[CdL - Finale] Olympique de Marseille - Bordeaux {3-1}

Déjà 17 ans. Le mercredi 26 mai 1993, sur le coup de 22h20, dire à un supporter marseillais, quel qu'il soit, "profite bien de ton titre de champion d'Europe, tu vas subir au moins 17 ans de sevrage à jouir devant ton titre de champion de L2 et une coupe qualificative à la C3" aurait été passé pour un fou. Alors, l'Histoire, dans ce qu'elle a de plus sadique, a voulu faire perdre en crédibilité l'OM. Le pire, c'est qu'elle a réussi.

Descente aux enfers et rendez vous manqués

Si un nom de joueur a marqué l'histoire de l'OM, c'est bien celui de Jacques Glassmann. "La balance", comme il a été surnommé un peu partout en France, en dénonçant la corruption marseillaise, a donné un coup de poignard à un club phocéen qui aujourd'hui encore a bien du mal à s'en relever : les éternels footix scandent encore aujourd'hui le vieil "OM = tricheur" dès la moindre décision contestable (aujourd'hui encore, Eydelie et Wenger, dès qu'ils en ont l'occasion, sortent "le scoop de l'année sur Marseille 1993 ...). Plus que sa popularité, c'est surtout le côté sportif de l'OM qui a été touché. Si l'OM est resté en L1 la saison suivant la dénonciation, car tout suspect est présumé innocent tant qu'il n'est pas reconnu coupable, il avait du vendre beaucoup de cadres offensifs, et le titre alla à Paris, comme pour bien achever le club une bonne fois pour toutes. Par la suite, l'OM est rétrogradé en division 2, et le titre 1994/1995 ne suffit pas à faire remonter le club en L1, la justice est plus forte que le football. C'est finalement en 1996 que l'OM obtient le droit de regoûter aux joutes de l'élite, en comptant uniquement sur son passé, le groupe champion d'Europe étant totalement éclaté. L'OM remonte alors au classement, et perd les titres 1998 et 1999 à cause de mauvaises fins de saison (ne parlons pas du PSG - Bordeaux de mai 99 ..). C'est ici, on peut le dire, que l'OM a commencé avec sa malédiction des finales : perte de la finale de la coupe UEFA 1999-2000 face à un Parme dont les joueurs ont pour la plupart fait d'énormes carrières (Gigi Buffon, Thuram, Cannavaro, Crespo ... ah, et Ousmane Dabo.), la défaite en 2004 contre Valence (qui entraînera une haine incroyable contre Collina, qui a expulsé Barthez), et celles en coupe de France en 2006 (Paris, Dhorasoo qui sort le but de sa vie ...) et Sochaux en 2007, à la suite d'un énorme excès de confiance des marseillais. N'oublions pas 2009, qui dans la bouche de Gerets sonne encore comme un rendez vous raté avec l'histoire de l'OM, cette chienne qui semble proposer ce qui se fait de mieux à l'OM avant, à la fin, de finalement dire au club phocéen : "Ben finalement tu l'auras pas." Alors, 2010, une bonne année ?

Didier Deschamps, l'homme de la situation ?

Dans le rôle du challenger de l'histoire, celui qui a su prendre la relève d'un Gerets mis KO par uppercut (ou Juninho - Benzema, c'est selon) juste avant la fin du round 2009, Didier Deschamps. Des coups, le gars en a déjà pas mal encaissé : il était là pour VA - OM en 1993, il a fait de Monaco le finaliste de la Champion's League en 4 ans (tiens, encore une histoire de finale), était le capitaine de l'équipe de France 98-00, et c'est la dernière grand image que l'on garde de DD comme joueur. Le joueur même n'était pas du genre à se laisser faire (en témoigne un accrochage avec Cantona, excusez du peu), et l'entraîneur aime imposer ses méthodes italo-espagnoles : la solidité défensive pour base de l'équipe, le jeu et la possession du ballon pour leitmotiv) partout où il passe : Monaco, Turin, et donc Marseille. Ajoutez à cela un carnet d'adresse qui ferait pâlir d'envie tout entraîneur français, une aura énorme, des idées fixes (le 4-3-3 cette saison est indiscutable, causez toujours.) et vous aurez Didier Deschamps, l'entraîneur le plus connaisseur de L1, avec Blanc et Denoueix à un autre degré.
A Marseille, la Desch' est venu avec une idée claire : faire gagner le titre à l'OM, faire partager cette sensation qu'il avait quand il était encore joueur. Il fait alors venir ses joueurs, créer sa propre équipe en démontant celle de Gerets, en bousculant la hiérarchie et en faisant jouer ses contacts : un petit Heinze pour remplacer Zubar, Diawara pour Civelli, Lucho pour Ziani, etc ... si en début de saison ce recrutement fait débat, il est sans doute sur la durée le meilleur possible. DD s'est aussi, en cours de saison, offert le privilège de lancer le jeune Jordan Ayew, de recadrer M'Bia, de relancer Ben Arfa là où tout le monde ne voyait qu'une cause désespérée et un espoir gâché. La prochaine étape est d'assurer la qualification en ligue des Champions à l'OM, et la concurrence cette saison est tenace (la saison passée, après 30 matchs, le duel OM - Bordeaux commençait. Cette saison, Montpellier & co ne lâchent pas). L'objectif inavoué, le 15 mai, étant de finir champion de France, chose bien mal embarquée tant Bordeaux semble avoir les moyens de faire sa petite sauve avec le calendrier ...

