[Gennaro Bracigliano] signe en Inde

OM : Bracigliano sacrifié sur l’autel de la rigeur ?

Recruté par l’Olympique de Marseille à l’été 2011 pour jouer les doublures de Steve Mandanda, Gennaro Bracigliano pourrait rapidement quitter l’OM après une expérience mitigée sur la Canebière.

Selon La Provence, « la donne pourrait rapidement évoluer, celui-ci n’ayant pas apporté les garanties suffisantes sur le terrain ; et son contrat (environ 80 000€ bruts mensuels), dans un projet de rigueur économique, ne joue pas en sa faveur. Ainsi, l’OM s’est mis en quête d’une doublure. »

:Foot Mercato:

On aura droit a une doublure qui vient de la réserve.

Même pas 1M/an, et on me dit que ça rentre pas? Non mais bientôt on devra payer nos joueurs avec des grains de riz...

Son niveau ne mérite pas ce salaire, c'est dans ce sens que je le vois.

Bracigliano sur la liste des transferts, l'OM cherche un nouveau n°2.

Selon :La Provence: , le gardien de but pourrait bien être prêté en Ligue 2 cet hiver. Le GFC Ajaccio, 18e au classement, serait intéressé. L’OM n’a toutefois pas confirmé.

Dans le même temps, une porte de sortie est ardemment souhaitée pour Gennaro Bracigliano. Les émoluments de la doublure de Mandanda, ainsi que ses prestations, ont fini de convaincre l'état-major de s'en séparer. Un prêt est à l'étude, l'OM étant résolu à prendre en charge une partie du salaire de l'ancien Nancéien. Pour l'heure, le Gazelec d'Ajaccio (18e de Ligue 2) est sur les rangs.

:La Provence:

Le départ de Gennaro Bracigliano apparaît compliqué, aucun club n'est enclin à s'aligner sur ses conditions actuelles.

:La Provence:

Citation :

« J’ai eu des touches avec certains clubs, mais je ne voulais pas me précipiter, faire un choix par orgueil. Ce n’est jamais bon. Puis, ma femme venait d’accoucher. J’ai donc décidé de continuer à travailler à l’entrainement, je ne suis pas là pour pleurer… Je ne ferme aucune porte. Pour l’instant, je suis un joueur de l’Olympique de Marseille, il me reste encore un an de contrat. Je ne pense pas à long terme. »

En attendant, Bracigliano a trouvé un terrain d’entente avec l’entraineur de la réserve : « Je ne joue que les matchs à domicile. Je ne veux surtout pas empêcher les jeunes gardiens d’éclore à l’OM, c’est important. » Il encadre les jeunes et garde le rythme avec la CFA2, avant de, sans doute, quitter le club en juin.

@ Bracigliano

Dans les prochaines semaines, les dirigeants devraient aussi s'occuper de Gennaro Bracigliano. Un accord à l'amiable pour un départ permettrait au club d'économiser un salaire plus que confortable pour un pro qui joue en CFA 2.

:La Provence:

Avec le départ prochain de Mandanda, Bracigliano pourrait devenir la doublure de Samba

Donc on le prolonge ?   

Ouai, 1 an  

Moi tant que Samba est promo titulaire ils peuvent mettre n’importe qui derrière.

Poisson d'avril ?

Moi perso' les doublures ... quand tu vois le nombre de match fait cette saison part Samba on imagine bien ceux qui seront effectué part Bracigliano si c'est lui la doublure l'an prochain

Sans surprise, il quitte l'OM

OM : Gennaro Bracigliano, après trois années au frigo

En fin de contrat à l'OM en juin, le portier entend rebondir grâce au stage UNFP

Vous êtes désormais au chômage et vous participez au stage UNFP. Expliquez-nous en quoi cela consiste.
Gennaro Bracigliano : Le stage a débuté dimanche. L'UNFP met la structure à disposition, à Lisses, près d'Évry. Il y a tout ce qu'il faut pour se préparer, des entraînements, des matches. Les terrains sont de qualité, il y a aussi de la balnéothérapie.

