[Pro] 9.Djibril Cissé

Gerets faut qu'il soit plus clair.

Il veut 10% en plus, mais de quoi?

De motivation, determination, de part de gateau?

De motivation, il sait de quoi il vaut et l'homme se connait encore mieux, il se cherche pas d'escuses.

On perd pas son talent du jour au lendemain, pour sa qu'il travail même en étant le dernier a s'entrainer.

Le vrai Cissé va revenir, et il va de nouveau marquer, et le fait d'être sur le banc lui fait surement le plus grand bien, maitenant arrêtons (arrêtez) un peu de le pourrir, car je pense que cela serait vraiment dommage qu'il se décide a quitter le club au prochain mercato.

STEPH a écrit:

Le vrai Cissé va revenir, et il va de nouveau marquer, et le fait d'être sur le banc lui fait surement le plus grand bien, maitenant arrêtons (arrêtez) un peu de le pourrir, car je pense que cela serait vraiment dommage qu'il se décide a quitter le club au prochain mercato.

Ca prouve au moins que Gerets fait toujours confiance à Cissé, ça peut l'aider à revenir si il sait que son entraineur est derrière lui

STEPH a écrit:

Le vrai Cissé va revenir, et il va de nouveau marquer, et le fait d'être sur le banc lui fait surement le plus grand bien, maitenant arrêtons (arrêtez) un peu de le pourrir, car je pense que cela serait vraiment dommage qu'il se décide a quitter le club au prochain mercato.

si il n'a pas la confiance avec lui ce n'est pas comme ça qu'il va progresser

Citation :

STEPH a écrit:

Le vrai Cissé va revenir, et il va de nouveau marquer, et le fait d'être sur le banc lui fait surement le plus grand bien, maitenant arrêtons (arrêtez) un peu de le pourrir, car je pense que cela serait vraiment dommage qu'il se décide a quitter le club au prochain mercato.

oui il faut lui laisser le temps, gerets la compris, à nous de le comprendre.

Djibril Cissé : jambes de fer, tête en bois

Djibril Cissé est une figure. Ses looks spéciaux en ont fait une des figures de proue de la communication d'Adidas, mais ses jambes ne lui permettent plus d'être titulaire chez le 17ème de Ligue 1. Retour sur une carrière en dents de scie.

Le fils de l'ancien international ivoirien Mangué Cissé est né à Arles, dans les Bouches-du-Rhône, à une soixantaine de kilomètres de Marseille. Il débute le football dans le petit club de l'AC Arles, aux côtés d'un certain Gaël Givet (lui aussi à l'OM depuis le début de saison). Après un court passage au sport-études chez les crocodiles nîmois, il est repéré par Guy Roux qui deviendra son mentor. En 1998, il débarque à Auxerre à tout juste 17 ans.

C'est sur les terres de l'Yonne que l'attaquant peroxydé va construire son image. Couvé par son coach au bonnet magique la première année, il explose lors de la seconde à la suite de la blessure de l'emblématique Stéphane Guivarc'h. En marquant 8 buts en 22 matches au cours de la saison 2000-2001, il devient vite le chouchou des médias et des supporters locaux. Ses looks ravageurs et ses courses supersoniques en font une des figures de proue de la L1.

Deux fois meilleur buteur

Plutôt que de partir de suite s'enterrer à l'étranger, il choisit de rester à l'AJA pour emmagasiner un maximum de temps de jeu et d'expérience. Il faut dire que Guy Roux n'aime pas se départir de ses «bijoux de famille». Ainsi, les saisons suivantes, il profite à fond d'une tactique basée quasi exclusivement sur ses qualités. Les deux ailiers Bonaventure Kalou et Kanga Akalé sont alors mis au service du buteur. Deux saisons incroyables, ponctuées de 22 et 26 buts (meilleur buteur à égalité avec Pauleta la première année, meilleur réalisateur tout court la seconde), vont lui ouvrir les portes du club de son coeur (enfin, le 2ème après Marseille), Liverpool.