OM - Bordeaux, un choc sur le terrain

Samedi, le Stade de France verra donc Marseille affronter Bordeaux, le champion en titre contre son dauphin. C'est surtout le match de deux coachs : la méthode Blanc contre la méthode Dédesch : l'un a surfé sur l'équipe made in Ricardo (sisi !) en incorporant deux ou trois éléments supplémentaires (Diawara, Gourcuff puis Ciani et Carrasso) et fait de Bordeaux un club du gratin européen en 3 ans (Didier, en voilà de la concurrence !) tandis que Deschamps est plus du genre à tout changer, à tout personnaliser afin d'avoir un ensemble plus que convenable, installer ses méthodes quoi. Si question âge il n'y a pas photo, les deux équipes sont relativement comparables : dans les buts, le duel Carrasso - Mandanda était déjà présent à l'OM (Steevy l'avait alors emporté à la main), mais la défense Chalmé - Planus - Ciani - Tremoulinas semble quand même un ton au dessus (sur les côtés principalement) de celle de l'OM, habituée à prendre son petit but par match en 2010. Le milieu marseillais, puisqu'il ne sera pas au complet, alignera quand même Cissé - Lucho - Kaboré, trois joueurs qui s'ils ne sont pas toujours transcendants passent rarement à côté de leur match. En face, Diarra - Plasil - Gourcuff est plus irrégulier, mais également plus dangereux si la machine est enclenchée. Enfin, les attaques (les titulaires hein) se valent, l'incertitude étant de savoir quels joueurs seront alignés samedi.

D'ailleurs, en parlant de compo marseillaise, comment l'OM jouera avec Heinze ? Deschamps préfèrera-t'il le duo Brandao - Niang ou Brandao - Ben Arfa ? Ce sont des questions à se poser avant samedi.

Allez l'OM !!!

Ludom80

Coupe en bois.

La gagner coupe en bois ou pas.

Pour la compo je voit Brandao et Niang titulaire sur et Ben Arfa ou Valbu sur le banc, un des 2.

On en a trop perdu, j'ai trop souvent chialé de tristesse alors puta*n de mer** faites moi chialer de bonheur samedi à 23 heures!

Faut la gagner celle-là..

J'y serai ! Il faut la gagner ! Redorez notre blason ! Forzaaaaaaaaa l'OM

Les Marseillais montent à Paris, pour enculer, les Bordelaids !

Bon édito Ludo

Après avoir vécu 4 finales pourrîtes, il va falloir clairement arrêter de décevoir lors des finales...

Allez l'OM.

Ramenez nous cette coupe bordel.

Coupe en bois ou pas, on y est, on la gagne...

Allez l'OM, Allez l'OM...

Les Ultras feront grève au stade de France

Par un communiqué diffusé hier, les Ultramarines ont annoncé qu'ils feront « grève d'ambiance » samedi soir dans les tribunes du Stade de France pour la finale Bordeaux - Marseille.

Concrètement, comme la saison dernière lors de la finale contre Vannes, les supporters bordelais de ce groupe n'encourageront par leur équipe et ne déploieront pas leur bâche « Ultramarines ». Mais ils ne resteront peut-être pas muets tout le temps, face à leurs homologues marseillais qui ne seront pas, a priori, solidaires de ce mouvement de protestation : « Nous n'occultons pas qu'il serait immoral et injuste que seuls nos joueurs soient privés de soutien », écrivent-ils.

Une décision de protestation envers la Coupe de la Ligue, « une vraie mascarade sportive ». Plus généralement, le mouvement « Ultra » s'estime souffrir d'un manque de reconnaissance de la Ligue Pro, et «les décideurs gouvernementaux qui plutôt que s'attaquer au hooliganisme et au racisme, préfèrent éradiquer la ferveur populaire et s'attaquer à la jeunesse qui fait vivre les stades ».

