieux, que ce soit en Italie ou à l'étranger», a-t-il annoncé. A 58 ans, le Toscan, qui a toujours entraîné en Italie, a toutefois précisé qu'il ne souhaitait pas entraîner Manchester United. (avec AFP)

Lequipe

Ferenc Puskas est mort

Légende du football hongrois, Ferenc Puskas est mort. L'information a été annoncée vendredi peu avant 9 heures par l'agence hongroise de presse. Âgé de 79 ans et souffrant de la maladie d'Alzheimer, il avait été admis mercredi aux soins intensifs d'un hôpital de Budapest. Le "Major galopant" est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, même si la relative rareté des images filmées à l'époque de sa grandeur, entre la fin des années 40 et les années 60, n'est pas faite pour rendre justice à l'incroyable talent du leader technique de la mythique équipe de Hongrie.

L'itinéraire de Puskas épouse celle de cette première "Dream Team" de l'après-guerre, celle qui fut sacrée championne olympique en 1952, vainqueur à plate couture de l'Angleterre à Wembley en 1953 (6-3), et finaliste d'une Coupe du monde qui lui était promise, en 1954. La symphonie hongroise est inachevée depuis le "miracle de Berne" (victoire de la RFA 3-2), qui aura empêché Ferenc Puskas de remporter un titre mondial, comme Beckebauer, Maradona ou Zidane. Il avait incontestablement leur rayonnement. Les statistiques de Ferenc Puskas laissent rêveur : il a inscrit 83 buts en 84 sélections pour l'équipe de Hongrie de 1945 à 1956, 511 buts en 533 matches de championnat (Hongrie et Espagne) et 41 buts en 36 matches de Coupe d'Europe avec le Real Madrid. Il a notamment inscrit quatre des sept buts de la victoire (7-3 !) des Madrilènes en finale de la Coupe des clubs champions en 1960 contre l'Eintracht Francfort (les trois autres avaient été marqués par Alfredo Di Stefano).

Particularité de sa carrière, Puskas a porté le maillot de deux équipes nationales. Outre ses nombreuses sélections en Hongrie, il a également disputé quatre rencontres avec l'Espagne. Il avait quitté la Hongrie après les événements de Budapest de 1956 (invasion par les chars soviétiques). Puskas a également eu une carrière d'entraîneur. Il a disputé (et perdu) la finale 1971 de la Coupe d'Europe des clubs champions avec le Panathinaïkos face à l'Ajax d'Amsterdam. Un jour de 1996, lors d'un match de Coupe des coupes diputé par Nîmes à Budapest contre le Kispest-Honvéd FC, le retraité Puskas avait été interviewé quelques minutes sur TF1. Il assistait au match, éternel amateur de football. Il y eut quelques blancs à l'antenne. Thierry Rolland, l'homme qui en a vu d'autres, pleurait, bouleversé par cette rencontre inattendue. Pour toute une génération, Puskas était une légende vivante. Il est maintenant une légende éternelle.

Lequipe

Un très grand nous quitte [News en vrac] Icon_co2

RIP

Oui

Quelques clichés sur sa carriere

[News en vrac] Puskas_milan_ok

FERENC PUSKAS (ici le numéro 10) s'est éteint vendredi 17 novembre à l'âge de 79 ans, avec la stature d'un des plus grands joueurs de l'histoire du football. Il était né le 2 avril 1927 à Budapest et allait devenir, notamment en tant que capitaine de la Hongrie, puis en tant qu'attaquant vedette du Real Madrid, l'une des plus grandes vedettes du football mondial. Sur ce cliché de 1964, il dispute un quart de finale de C1 contre l'AC Milan (4-1, 0-2).

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WEMBLEY, le 25 novembre 1953 : Puskas et la Hongrie, champions olympiques en titre, font s'abattre la foudre sur le monde du football en devenant la première équipe à battre l'Angleterre, chez elle. Le score est éloquent (6-3). La manière, un enchantement. « Jamais la grâce n'avait autant touché une équipe » écrit L'Equipe dans une séquence souvenirs en 1999.