Lors de l'intersaison, il connaît sa première désillusion sportive. Déjà international chez les «grands», il est appelé en renfort pour un match crucial des Espoirs face au Portugal. Découpé régulièrement par les défenseurs portugais, il craque et en déglingue un, comme ça, juste pour le plaisir. Lourdement suspendu, il doit renoncer à l'Euro 2004 au Portugal. C'est le début de ses rendez-vous manqués avec les Bleus.

Juste avant de faire son sac d'Anfield, Gérard Houiller arrache le n°9 pour 22 millions d'euros et le laisse en héritage à son successeur. Sa première saison sur les bords de la Mersey se passe plutôt bien. Il ne score guère, mais ses courses et ses frappes lourdes plaisent aux supporters liverpuldiens. C'est en octobre de cette même année que Cissé va connaître le début de la galère. Au contact d'un défenseur, il se plante la pointe du pied dans la pelouse et sa jambe gauche se brise. Les images sont à la limite du soutenable.

L'Arlésienne

Indisponible de longs mois, il réussit le tour de force de revenir sur les terrains avant la fin de l'exercice. Avec en point d'orgue, son penalty réussi lors de la mythique finale de Ligue des Champions remportée par les Reds face au Milan AC. Mais il n'est pas épanoui en Grande-Bretagne. Rafael Benitez n'a jamais apprécié son style de jeu et le confine régulièrement sur l'aile droite ou sur le banc.

C'est le début des rumeurs concernant un éventuel transfert à l'OM. Mais le salaire de ministre de la flèche d'Arles et les prétentions du board de Liverpool en matière de somme de transfert ne permettent pas au club olympien de boucler l'opération. De plus, «Djib’» est un homme fier et ne souhaite pas rester sur un échec et compte bien s'imposer une fois pour toutes en Premier League.

Guère plus utilisé la saison suivante, il est à nouveau approché par José Anigo en janvier 2006. C'est le début de «l'Arlésienne». Amoureux de l'OM, Cissé a toujours déclaré vouloir jouer au Stade Vélodrome, mais le transfert semble ne jamais devoir se faire. Il faudra un nouveau coup du sort dans la carrière de l'international pour que l'affaire soit bouclée, en juillet 2006, sous la forme d'un prêt d'une année avec option d'achat.

Rendez-vous international manqué

En match de préparation au Mondial allemand, l'attaquant se prend à nouveau les pieds dans le tapis et récolte encore une fracture tibia-péroné, cette fois côté droit. Il loupe encore une grande compétition internationale. Les pourparlers bien avancés avec l'OM seront conclus malgré cet accident et il en sera très longtemps gré à José Anigo et Pape Diouf. Il revient à la compétition en décembre après de nombreux reports. Attendu comme le Messie au Boulevard Michelet, il réalise dès sa première entrée une tête décisive contre Monaco qui permet à Mamadou Niang de marquer.

Mais bien vite, le très difficile public du «Vél'» va le prendre en grippe. Son manque de réalisme, sa pauvreté technique ainsi que sa constance à engueuler ses coéquipiers vont lasser le plus ardent des supporters. Il réussit toutefois à faire taire les quolibets en alignant une bonne quinzaine de buts et surtout en scorant à deux reprises en finale de Coupe de France à St-Denis (défaite aux penalties face à Sochaux).

Le début de saison 2007-2008 manqué des Marseillais va coûter cher à l'attaquant. Le manque de complémentarité des nouvelles recrues et le style de jeu beaucoup moins direct prôné par le néo-entraîneur phocéen Eric Gerets ne colle pas du tout avec le jeu de Djibril. Peu à l'aise dos au but, il est incapable de servir de point d'appui à son équipe et doit se contenter de courtes apparitions. Moins complet que Mamadou Niang, il reste sur le banc et est de moins en moins utilisé par son coach.

Pimp my Djibril

Son style de vie plutôt clinquant n'aide en rien à sa popularité. Amateur de grosses bagnoles style «pimp my ride», de coupes de cheveux plus rocambolesques les unes que les autres et meilleur client des tatoueurs du Sud de la France, il agace par son manque de discrétion et d'humilité alors que son jeu s'effrite. Toutefois, depuis quelque temps il a appris la discrétion et tente de regagner sa place par le travail.