Restez-chez vous alors ^^

Trés bien l'edito Ludom

Allez gagner moi ce titre c'est meme plus drole de vous chambrez la dessus et puis j'ai envie de voir les Bordelais redescendre sur terre

Un groupe de 21 joueurs pour la finale

Didier Deschamps a retenu un groupe de 21 joueurs pour la finale de la Coupe de la Ligue. De retour de blessure, Gabriel Heinze en fait partie. Touchés contre Benfica, Fabrice Abriel et Baky Koné, aussi. Comme annoncé précédemment, Benoît Cheyrou est forfait. L’OM ne compte pas de suspendu. Les Olympiens partent ce matin pour Paris. Ils séjourneront à Clairefontaine où ils s'entraîneront en fin d'après-midi ce jeudi, à huis clos.

Gardiens : Mandanda, Andrade
Défenseurs : Bonnart, Taiwo, Heinze, Hilton, Diawara, Mbow, Rodriguez, Rool
Milieux : Mbia, Cisse, Kabore, Lucho, Abriel, Valbuena, Ben arfa
Attaquants : Kone, Niang, Morientes, Brandao

OM.net

Triaud n'est pas contre une équipe B face à l'OM

A l'occasion de la finale de la Coupe de la Ligue entre l'OM et Bordeaux, le président girondin confie qu'il ne dira rien à Laurent Blanc si ce dernier décide de ne pas aligner son onze habituel, histoire de gérer les événements qui se profilent.

Les Girondins vont enchaîner une finale de la Coupe de la Ligue, puis un quart de finale de la Ligue des Champions et tentent de conserver leur place de leader de la Ligue 1. Pour Jean-Louis Triaud, le club ne doit pas se tromper dans ses objectifs et si le plaisir de jouer la finale contre l’Olympique de Marseille est évident, il ne hurlera pas si Laurent Blanc décide de faire tourner son effectif à cette occasion. La Coupe de la Ligue n’est clairement pas la priorité bordelaise.

« Je n'ai pas toujours voulu l'admettre mais je reconnais que c'est compliqué d'enchaîner ces deux matches. Les faits le prouvent : il y a forcément une usure mentale d'être tout le temps sous tension. Et on est bien obligés de constater qu'il y a relâchement à un moment ou à un autre, reconnaît dans Sud-Ouest le président des Girondins de Bordeaux, qui a son idée sur le sujet. Si j'avais à choisir, je ferais deux équipes différentes, d'autant qu'avec le banc, riche, dont nous disposons, je n'aurais pas l'impression de nous affaiblir. »

Mais Jean-Louis Triaud ne veut pas trop en faire sur le sujet, laissant à Laurent Blanc l’entière responsabilité de ses choix tactiques.« Je veux qu'il soit détendu par rapport à la décision à prendre. Qu'il ne se pose pas la question de savoir si elle sera appréciée ou non, commentée ou pas », prévient le patron des Girondins.

Foot01

OM-Bordeaux : la parole aux capitaines à J-2

Avant la finale, Mamadou Niang et Alou Diarra analysent leur rôle

Promus en début de saison par Laurent Blanc et Didier Deschamps, Alou Diarra et Mamadou Niang sont deux capitaines aux caractéristiques opposées. Quand la "Sentinelle" de Bordeaux se mue en aboyeur pour rameuter ses troupes sur le terrain, "Mamad'" préfère consacrer ses efforts dans le vestiaire marseillais et dans la vie du groupe. Entretien croisé avec les leaders girondin et olympien avant la finale de la coupe de la Ligue.

- Comment définissez-vous votre rôle de capitaine ?

Alou Diarra : Je dois montrer l'exemple sur le terrain, m'investir à fond.
Ça se joue surtout sur le mental.
Je suis le relais entre le staff et l'équipe.
Mamadou Niang : Je reste simple. Je le vis normalement, sans me prendre pour un autre. D'ailleurs, le coach me demande de rester moi-même. S'il m'a nommé capitaine, c'est dû à mon ancienneté au club et mon vécu ici à Marseille. C'est aussi une marque de confiance de sa part. Ça fait toujours plaisir.

- Quel est votre modèle dans ce registre ?

A.D. : (Il réfléchit) Didier Deschamps était un sacré leader. Mais j'ai aussi côtoyé des gens de caractère comme Stefan Effenberg et Marc van Bommel au Bayern Munich : ce sont des gens qui inculquent la culture de la gagne. À Liverpool, il y a aussi Steven Gerrard, un exemple d'investissement et d'amour de son club.
M.N. : (Hésitant) Didier Deschamps a été un capitaine énorme à son époque. Que ce soit avec l'équipe de France, avec l'OM et ailleurs. Son palmarès parle pour lui. Il a su mener les différentes équipes dans lesquelles il jouait au bout de nombreuses compétitions.