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« MAGIQUES MAGYARS ». Puskas et la Hongrie, ici à Berne lors de la finale de la Coupe du monde 1954, auront formé l'une des plus grandes équipes de tous les temps. Après un record de 32 rencontres internationales sans défaite, la Hongrie stoppe sa série sous le déluge suisse. «En six ans, nous n'avons perdu qu'un match mais c'était le plus important», dira Puskas.

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LE MIRACLE DE BERNE. Peut-être le match de football le plus inimaginable de l'histoire. Imbattable, promise au titre mondial, la Hongrie perd devant la R.F.A. (2-3) après avoir battu cette même équipe 8-3 au premier tour. Puskas, victime d'une entorse de la cheville, est incertain jusqu'au bout. Il joue. Il ouvre le score. La Hongrie mène 2-0 à la 8e minute. Elle perdra à la 85e.

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CHOC DES LÉGENDES. Star de son vivant, Ferenc Puskas salue l'inventeur de la Coupe du monde, le Français Jules Rimet, juste avant la finale de 1954, cinquième Coupe du monde de l'histoire. Ce trophée est pourtant le seul que Puskas ne remportera jamais, lui qui avait l'envergure des tous grands

[News en vrac] Puskas_fra_hon_1956

VICTOIRE A COLOMBES. Le 7 octobre 1956, à quelques jours des événements de Budapest, la Hongrie vient affronter l'équipe de France en match amical, à Colombes. C'est la fin d'une génération en Hongrie, le début d'une autre en France (elle ira en demi-finale à la Coupe du monde 1958). Machos et Kocsis, à quatre minutes de la fin, donnent la victoire à la Hongrie (2-1), malgré l'égalisation de Cisowski pour les Bleus. Puskas échange les fanions avec Roger Marche. (L'Equipe)

[News en vrac] Puskas_1956_lequipe

L'EXIL EN 1956. Quand il lit "L'Equipe" sur une table parisienne lors de son séjour en France, Puskas ne sait pas encore que son destin va bientôt basculer. Lorsque les chars soviétiques pénètrent dans Budapest, le Honved est en tournée à l'Ouest. Puskas choisit l'exil. La grande équipe de Hongrie est morte. La carrière de Puskas est mise entre parenthèses pour deux ans. Le Real Madrid l'attire en 1958. Il a trente ans, et des kilos en trop. Pour beaucoup, cela ressemble à une main tendue. C'est le début d'une deuxième carrière.

[News en vrac] Puskas_73_francfort

FRANCFORT, LE 18 MAI 1960. Ferenc Puskas s'inscrit dans la légende avec la finale de Coupe des champions la plus prolifique de l'histoire. Le Real Madrid broie l'Eintracht Francfort (7-3). Puskas inscrit quatre buts : personne d'autre que lui n'a réalisé cet exploit en finale. La finale de Hampden Park est par ailleurs celle ayant enregistré la plus forte affluence : 127 621 spectateurs [News en vrac] Eek

LA LEGENDE DU REAL. Le Real Madrid, en 1960, est la seule équipe à avoir remporté la Coupe d'Europe des clubs champions depuis sa création en 1956. Puskas est associé à cette équipe « imbattable » (L'Equipe du 19 mai) pour avoir participé à la victoire de 1959 (sans jouer la finale) comme il le fera en 1966. Puskas sera le meilleur buteur de la C1 en 1960, 1962 et 1964

[News en vrac] Puskas_distefano

PUSKAS ET DI STEFANO. Les deux buteurs de la finale de 1960, partenaires au Real Madrid, étaient les deux plus grands joueurs de l'après-guerre, les premiers d'une série qui se prolongerait avec Pelé, Beckenbauer, Cruyff, Maradona et les autres. Le Ballon d'Or a été inventé trop tard pour lui, en 1956, alors qu'il a 28 ans. Il terminera 2e en 1960 (derrière Suarez), 5e en 1961 et 7e en 1959.