Son humilité nouvelle tranche avec ce personnage qui n'a jamais laissé indifférent. Soit on l'aime, soit on le déteste, mais il a l'avantage d'être reconnu bien au-delà des suiveurs du ballon rond et de faire vendre des maillots. Il a en outre prouvé son attachement au maillot de l'Olympique de Marseille en allant lui-même en Grande-Bretagne peser sur les négociations entre les Français et les Anglais, alors que l'OM n'avait pas les moyens de s'aligner sur l'offre de clubs comme Benfica, Portsmouth, West Ham ou Bolton.

Alors qu'on a l'impression de le voir tous les week-ends à Téléfoot depuis des décennies, Djibril Cissé n'a que 26 ans et n'est pas encore à la moitié de sa carrière de footballeur. Avec tous ses pépins physiques et ses récents échecs sur le plan sportif, il lui faut avoir un caractère fort pour rebondir et revenir sportivement sur le devant de la scène. Le n°9 est fait de ce bois et je prends la pari qu'il sera une idole sur la Canebière dans les 12 mois qui viennent. A moins qu'il ne se casse le fémur juste avant l'Euro 2008...

http://www.cartonrouge.ch/fr/actualite/actualite-du-jour/archive/2007/novembre/article/djibril-cisse-jambes-de-fer-tete-en-bois/index.html?tx_ttnews%5BbackPid%5D=1&cHash=ac1a6712ad

Cissé : "Ma véritable place c'est dans l'axe"

L'Olympien ne veut pas jouer à droite comme il le faisait à Liverpool
Niang performant en pointe, Cissé n'a pas été titularisé lors des deux derniers matches. Mais l'ancien attaquant des Reds ne veut pas entendre parler de l'aile droite.

Assis dans sa voiture à l'entrée de La Commanderie, Djibril Cissé signe des autographes. Calepins à la main, des supporters sont venus le solliciter à la portière du véhicule. Détendu et attentionné, l'attaquant olympien échange également quelques mots avec eux. Une heure et demie plus tôt, déjà, sur le terrain du bas, le sourire l'avait rarement quitté au cours d'exercices avec opposition.

Multipliant les appels et les courses, on l'avait vu réclamer le ballon pratiquement sans temps mort. Au centre de la pelouse, Éric Gerets n'aura évidemment rien perdu de tout ça. Reste à savoir si le technicien belge modifiera, pour la venue de Metz samedi, un dispositif performant à Lyon (1-2) et assez convaincant quelques jours plus tôt à Porto (2-1).

À chaque fois, l'attaque olympienne s'était articulée autour d'un quatuor composé de deux milieux excentrés (Valbuena, Ayew), d'un axial (Nasri) et d'une pointe (Niang). En 180 minutes, Cissé n'avait quitté le banc que durant une demi-heure (à Porto), compte tenu du rendement de Niang dans l'axe (3 buts dont 1 penalty qu'il avait lui-même obtenu). Sur un nuage actuellement, l'international sénégalais paraît même indéboulonnable.

Est-ce à dire que Cissé a plus de chance d'être sur la touche que dans l'aire de jeu par les temps qui courent ? Oui tant que Niang évoluera à cette cadence. Non car, tôt ou tard, le Lion de la Teranga sera peut-être confronté à une baisse de régime tout à fait naturelle et il sera de toute manière absent durant plusieurs semaines, cet hiver, CAN oblige (20 janvier-10 février).

En attendant, néanmoins, Cissé n'est pas un titulaire incontournable. L'Arlésien, qui répète vouloir rester à l'OM au-delà du mercato hivernal, fait le dos rond. Son discours ? Après une seconde blessure, il était parvenu à accomplir une moitié de saison on ne peut plus correcte (15 buts, L1 et coupe de France confondues) lors du premier semestre de cette année. Il est persuadé de rééditer la performance. Mais pour cela, il doit jouer. Régulièrement qui plus est. En pointe, la place est prise cependant.

Dès lors, une autre issue a été évoquée : et si Djibril Cissé passait de l'axe à l'aile droite ? L'intéressé l'avait déjà fait il y a deux ans, à Liverpool, avec une certaine réussite (15 buts en 8 mois). Interrogé à ce sujet hier, l'ancien attaquant des Reds a repoussé cette éventualité.

