«Je ne connaissais pas énormément le club, j’ai rencontré les dirigeants de Leicester deux fois. J’ai trouvé une sérénité. Cela faisait huit mois qu’ils suivaient N’Golo Kanté. Moi qui ai une expérience anglaise, je disais à N’Golo «tu sais par respect, parce que tu es la priorité de Leicester, va rencontrer ces gens». Et ça a matché tout de suite. Mais des dirigeants français comme Jean Michel Aulas ou Vincent Labrune, quand il faut mettre de l’argent sur la table pour la vraie valeur du joueur, ils sont incapables de le mettre.»