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LES ARTISTES ASSOCIÉS. Raymond Kopa, Alfredo Di Stefano et Ferenc Puskas auront conçu et réalisé ensemble un nombre incalculable de buts. Gaucher comme Kopa, Puskas évoluait à côté de l'ailier français, juste derrière le buteur hispano-argentin, et se servait de son dribble phénoménal pour se retrouver souvent en situation de marquer. Son sang froid faisant le reste.

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ESPAGNOL EN 1962. Ferenc Puksas a la particularité d'avoir joué la Coupe du monde sous deux maillots, la Hongrie, puis l'Espagne en 1962. Avec Gento, son équipier au Real, recordman des victoires en Ligue des champions, il est éliminé au premier tour du Mondial chilien. Puskas aura joué 4 fois pour l'Espagne.

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JUBILE A MADRID EN 1969. Quand il arrête sa carrière à 38 ans, Ferenc Puskas reçoit une place à vie dans le stade Santiago-Bernabeu. Il est titulaire d'un singulier record : Puskas est le meilleur buteur de l'histoire des premières divisions avec 511 buts en 533 matches. [News en vrac] Eek

Il aura été sept fois meilleur buteur, en Hongrie ou en Espagne.

[News en vrac] Puskas_entr_panathinaikos

UN ENTRAÎNEUR GLOBE-TROTTER. Dès la fin de sa carrière de joueur, Puskas entame une carrière d'entraîneur longue et exotique. Il dirgera Alicante (1969), les Canadiens de Vancouver Royals (1969), San Francisco (1969), le Panathinaïkos (1970-74) qu'il hisse jusqu'en finale de la Coupe des champions en 1971, le club chilien de Colo Colo (1974-76), Murcie (1977), l'AEK Athènes (1978-79), Al-Masri en Egypte (1979-84), trois clubs paraguayens (1985-1987), enfin le Panhellenic Melbourne (1988-91). Il sera un sélectionneur de Hongrie intérimaire (avril-juillet 1993).

[News en vrac] Puskas_75ans_real

UN PALMARES HORS NORME. Sur ce cliché, pris en 1978 pour célébrer les 75 ans du Real Madrid, Puskas pose avec les légendes du grand club espagnol. Son palmarès est éloquent. En plus de la C1, il a une Coupe intercontinentale (1960), six Championnats d'Espagne (1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1967), une Coupe d'Espagne (1962), sans oublier quatre Championnats de Hongrie (1950, 1952, 1954, 1955).

[News en vrac] 171106_PUSKAS_REUTERS

MORT D'UNE LEGENDE. Puskas s'est éteint victime de la maladie d'Alzheimer, nanti d'un statut de légende vivante. En 2002, pour ses 75 ans, il a eu le temps de voir le grand stade de Budapest rebaptisé de son nom. (Reuters)

Source : lequipe.fr

Il est trop triste ce topic [News en vrac] Down

il va rejoindre le paradis des meilleurs footballeurs!!

RIP a lui! [News en vrac] Snif

Foot - ITA : Prison requise contre Veron

L'Argentin Juan Sebastian Veron risque deux ans et demi de réclusion. Il est soupçonné d'irrégularités dans l'obtention de son passeport italien quand il évoluait à la Lazio Rome. Les documents qu'il avait fait valoir au consulat italien de La Plata (Argentine), pour sa naturalisation, présentent de graves irrégularités, selon l'accusation.

Deux ans de prison ont également été requis à l'encontre de son ancien président, Sergio Cragnotti, par le procureur. Les peines requises pourraient toutefois être couvertes par l'amnistie, votée cette année après les élections, et qui réduit les peines de trois ans de prison pour les délits commis avant mai 2006. La prochaine audience du procès est fixée au 12 janvier prochain.

Lequipe

Foot - ITA : Un tifosi poignardé

Trois supporters de l'Atalanta Bergame ont été blessés samedi soir, dont un gravement, après avoir été poignardés au cours de bagarres qui les ont opposés à des adversaires partisans de l'AS Roma. Les incidents ont eu lieu à l'extérieur du stade olympique romain, un heure avant le coup d'envoi.

