[Real Madrid] Campeone Olé Olé Olé [V3]

Très mauvaise nouvelle alors.

STEPH a écrit:

Selon Marca Van Nistelrooy ne jouera pas face à la Roma, il semble trop juste.

Ouf

T'inquiètes, Raul sera associé certainement à un monstre, terrible bête, LA BESTIA.

La Bestia Lui et Robinho, ils me font très très peur

Super Julio, pour une fois que j'aimerais bien qu'il passe à côté

Paulo, ta video heberge là sur youtube, ils rejetent rarement eux

Citation :

Real Madrid: Sergio Ramos déjà dans l'histoire

A seulement 21 ans, le défenseur international espagnol du Real Madrid, Sergio Ramos, est devenu le quatrième joueur le plus expulsé du club merengue, en quittant prématurément ses partenaires, samedi, sur la pelouse du Recrativo Huelvo (3-2). L'ancien Sévillan a écopé à cette occasion de son septième carton rouge depuis son arrivée dans les rangs madrilènes, il y a deux ans et demi. Nul doute que le défenseur andalou devrait s'adjuger le record dans les années qui viennent si ses mauvaises habitudes persistent...

Sports.fr

Raul le dit bien, Ramos est très bon, mais il perd vite son sang froid et pète un cable...

C'est énorme le nombre de carton rouge qu'il a pris

Gago ne pense pas à la défaite

Le Real Madrid reçoit demain soir l'AS Roma à l'occasion du huitième de finale retour de Ligue des Champions (défaite à l'aller 2-1). Le jeune milieu de terrain madrilène Fernando Gago (21 ans, 23 matches de Liga cette saison) explique sur le site Internet goal que la victoire est obligatoire pour poursuivre l'aventure européenne. "Cela sera un match très difficile contre la Roma mais nous devons rentrer dans le match avec une certaine tranquillité, nous avons 90 minutes pour renverser la rencontre, relativise l'international argentin. Je ne pense pas à la défaite. Cela ne sera pas facile mais nous donnerons tout et je suis sûr que l'équipe peut le faire. Pour le moment, je ne pense qu'à faire un grand match demain soir à Bernabeu."

Maxifoot

STEPH a écrit:

[b]Gago ne pense pas à la défaite

Reveil douloureux

Tu parles trop. Trop vite du moins.

paulo2a a écrit:

Tu parles trop. Trop vite du moins.

On verra

paulo2a a écrit:

Tu parles trop. Trop vite du moins.

On verra C'est pour mettre de l'ambiance

Et un joli double post.

J'ai juste fait modifier le message Bref ^^

Trouves pas d'excuse, c'est le stress, je te comprends, vu ce que tu vas te prendre demain.

paulo2a a écrit:

Trouves pas d'excuse, c'est le stress, je te comprends, vu ce que tu vas te prendre demain.

Tu parles trop

Mais moi, j'ai raison, contrairement à toi. Car le Real Madrid va gagner ... et le pire, c'est que tu le sais !

Vous parlez trop.

Bien joué.

( Vive les incrustations. )

Raul tacle séchement Ronaldinho

À quelques heures de l’opposition face à la Roma en 8e de finale retour de la Ligue des champions, le capitaine du Real Madrid Raul, loue les valeurs collectives retrouvées par son équipe depuis la saison dernière « Avec Ruud van Nistelrooy, on s’aide beaucoup, on se partage le marquage, on se parle sans arrêt. Et c’est pareil dans toutes les lignes, il y a de la solidarité. Le Real a retrouvé dans le travail une valeur essentielle qui a fait sa force. On rejoue en équipe. » a t-il confié au quotidien L’Équipe.

L’international Espagnol ne manque pas également d’égratigner le rival historique le FC Barcelone, coupable selon lui de ne pas entretenir cette cohésion collective, et trouve en la personne de Ronaldinho le bouc-émissaire idéal « Ma théorie est simple : avec des individualités, tu gagnes des matches mais tu ne gagnes pas de titre. C’est aux individualités de se fondre dans la dynamique de groupe. Je prends l’exemple de Ronaldinho. Le voir dribbler est un spectacle que j’aime beaucoup. Mais dans une équipe, je préfère Samuel Eto’o. Lui, il met son talent et ses dribbles au service de l’équipe. Tandis que Ronaldinho, il fait d’abord son show pour lui. Ça peut créer des problèmes. ».