C'est une première pour moi, je ne connaissais pas ces stages (rire) ! En adhérant au syndicat, on a droit à plusieurs services, dont les stages UNFP pour ceux qui se retrouvent en fin de contrat. C'est un stage de préparation. Le but est de se remettre en forme et se faire voir. Il faut aussi que ce soit le plus court possible, ce qui signifie qu'on a trouvé un club !

Comment se déroule-t-il ?
G.B.: Il y a deux sessions de trois semaines. La première semaine est dédiée à la préparation, avec des entraînements le matin et l'après-midi, des footings. Le premier match, auquel je n'ai pas pris part à cause d'un petit pépin musculaire, a eu lieu samedi contre Laval (1-1) et le deuxième contre Clermont (4-0).

Il y a également Metz au programme. À la fin du premier stage, il y a également un tournoi contre les chômeurs des autres championnats européens (italiens, espagnols, allemands...). Il y a du monde dans les tribunes. Et pas seulement des supporters. Il y a des recruteurs, des dirigeants de club.

Comment vivez-vous cette nouvelle expérience ?
G.B.: C'est la structure idéale pour moi. Vu ma situation, elle me convient. J'aurais pu m'entraîner avec un club, même sans contrat. Mais je manque surtout de matches, et l'UNFP me permet de jouer. Les autres joueurs sont dans la même situation.

Je suis surpris car il y a beaucoup de jeunes, quasiment 75%. Ça me fait presque mal au coeur pour eux. Ils ont 20, 21, 22 ans, sortent de leur premier contrat pro et sont au chômage. Sans opportunité, ils peuvent arrêter leur carrière.

À votre âge (34 ans), y pensez-vous ? Dans quel état d'esprit êtes-vous ?
G.B.: Disons que j'étais un petit peu au frigo, à Marseille, ces trois dernières années... C'était beaucoup d'énergie pour la suite. Certes, c'était très enrichissant, mais ne pas avoir joué me laisse un goût d'inachevé. Je ne veux pas finir comme ça, je n'ai pas envie de rester là-dessus... Et puis, l'envie est toujours là et je n'ai pas de souci physique. Il me reste encore du temps !

Êtes-vous en contact avec des clubs ?
G.B: J'ai des touches en Ligue 2. Il ne faut pas oublier que je n'ai même pas joué en réserve l'année dernière. Donc les gens s'interrogent sur mon physique. C'est aussi pour cela que ce stage est parfaitement adapté à ma situation.

Parlez-vous du chômage avec les autres stagiaires ?
G.B: Non, justement. Personne ne tire la tronche. Les mecs de l'UNFP mettent une ambiance familiale, ils sont prévenants. Ils réunissent toutes les conditions pour nous faire penser que l'on est dans un club. Cela ne nous empêche pas d'avoir des contacts avec nos agents. Il n'y a pas de concurrence, on souhaite tous trouver un club.

Revenons à l'OM. Vous y avez passé trois années quasiment dans l'indifférence générale, comment s'est passé votre départ ?
G.B.: Forcément avec une page blanche qui se présentait devant moi. Je ne suis pas nostalgique. On avait déjà tous vidé nos casiers dans la semaine, mais j'ai récupéré mes affaires après le dernier entraînement, le vendredi. Les mecs restaient au vert avant le dernier match, le lendemain.

J'ai dit au revoir à tout le monde, les joueurs, le staff médical, le staff technique, les gens de la sécurité, le personnel du club que j'ai croisé. Tous ceux que j'ai côtoyés au quotidien. On se souhaitait réciproquement le meilleur pour la suite.

J'ai passé trois ans ici, peut-être dans l'indifférence générale, mais surtout dans l'indifférence médiatique. Au quotidien, de mon côté, j'ai su apprécier tous les gens que j'ai croisés, j'ai donné ce que j'avais à donner. J'ai fait le maximum tous les jours aux entraînements. Je pars sans regret. En ayant le sentiment d'avoir fait tout ce qu'il fallait.