Selon l'agence italienne Ansa, reprise par l'AFP, les événements se sont produits lorsque deux cars de supporteurs de l'Atalanta se sont trouvés bloqués dans la circulation. Des tifosi seraient alors descendus des véhicules, souhaitant probablement rejoindre l'enceinte à pied, ce qui a provoqué une rencontre avec des supporters de la Roma.

Les bagarres ont contraint les forces de l'ordre à charger et à pousser les supporters de l'Atalanta à remonter dans leurs cars. Le blessé grave et a été transporté d'urgence dans un hôpital de la capitale italienne.

Il y a bientôt douze ans, le 29 janvier 1995, un jeune supporter du Genoa âgé de 25 ans avait été tué par un tifoso de l'AC Milan âgé de 18 ans, à coups de couteau, peu avant le début de la rencontre de Serie A entre les deux équipes. L'annonce de sa mort avaint entraîné une explostion de violence dans le ville puis l'annulation de toutes les manifestations sportives dans le pays le dimanche suivant.

Lequipe

Allez ça continue [News en vrac] Down

en ce moment c'est la mode [News en vrac] Non10

Beye13 a écrit:: Allez ça continue en ce moment c'est la mode

La ca commence à bien faire [News en vrac] Ranting

Mème plus moyen d'allez voir un match de football sans risquer sa vie [News en vrac] Icon_co2

En Italie c'est pas nouveau [News en vrac] Wink2

ESP : Le père d'un joueur enlevé au Brésil

Le père de Jonatas, le milieu de terrain brésilien de l'Espanyol Barcelone, a été enlevé mardi au Brésil. Il a été attaqué à Fortaleza par trois hommes qui l'ont enlevé en voiture, d'après l'agence Globo. C'est le vingtième enlèvement de l'année dans cet Etat brésilien. Jonatas, transféré cette saison de Flamengo, se trouve actuellement en Espagne mais devrait rejoindre son pays d'origine dans les heures qui viennent. Il faisait partie du groupe retenu pour le match de mercredi en Coupe de l'UEFA face à l'Austria Vienne.

lequipe

Vive le sport [News en vrac] Yikes

C'est pas nouveau au Brésil non plus [News en vrac] Non10

Pas de tirs au but en finale de la coupe du monde ?

Joseph Blatter, le président de la FIFA, a évoqué dimanche sur TF1 l'idée de faire rejouer la finale d'un Mondial en cas de match nul à l'issue de la prolongation. L'idée de faire rejouer le match, «d'un côté, ça me faisait sourire, mais d'un autre côté, ça allait dans mon feeling, a-t-il expliqué. Que le foot, qui est dans son essence-même un jeu collectif, se termine par un jeu individuel, parce que les tirs de penalties, c'est l'un après l'autre... Cela aurait été bien, s'il n'y a pas de résultat après 90 minutes et la prolongation, qu'on attende deux jours et qu'on rejoue, mais seulement la finale».

Le président de la FIFA a ensuite évoqué le cas de Zinedine Zidane, à qui il avait infligé trois travaux d'intérêt général pour son coup de tête en finale du Mondial. Il pense à un projet avec les enfants en Afrique du Sud. «Zidane est actuellement une idole en Afrique, et en Afrique du Sud. Un des projets, c'est certainement avec les enfants, dans les townships près de Johannesbourg, aller voir les jeunes et les gens défavorisés. Je pense que Zidane est un peu africain aussi et qu'il aille là-bas, ce serait formidable». Suspendu dans un premier temps pour trois matches, Zidane a vu sa sanction convertie en trois journées à la disposition de la FIFA.