"Certes, à Liverpool, confie Cissé, j'avais été amené à jouer à droite, mais c'était, alors, pour dépanner, car aucun joueur de l'effectif ne correspondait au profil escompté. J'avais peut-être réussi à tirer mon épingle du jeu sur le côté, or, ma véritable place se trouve dans l'axe, un point, c'est tout. C'est là que je veux jouer." Que Cissé se rassure : Gerets n'a aucunement l'intention de l'aligner sur un côté. Il l'a martelé hier et son message coupe court à la moindre hypothèse.

À la question, "envisagez-vous de décaler Cissé à droite?", la réponse a fusé net: "Non !" Et d'argumenter : "Placer Djibril sur un côté, c'est le tuer (sic). On l'a fait avec Mamadou (Niang), mais celui-ci est moins pénalisé à ce poste. Djibril ne mérite pas que je le mette sur le côté." En résumé, Cissé, désormais, c'est dans l'axe ou c'est rien. Gerets a acquiescé. Pour l'instant, c'est rien. Jusqu'à quand ?

LaProvence

Je comprends plus rien c'est pas lui qui a déclarer qui voulait bien jouer milieu droit pour le bien de l'équipe ?

Ailier droit pas milieu droit, est c'est en cas de secours qu'il avait dit

Guy Roux défend Cissé et accuse Benitez !

Sur les ondes de RMC, l'ex-entraineur auxerrois est venu au secours de son ancien poulain Djibril Cissé en méforme et relégué sur le banc depuis l'arrivée de Gerets. "L'équipe de Marseille était très mal à ce moment là (NDLR : lors de l'éviction d'Emon), Nasri était absent. Ce n'était donc pas facile de jouer avant-centre. (...) Maintenant, il a une raison supplémentaire de ne plus être en forme, c'est qu'il ne joue plus. Pour retrouver le rythme, il doit jouer" insiste l'homme au bonnet.

Lorsqu'on lui demande si la carrière de Cissé a pris fin à son départ de l'AJA, l'entraineur retraité s'insurge. "C'est faux, il a fait de grandes choses à Liverpool", justifie-t-il. Il s'en prend ensuite vivement à Benitez qu'il considère responsable des déboires de Cissé. "C'est Benitez qui lui a arrêté sa carrière. Il y a eu sa fracture, et ensuite Benitez. C'est à ce moment là qu'il a eu un gros problème".

OMPlanète

je pense que le principal problème de Djibril est dans la tete!!! je ne sais pas, mais généralement on dit "quand la tête va le corps va"....donc a l'inverse ca doit le faire aussi!!!! Maintenant je pense que Djibril a le caractère pour encore remonter la pente chez nous..... et contrairement a d'autre je pense que ces deux fractures ne l'handicape pas plus que ça, il l'a d'ailleur dit lui même!!!Mais plus que tout je pense que le problème est autre, çela doit sans doute se jouer sur des choses exterieurs, des choses que seul Djibril peu et doit régler.

Si cest pas beau que Gux roux le defend

Si vraiment cest un grand homme comme il le dis pourquoi pas qui baise son salaire pour le bien etre du club

Cissé en perte de confiance

Mercredi soir, Djibril Cissé a réalisé une rentrée très médiocre à Besiktas, ne pouvant empêcher une défaite de son équipe à Istanbul (2-1). Un mauvais match de plus pour le buteur de l’OM. Désormais remplaçant au club phocéen, Djibril Cissé connaît une très mauvaise passe ; il manque cruellement de confiance.

Djibril Cissé : de la titularisation au banc des remplaçants
Quand Pape Diouf et l’OM décident de sortir le chéquier pour acheter Djibril Cissé à Liverpool, ce sont de nombreux supporters marseillais qui se réjouissent. En effet, le buteur avait été prêté à l’OM durant les six mois derniers, et avait réalisé une bonne prestation d’ensemble.
Titulaire au début de saison sous les ordres d’Albert Emon, Djibril Cissé est aujourd’hui sur le banc des remplaçants. Ainsi l’a décidé Eric Gerets, le successeur d’Emon, en raison des mauvaises performances de l’ancien auxerrois. Il faut dire que seul un bon match contre Metz, en Coupe de France, plaide en faveur de « Djib » ces derniers temps… Certains parlent d’ailleurs d’un possible départ de Cissé dés le mercato d’hiver.