Si Raul stigmatise le comportement de la star du FC Barcelone, c’est que Ronaldinho ne fait plus la différence depuis quelques temps déjà, sinon épisodiquement. Au temps de sa splendeur, sa manière de jouer était la même, mais il n’essuyait pas de critiques, parce qu’il gagnait les matches à lui tout seul.

Foot Mercato

Citation :

Porteros: Casillas y Dudek.
Defensas: Cannavaro, Marcelo, Pepe, Salgado, Heinze y Torres.
Centrocampistas: Diarra, Guti, Gago, Baptista, Drenthe y Balboa.
Delanteros: Higuaín, Robinho, Soldado y Raúl.

No convocados: Metzelder, Van Nistelrooy, Robben y Sneijder por lesión;
Codina y Saviola por decisión técnica.
Sergio Ramos por sanción.

L'équipe devrait donc être :

Casillas - Torres, Cannavaro, Pepe, Heinze - Diarra, Gago, Guti - Robinho - Baptista, Raul.

Je pense que c'est l'équipe la plus probable.

Robinho-Baptista-Raul

La meilleur équipe possible quoi !
Maintenant, il va falloir gagner et se qualifier !

Robinho et Guti ont les clefs pour la Decima

Dans l'édition de ce matin Marca, insiste sur les retours de Robinho et Guti .

Robinho aime ces matchs "nous avons tous des responsabilités mais, la vérité c'est que j'aime quand j'ai des responsabilités dans les moments décisifs, aider l'équipe de la meilleur manière possible ; J'espère marquer des buts et réaliser mes objectifs, être le meilleur joueur du monde sous le maillot du Real Madrid" a déclaré le Bresilien qui se retrouvera face à son ami Cicinho qui sera surement titulaire.
Robinho qui n'a pas participé au match aller en raison d'une blessure est motivé pour vivre des sensations en Europe, lui qui n'a pas connu cela depuis son arrivée à Madrid.
Il n'a jamais dépassé les 1/8 de finales de la C1 et veut enfin briser cette malédiction. Seul Casillas, Raul, Salgado et Guti ont connu les joies des grandes soirées Europeennes.

Guti, le numéro 14 du Real Madrid, fera son retour après son absence à Huelva et va se positionner devant la paire Gago - Diarra qui va jouer pour la première fois de la saison à Bernabeu et qui sera la pour soulager la défense Madrilène, qui sera surement constitué de Torres, Cannavaro, Pepe et Heinze, pour contrer les offensives de la Roma .
Et ça va aussi permettre à Guti de se libérer des tâches défensives et de trouver une connexion avec Baptista, Raul et Robinho .
Au milieu de terrain, on va retrouver un duel De Rossi-Guti, ça sera un match dans le match. L'entraîneur de la Roma est conscient du danger Guti et a déclaré qu'il ne faut pas le laisser passer "tu lui laisses un mètre, il te met une passe décisive".

Realmadrid

Robinho, le baromètre merengue

Avec deux buts pour son retour après vingt jours d'absence offrant une victoire capitale au Real Madrid, samedi à Huelva (3-2), Robinho a démontré qu'il était devenu indispensable au Real Madrid. Le Brésilien s'impose comme le joueur phare de l'effectif merengue.

Zinedine Zidane à la retraite, Ronaldo et David Beckham partis sous d'autres cieux, le Real Madrid rêvait de Kaka pour retrouver une idole à la hauteur de son palmarès immense. Il a finalement juste eu à piocher dans son effectif. Car l'élu était déjà là à l'époque des Galactiques. Mais il n'était que remplaçant de luxe. Celui qui regardait du banc les autres briller et apportait sa vitesse sur les fins de matches. Depuis, les choses ont bien changé. Et Robinho a endossé le costume de sauveur d'un Real qui piquait du nez.