Joseph Blatter s'est enfin dit contre l'entrée des clubs en bourse, y voyant un risque avec le recours au dopage pour «gagner à tout prix. Je ne trouve pas ça bien. Le football, ce n'est pas la bourse, le football est un jeu de notre société. Pour garder les actions, il faut que l'équipe gagne. Si l'équipe perd, c'est comme dans le commerce : si vous avez des mauvais résultats, à ce moment-là il faudrait donner, comme les sociétés cotées en bourse, tous les trois mois, les résultats économiques. Et puis au bout d'un moment, ça descend, alors qu'est-ce que vous faites ? Si vous devez gagner à tout prix, vous utilisez des agents interdits pour gagner, et je parle là très sincèrement du dopage». (Avec AFP)

Lequipe.fr

ça serait bien ça ! mais ça ferais un match de + dommage car l'idée est bonne [News en vrac] Ok

Faf Larage: "Il faut envoyer le PSG en Ligue 2 !"

D'habitude, il n’a "pas le temps faut y aller", mais Faf Larage a fait le plaisir de répondre à nos questions. Après le succès du générique français de la série Prison Break et avant son album le 12 février prochain, le rappeur marseillais, bien évidemment supporter de l’OM, a confié à Foot-Interview sa vision du football actuel.

Faf, comme tout Marseillais qui se respecte, es-tu un inconditionnel de l’OM ?
Je dois reconnaître que je ne connais pas les noms de tous les joueurs, mais forcément, l’OM, c’est un club que j’ai dans la peau. Ça m’arrive même de temps en temps d’aller les voir jouer, même si là, ça commence à dater un petit peu. En tout cas, le Vélodrome, c’est vraiment LE stade qui me fait vibrer. C’est une enceinte mythique où l’on retrouve les meilleurs supporters de France. Dedans, il y a de tout. Des Noirs, des Blancs des Arabes…C’est vraiment génial de pouvoir voir un tel mélange de cultures. Tout le monde est rassemblé dans la seule optique de voir gagner son équipe.

As-tu d’autres points de comparaison ?
Je suis allé une fois au Parc des Princes. En toute objectivité, c’était beaucoup moins bien. En plus, quand j’y étais, c’était le PSG qui jouait, donc forcément… De toute façon, je le vois bien quand je vais à l’étranger. Si je trouve un maillot d’un club français dans une boutique, ce n’est sûrement pas celui du PSG… mais bien celui de l’OM. Marseille a une popularité à l’échelle mondiale.

Justement, que penses-tu de la rivalité PSG-OM ?
Je trouve ça marrant. Encore aujourd’hui, c’est toujours « la guerre », au sens figuré du terme bien entendu. Personne ne se fait de cadeaux. Personnellement, je suis pour qu’on envoie le PSG en Ligue 2, histoire de mettre un terme à cette rivalité une fois pour toute. De toute façon, ça ne sert vraiment à rien de faire mousser un club qui ne vaut rien du tout ! (Rires).

Ça serait dommage quand même !
Un petit PSG-OM, c’est toujours sympa à voir… C’est sûr que c’est un beau choc ! Maintenant, quand c’est nous qui sommes descendus en Ligue 2 après l’affaire OM-VA, personne n’a rien dit. Au contraire, côté parisien, ça jubilait…

As-tu suivi le parcours de l’OM cette saison ? Un petit peu… On était plutôt bien parti !
Dommage qu’on ait un peu baissé le pied par la suite. Maintenant, pour moi, il y a quand même quelque chose d’inexplicable ! A un moment donné, j’ai eu l’impression qu’on enchaînait les défaites. Et malgré ça, on est toujours dans le haut du classement, largement devant le PSG ! C’est vraiment incroyable ! Ça promet une belle deuxième partie de saison avec en plus l’association Cissé-Ribéry qui risque de tout déchirer. Ma seule crainte, c’est que Djibril fasse une rechute. En général, on sait que c’est difficile pour un joueur de revenir à son meilleur niveau après une blessure d’une telle gravité. J’espère que sa jambe tiendra bon.