En perte de confiance
Mercredi soir, à Istanbul face au Besiktas, Djibril Cissé remplaçait assez précocement Samir Nasri, touché à la cheville. Mais le buteur n’aura pas su mettre à son profit les nombreuses minutes qu’il a disputées : il a raté des contrôles, n’a pas marqué sur sa seule (bonne) action, a perdu des duels et fait de nombreuses passes à l’adversaire. Toutes ces erreurs peuvent êtres attribuées à la crise de confiance que traverse actuellement l’ancien auxerrois. Sifflé régulièrement par une partie du Vélodrome lors de ses apparitions, Djibril Cissé aura besoin de beaucoup de courage et de réussite pour se sortir dans la situation où il s’est mis.

La positive attitude
Djibril Cissé tente malgré tout de positiver : « Au départ j'étais sur le banc mais c'est une concurrence saine. Je pense que Mamadou est au-dessus pour l'instant, c'est logique qu'il soit aligné. » déclarait-t-il aux micros de Canal +.
Mamadou Niang, lui, est beaucoup plus en forme et apprécié par le public olympien. Il reste malgré tout modeste, tout en réconfortant Djibril Cissé, celui qu’il a mis sur le banc : « Il y a des choix du coach, que ce soit moi ou Djibril on les respecte. Avec Djib on est très complice. On essaye de toute facon d'apporter chacun le mieux pour l'équipe. » conclut l’attaquant sénégalais.

Brèvesdefoot.com

STEPH a écrit:

La positive attitude
Djibril Cissé tente malgré tout de positiver : « Au départ j'étais sur le banc mais c'est une concurrence saine. Je pense que Mamadou est au-dessus pour l'instant, c'est logique qu'il soit aligné. » déclarait-t-il aux micros de Canal +.
Mamadou Niang, lui, est beaucoup plus en forme et apprécié par le public olympien. Il reste malgré tout modeste, tout en réconfortant Djibril Cissé, celui qu’il a mis sur le banc : « Il y a des choix du coach, que ce soit moi ou Djibril on les respecte. Avec Djib on est très complice. On essaye de toute facon d'apporter chacun le mieux pour l'équipe. » conclut l’attaquant sénégalais.

Et qu'on me dise pas qu'il l'ouvre trop.

J'aime bien le "pour l'instant". genre il a une chance.

Banderole dans le parcage Marseillais

"Cissé,casse-toi"

Massilia57 a écrit:

Banderole dans le parcage Marseillais

"Cissé,casse-toi"

C'est franchement pas sympa de leur part. Il y a un an il l'adulait et là ilsortent ce genre de banderole, ça me degoute

Qu'est-ce que tu en sais qu'ils l'adulaient il y a 1 an ?

Peut être que les 3-4 supporters qui ont fait cette banderolle
Sont comme moi et ne l'ont jamais aimé !

C'est vraiment n'importe quoi cette bandrole...
Ca fait peur.

tapie_le_boss a écrit:

Qu'est-ce que tu en sais qu'ils l'adulaient il y a 1 an ?

Peut être que les 3-4 supporters qui ont fait cette banderolle
Sont comme moi et ne l'ont jamais aimé !

Quand il jouait l'an passé, je me rapelle pas avoir entendu des sifflets ou vu des banderoles contre lui

Et de toute façon ce genre de banderole ça se fait pas

Toute façon le public Marseillais devient n'importe quoi à des moments...................

Likiliki10 a écrit:

Quand il jouait l'an passé, je me rapelle pas avoir entendu des sifflets ou vu des banderoles contre lui

Il a été sifflé,séjour sur le banc et après, il enchaina buts sur buts

Massilia57 a écrit:

Likiliki10 a écrit:

Quand il jouait l'an passé, je me rapelle pas avoir entendu des sifflets ou vu des banderoles contre lui

Il a été sifflé,séjour sur le banc et après, il enchaina buts sur buts

Je veux des son arrivée je me rapelle pas avoir entendu des sifflets envers lui