- Adoptez-vous une attitude particulière en match ?

A.D. : Je ne fais rien de spécial. Être capitaine, ça permet d'abord de parler aux arbitres. C'est important qu'il y ait une bonne relation entre les joueurs et le corps arbitral.
M.N. : Aucune. Une fois le coup d'envoi donné, le brassard me permet surtout de parler à l'arbitre. C'est une chance (rires) car je suis le seul joueur de l'équipe à pouvoir le faire. Après, je considère que tout le monde doit se parler et avoir son mot à dire. C'est pour le bien de l'équipe.

- Votre position sur le terrain joue-t-elle sur votre rôle ?

A.D. : C'est possible. Je suis dans une zone où je peux avoir une vision de ce qui se passe devant et derrière. Mon positionnement étant assez bas, cela me permet peut-être de voir des choses que d'autres ne distinguent pas.
M.N. : Pour moi, la position n'entre pas en ligne de compte.

- Quels sont les joueurs sur lesquels vous vous appuyez ?

A.D. : Marc Planus et Mathieu Chalmé, deux leaders dans le vestiaire. Fernando intervient souvent auprès des Sud-Américains.
M.N. : Il y a beaucoup de leaders sur le terrain. Je ne me considère pas comme le seul et unique capitaine. Ben (Cheyrou) parle beaucoup. Gabi (Heinze), "Souley" (Diawara) et Édouard (Cissé) aussi. Cette année, de nombreux joueurs apportent dans ce sens.

- Comment êtes-vous dans le vestiaire ?

A.D. : Durant la causerie d'avant-match, j'essaie de stimuler l'équipe par mon comportement. Les mots sont toujours importants pour sentir le groupe concerné et motivé.
M.N. : Je n'ai pas changé ma façon d'être... Par contre, je regroupe toute l'équipe pendant l'échauffement, je prends la parole pour échanger avec les joueurs qui vont débuter. J'ai quelques mots pour motiver le groupe, mais c'est surtout pour expliquer les dernières consignes. C'est vraiment la seule chose que je ne faisais pas les années précédentes.

- Votre brassard vous confère-t-il des passe-droits ?

A.D. : Au contraire ! On a un devoir d'exemplarité. Ça fait partie de notre rôle, c'est aussi une marque de respect par rapport aux autres. C'est dans les périodes délicates que le capitaine doit donner le ton.

M.N. : Oh non ! Cela ne marche pas comme ça... (sourire) Je suis logé à la même enseigne que les autres. Au contraire, je dois montrer l'exemple en tant que capitaine. Quand je suis arrivé en retard en début de saison, le coach m'a immédiatement repris de volée, en me rappelant que j'avais un devoir d'exemplarité. Il m'a reçu dans son bureau pour me remonter les bretelles car je n'avais pas le droit d'arriver en retard. Cela ne m'est plus arrivé depuis...

- Comment parvenez-vous à motiver vos équipiers ?

A.D. : Je n'ai pas à le faire car tout le monde a sa préparation et elle diffère selon les joueurs. Je dois plus intervenir quand il y a une baisse de concentration et de rigueur. Je dois maintenir une pression constante durant 90 minutes.
M.N. : Il n'y a pas besoin de les motiver. Chacun se prépare à sa façon pour répondre présent.

Les victoires en championnat contre Lille et Lyon allègent-elles votre travail ?

A.D. : On se sent toujours mieux après les victoires. Battre Lille 3-1, un concurrent direct, ça ne peut que nous mettre en confiance pour la finale...
M.N. : Il y a toujours plus de boulot après une défaite. Après Benfica, tout le monde était abattu. Il fallait se remettre dans le bain pour la réception de Lyon. Mais je ne suis pas allé vers mes coéquipiers le soir même pour leur parler du match. Je devais d'abord digérer ma déception personnelle. D'ailleurs, la nuit a été très difficile. J'ai préféré attendre le lendemain pour arriver de bonne humeur. Je devais leur changer les idées, leur faire oublier la défaite de la veille et leur dire qu'il restait d'autres objectifs.

C'est comme ça que je conçois mon rôle. Est-ce un avantage d'avoir déjà gagné la coupe de la Ligue ?