En revanche, ça paraît difficile d’aller chercher l’Olympique Lyonnais… Pfff…
C’est même impossible. Aujourd’hui, Lyon, ce n’est pas l’équipe à battre, c’est l’équipe à abattre ! Ils sont vraiment un ou deux tons au dessus de tout le monde. Quand j’ai maté le match OM-Lyon à la télé, j’avais l’impression qu’en face, c’était un jeu vidéo. J’étais grave énervé. J’avais qu’une envie, c’était d’éteindre mon poste de télé… Les Malouda, Juninho et compagnie, ils arrivaient à faire tout ce qu’ils voulaient. C’était tout bonnement hallucinant !

Qu’est ce qu’il faudrait selon toi pour que l’OM puisse à nouveau retrouver les sommets ?
Aujourd’hui, je place tous mes espoirs dans la reprise du club. Il faut qu’on ait enfin un président qui ait les couilles de faire une bonne équipe ! Jusque là, RLD a mis beaucoup d’argent, il faut le reconnaître. Mais il l’a très mal investi. Aujourd’hui, quand je le vois, il me fait pitié. Il est beaucoup trop mou pour diriger un club comme Marseille. Ici, on a besoin d’une personne qui sache se montrer ferme de temps en temps.

Il faudrait également trouver un autre gardien !
Non ! (Rires). C’est vrai que Carrasso a fait quelques bévues cette saison, mais c’est normal. Il est encore jeune. En plus, ça ne doit vraiment pas être évident pour lui de passer derrière quelqu’un comme Fabien Barthez. Il sait que tout le monde va vouloir faire la comparaison. Y a vraiment beaucoup de pression sur ses épaules. Ce n’est pas facile à gérer.

Lorsqu’on évoque Marseille, comme en ce moment, quel est le premier souvenir qui te revient ?
Déjà, les visages de joueurs comme Waddle ou Boli qui ont vraiment marqué la ville. Je me rappelle qu’à un moment donné, ils avaient tous la "coupe à la Waddle" ! (Rires). Quand j’étais petit, j’étais également fan de Marius Trésor. Lui aussi, c’est une figure du football marseillais. Et puis, mine de rien, en France, il a quand même été l’un des premiers footballeurs noirs à jouer au plus haut niveau.

Dans tes souvenirs, il y a également un soir de mai 1993 ?
Bien sûr ! Notre victoire en Ligue des Champions face à Milan ! En plus, ce soir là, je crois que je m’en rappellerai toute a vie. J’avais des amis qui étaient sur le vieux Port et qui m’ont appelé pour faire la fête. Le seul souci, c’est que lorsque je suis parti de chez moi, j’ai laissé les clés à l’intérieur. Je peux te dire qu’à l’arrivée, j’ai vécu une soirée galère !

Ça t’arrive de taper un peu dans le ballon ?
De temps en temps, mais en général, au bout de dix minutes, je commence à baisser de rythme. Comme on ne compte pas les hors-jeu, je traîne à côté des cages en attendant la balle… (Rires). Le vrai sportif dans la famille, c’est plutôt mon frère Shurik’n. Lui, même à 40 ans, il ne s’arrête jamais de courir. A tout moment, il peut à lui seul faire la différence. En général, les mecs en face, quand ils le voient jouer, ils hallucinent !

A quand une chanson sur le foot ?
J’en ai déjà écrite une ! C’était sur le CD "OM All Star". C’était un album qu’on a fait avec beaucoup de rappeurs. Il y avait que des textes sur le football et sur l’OM. Sur mon morceau, j’avais même fait chanter Habib Bamogo ! C’était vraiment très sympa. Peut-être qu’à l’avenir, ça se refera. De toute façon, quand j’écris, je ne me pose pas la question de savoir si je dois parler de tel ou tel sujet. Ça vient tout seul. En tout cas, si ça doit arriver, j’ai déjà mon DJ. Il s’appelle Djibril Cissé ! (Rires).

Foot-Interview remercie Faf Larage, joint au téléphone par Emery Taisne, ainsi que le service promotion de M6 Interactions pour sa gentillesse et sa disponibilité.

Foot-Interview

Excellent

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