Que retiendrez-vous de ces trois saisons ?
G.B: Qu'elles ont été très enrichissantes. J'essaie toujours de tirer le positif de n'importe quelle situation. Indépendamment du sportif, au niveau familial, c'était la première fois qu'on partait de Nancy.

Comme je vous l'ai déjà dit, mon fils est né à Marseille, ma petite fille a fait ses premiers pas ici. C'était vraiment une belle expérience. Après, sur le plan sportif, c'est vrai que je suis venu dans un rôle de deuxième gardien et, au final, je me suis retrouvé troisième... En réalité, ça ne changeait pas grand-chose. Steve (Mandanda), et je suis très content pour lui, n'a pas loupé beaucoup de matches.

Mais sportivement, que tu sois numéro 2 ou 3, ça ne change pas beaucoup. J'ai joué quelques matches de coupe la première saison, un la deuxième. J'ai découvert un environnement différent de ce que j'avais connu. C'est en ce sens que c'était enrichissant.

Vous avez aussi découvert la Ligue des champions, à Milan...
G.B.: C'est vrai, même si j'avais disputé la coupe d'Europe avec Nancy. Mais je ne l'ai pas vécu avec de grands yeux émerveillés, je l'ai vécu comme les autres expériences de ma vie. Avec des hauts et de bas.

Gardez-vous des regrets du match de Quevilly, qui vous a coûté votre place face au Bayern, en quart de finale de C1 ?
G.B.: Pas du tout ! Malheureusement, médiatiquement, les gens sont restés sur ça. Ce match m'a fait beaucoup de mal pour la suite. C'est l'une des raisons pour lesquelles j'en suis là aujourd'hui. Il n'y a aucun problème pour moi, mais je ne suis pas dupe. Je sais que je vaux mieux que ça, que je vaux mieux que ce que j'ai montré ce soir-là.

J'ai joué cinq matches à l'OM, personne ne se souvient des quatre autres car mon éviction a suivi le match de Quevilly. Je l'ai vécu sans regret, je m'étais préparé à fond, mais... Il n'y a pas un joueur en Ligue 1 qui n'a jamais fait de mauvais match. Et dans la peau d'un deuxième gardien, tu n'as pas l'occasion de te rattraper. Tant pis pour moi...

En avez-vous voulu à Didier Deschamps ou au staff en place à l'époque ?
G.B.: C'était une déception sportive, mais à chaque fois que j'ai eu quelque chose à dire à Deschamps, je l'ai fait. Il m'avait annoncé les choses, mais je n'avais pas compris certains points. Je suis retourné le voir. On a discuté pendant 30 minutes, il a répondu à toutes mes questions. Puis il me fallait d'autres réponses, et je l'ai revu 30 minutes. Il a éclairci le truc, m'a donné sa réflexion, m'a expliqué par A+B ce qu'il avait dans la tête. Que je sois d'accord ou pas n'était pas la question.

C'est le foot. Le travail du coach est de faire son équipe et il ne peut pas faire plaisir à tout le monde.

On a l'impression que c'était plus dur à vivre pour votre entourage et votre famille que pour vous-même...
G.B.: Ça glissait sur moi. Je suis quelqu'un de croyant, c'est une chose centrale dans ma vie. À partir de là, tout ce qui m'arrive n'est que du bien. Ce n'est pas pour cela que ma vie est devenue tout à coup plus sombre. Le foot est mon métier, mais il n'y a pas que le foot dans la vie.

Ça ne m'a jamais empêché d'être à fond tous les jours à l'entraînement. Personne ne peut me reprocher de ne pas avoir fait ce que j'avais à faire.

 :La Provence:

Blackpool cherche un gardien (et des joueurs).

J'dis ça, j'dis rien  

J'ai vu ça   
Ils ont plus que 8 joueurs sous contrat! Je sais pas pourquoi par contre  

Gennaro Bracigliano qui est libre depuis son départ de l'OM pourrait rejoindre très rapidement un club de Indian Super League (ISL).

 :France Foot: 

C'est fait il a signé en Inde.