A.D. : On a cette expérience, c'est un plus. Mais sur un match, tout est possible. Surtout que ce n'est plus le même adversaire: l'an dernier, on a battu Vannes; là c'est Marseille, un club qui attend un trophée depuis des années...
M.N. : Non. Si cela en était un, j'aurais gagné les deux finales de coupe de France ! Une finale reste une finale, que ce soit la coupe de la Ligue ou autre chose. Cela se joue sur terrain neutre, les deux équipes la jouent pour la gagner. Après, la réussite est là... ou pas. J'en ai eu avec Strasbourg en 2005, pas avec Marseille (2006, 2007). Maintenant, c'est sur le terrain qu'il faudra tout donner.

La Provence

Massilia57 a écrit:

Triaud n'est pas contre une équipe B face à l'OM

A l'occasion de la finale de la Coupe de la Ligue entre l'OM et Bordeaux, le président girondin confie qu'il ne dira rien à Laurent Blanc si ce dernier décide de ne pas aligner son onze habituel, histoire de gérer les événements qui se profilent.

Les Girondins vont enchaîner une finale de la Coupe de la Ligue, puis un quart de finale de la Ligue des Champions et tentent de conserver leur place de leader de la Ligue 1. Pour Jean-Louis Triaud, le club ne doit pas se tromper dans ses objectifs et si le plaisir de jouer la finale contre l’Olympique de Marseille est évident, il ne hurlera pas si Laurent Blanc décide de faire tourner son effectif à cette occasion. La Coupe de la Ligue n’est clairement pas la priorité bordelaise.

« Je n'ai pas toujours voulu l'admettre mais je reconnais que c'est compliqué d'enchaîner ces deux matches. Les faits le prouvent : il y a forcément une usure mentale d'être tout le temps sous tension. Et on est bien obligés de constater qu'il y a relâchement à un moment ou à un autre, reconnaît dans Sud-Ouest le président des Girondins de Bordeaux, qui a son idée sur le sujet. Si j'avais à choisir, je ferais deux équipes différentes, d'autant qu'avec le banc, riche, dont nous disposons, je n'aurais pas l'impression de nous affaiblir. »

Mais Jean-Louis Triaud ne veut pas trop en faire sur le sujet, laissant à Laurent Blanc l’entière responsabilité de ses choix tactiques.« Je veux qu'il soit détendu par rapport à la décision à prendre. Qu'il ne se pose pas la question de savoir si elle sera appréciée ou non, commentée ou pas », prévient le patron des Girondins.

Foot01

Comique le Triaud, genre il fera ça. N'est pas Pape Diouf qui veut.

Ramé et Mandanda seront dans les cages selon lephoceen.

Citation :

Le groupe des Girondins pour la finale

Laurent Blanc a retenu 19 joueurs pour affronter l'Olympique de Marseille. Planus, Sertic et Traoré sont forfaits.

Gardiens : Carrasso, Ramé

Défenseurs : Chalmé, Ciani, Henrique, Jurietti, Placente, Sané, Trémoulinas

Milieux : Diarra, Fernando, Gourcuff, Plasil, Wendel

Attaquants : Bellion, Cavenaghi, Chamakh, Gouffran, Jussiê.

Blessés : Planus, Sertic et Traoré.

A disposition de la CFA : Keita et Saivet

OM.net

Wendel : « Ce sera serré contre l’OM »

Wendel, le milieu de terrain de Bordeaux, sent que la finale de la Coupe de la Ligue entre son équipe et l’Olympique de Marseille, samedi à Saint-Denis, sera beaucoup plus indécise que celle de l’an passé face à Vannes. « Ce sera une rencontre serrée. Les Marseillais donneront tout car cela fait un moment qu’ils n’ont rien gagné, alors que nous avons remporté quatre titres depuis un an et demi : deux trophées des champions, une Coupe de la Ligue et le championnat. Nous voulons continuer sur cette lancée car la seule chose qui compte, c’est de remporter des trophées. C’est bien d’être en finale, mais le bonheur au coup de sifflet final, c’est la victoire », explique le joueur brésilien dans le Parisien.

foot01

Faut la gagner sa sera une confiance en plus pour la suite du championnat !

Victoire de l'OM aux TAB aprés prolongations, ça serait parfait.

Jamais mon coeur ne tiendra pas deux finale allant que TAB

Drogbasyl™ a écrit:

Jamais mon coeur ne tiendra pas deux finale allant que TAB

Prépare le alors. Demain tu prends un RTT et tu te tapes un jogging, histoire de le mettre en condition.

Sonnygoal a écrit:

Victoire de l'OM aux TAB aprés prolongations, ça serait parfait.

On se demande bien pourquoi

http://www.om.net

Comment on se la pète sérieux, relooking complet pour le match.

C'est clair...