Cette saison il y a même deux Real Madrid. Celui avec Robinho et celui sans la jeune perle brésilienne. L'influence du numéro 10 des Merengue a crevé l'écran ces derniers temps. Cantonné à un rôle de spectateur pendant trois semaines en raison d'une blessure aux abdominaux, l'ancien joueur de Santos a terriblement manqué. Son ombre a plané sur le Real. Sans lui, ses coéquipiers ont perdu leur football. Ils ont balbutié. Jusqu'à concéder trois revers de suite pour la première fois de la saison. Le Barça en a profité pour revenir au classement. Et la Roma pour prendre une option lors des huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions (victoire 2 à 1).

Un phénomène

Mais voilà, Robinho est de retour. Et le Real a déjà retrouvé le sourire. Samedi contre le Recreativo Huelva en Championnat, il a d'ailleurs envoyé un message aux Italiens. Remplaçant en début de match, il est entré à la 75e minute. Le Real était alors tenu en échec 1 à 1. Dix-huit secondes plus tard, il égalisait avant de donner la victoire aux siens. Deux buts qui stigmatisent la Robinho-dépendance dont est victime le Real. "Il a montré qu'il était un joueur très important à cette équipe. Nous avons besoin de lui, avoue son coéquipier Guti dans Marca. Quand il joue, nous pouvons souffler un peu. C'est un phénomène".

Un phénomène qui signe la meilleure saison de sa carrière à 24 ans. Il a marqué 14 buts toutes compétitions confondues (10 en Liga et 4 en C1) alors qu'il avait trouvé le chemin des filets qu'à 12 reprises pour sa première saison, en 2005-06 (8 en Liga, 4 en Coupe du roi), et surtout seulement 8 fois la saison dernière (6 en Championnat, 1 en C1 et 1 en Coupe). “Robinho, c'est le football. Il a les qualités et l'instinct des joueurs d'exception. Certains joueurs peuvent créer mains ne pas marquer. Mais lui sait tout faire", avance Spalletti, l'entraîneur romain qui s'en méfie comme de la peste.

Merci Schuster

Quelles sont les raisons de son explosion ? Son hygiène de vie n'a pourtant pas changé. Il fait toujours des soirées rythmées avec ses collègues sud-américains :danse: (un membre de la sécurité d'une discothèque à qui il a demandé 40 préservatifs en octobre dernier pourra en témoigner). S'il a pris du volume pour mieux résister dans les duels, son style de jeu n'a également pas beaucoup évolué. Mais voilà, il a engrangé de la confiance. Cet été déjà, lors de la Copa America où il a retrouvé toute son efficacité (meilleur buteur de la compétition avec 6 buts). Mais surtout, sa métamorphose madrilène est directement liée à l'arrivée de Bernd Schuster sur le banc merengue. L'Allemand a trouvé la bonne formule pour exploiter le talent de son génie. Robinho est "un joueur qui a besoin d'être heureux, sans pression ni responsabilités", déclarait Bernd Schuster à l'automne. Et visiblement ça marche.

Sous la coupe du technicien, Robinho s'épanouit après avoir vécu parfois douloureusement le "coaching" de l'Italien Fabio Capello. "Schuster m'a donné la tranquillité nécessaire pour m'imposer dans le monde du football. Il m'aide beaucoup pour être au top sur la pelouse. Je me sens plus à l'aise qu'à l'époque de Capello", explique l'attaquant. Au grand bonheur du Real qui aura bien besoin de la réussite de son numéro 10 contre la Roma. Le Real est en effet obligé de marquer et la présence de l'ancien joueur de Santos prend d'autant plus d'importance que le Néerlandais Arjen Robben, très séduisant à l'aller, sera absent et que son compatriote Ruud van Nistelrooy est forfait. Une belle opportunité pour le Brésilien de montrer une nouvelle fois qu'il a définitivement passé un cap. "Nous gagnerons mercredi et nous irons en quarts de finale", lance-t-il déjà plein de confiance.

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